(Minghui.org) Un jour alors que j'étais sortie, j'ai rencontré une chirurgienne qui m'avait opérée il y a 14 ans. Elle m'a reconnue immédiatement et s'est exclamée : « Je me souviens ! C'est merveilleux de vous voir avoir l'air si bien. Le Falun Gong est vraiment très bon ! »

En 1996, on m'a présenté le Falun Gong, aussi appelé Falun Dafa, une pratique spirituelle qui enseigne aux gens à vivre avec compassion et bonté. Après être devenue une pratiquante, je suivais les exigences de Maître Li pour cultiver mon moi intérieur. Chaque fois que je rencontrais des conflits, je regardais en moi-même pour trouver les lacunes. Au fil du temps, ma santé s'est améliorée et ma vie de famille est devenue harmonieuse.

J'étais aussi très diligente et je travaillais fort à mon travail. Cela a eu une influence positive sur mes collègues. Tout le monde dans mon entreprise, de la tête du ministère aux concierges, savait que j'étais devenue vraiment une bonne personne depuis que je pratiquais le Falun Gong.

Cependant, le 20 juillet 1999, Jiang Zemin a passé outre les lois de la nation et a commencé la persécution du Falun Gong. Les pratiquants de Falun Gong, qui croient et suivent le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance sont depuis, brutalement persécutés.

Un jour, un chef de file provincial est venu à mon bureau et m'a dit de renoncer à la pratique. Il a dit que si je refusais, les conséquences seraient désastreuses. Bien qu'il sache que nous, les pratiquants de Falun Gong, sommes de bonnes personnes, il a été mis dans cette position difficile par ses supérieurs et à plusieurs reprises il m'a dit d'abandonner.

Ma famille était tellement effrayée par la persécution du gouvernement qu'ils m'ont également encouragée à abandonner la pratique. Avec autant de pression de tous les côtés, mon esprit ne pouvait pas gérer le stress. Je savais que Maître Li, le fondateur du Falun Dafa, est le plus juste, que le Falun Dafa est bon, et que les informations diffusées par les autorités à propos du Falun Dafa étaient toutes des mensonges. Mais à cause de l'immense pression et de ma peur d'être persécutée, j'ai commencé à pratiquer en secret et j'ai finalement perdu ma motivation à pratiquer sérieusement.

Un test de vie et de mort

Tout cela a changé en 2002. J'étais affligée d'une maladie grave : un cancer de l'ovaire malin au stade terminal. Le cancer s'est manifesté soudainement et a progressé rapidement. Mon corps entier était gonflé de liquide, et j'avais l'air très malade. Ma maladie a jeté une ombre sur ma famille. Mes parents et amis avaient le cœur brisé. Ma mère pleurait constamment car elle faisait face à la perspective d'enterrer son enfant. Ma fille a dû supporter la charge émotionnelle de perdre sa mère et mon mari était dévasté.

S'agrippant à toute parcelle d'espoir, ma famille m'a emmenée à l'hôpital de haut niveau dans la province pour voir une chirurgienne réputée. Elle a accepté de m'opérer. Tous mes collègues, de mon patron aux travailleurs occasionnels, sont venus me rendre visite à l'hôpital. Leurs yeux étaient rouges de larmes, mais ils ont essayé de sourire et de mettre du courage sur leurs visages. Comme ils pensaient que c'était la dernière fois qu'ils me voyaient, aucun de mes parents ou de mes amis n'avaient l'œil sec.

Pendant ce moment de désespoir, je savais que Maître Li était le seul qui pouvait me sauver la vie. Maintes et maintes fois, je lui ai demandé dans mon cœur de me sauver. Je ne sentais plus la peur. Je ne pensais même pas à mourir et je saluais ma famille et mes visiteurs avec un sourire.

Une guérison miraculeuse

Pendant l'opération chirurgicale, lorsque la chirurgienne a ouvert mon ventre, elle avait peu d'espoir : « C'est fait », a-t-elle dit, « rien ne peut la sauver maintenant. Le cancer est répandu partout. Elle a de la famille à l'étranger, alors elle devrait voyager et profiter des prochains mois de sa vie avant de décéder. »

Je n'étais pas complètement sous sédatifs et je pouvais clairement entendre les paroles de la chirurgienne. Je me suis dit : « Comment savez-vous que je ne vais pas y arriver ? J'ai Maître Li et je ne suis pas une personne ordinaire. » Après être sortie de l'hôpital, la première chose que j'ai fait quand je suis rentrée, a été de demander à ma famille de m'apporter ma copie du Zhuan Falun. Je voulais juste étudier le livre et faire les exercices de Dafa.

Lors de ma visite de suivi à l'hôpital, le médecin m'a dit que je devais recevoir de la chimiothérapie. J'ai pleuré mais j'ai pris une décision à ce moment-là que je suivrais et croirais en Maître Li et en Dafa à partir de là. J'ai profondément cru que Maître Li me sauverait et j'ai décidé de renoncer à la chimiothérapie.

En étudiant les livres de Dafa et en faisant les exercices, ma santé s'est rapidement rétablie. Quand je suis retournée à l'hôpital pour un autre examen de suivi, les médecins ont tous été étonnés par mon prompt rétablissement. Ils ont dit que c'était un miracle. « Comment avez-vous pu guérir aussi vite et aussi bien ? »

J'ai répondu : « Je pratique le Falun Gong, c'est mon Maître qui m'a sauvée. »

« C'est génial ! Le Falun Gong est certainement une bonne chose », a dit le médecin. « Vous devez continuer à le pratiquer, mais assurez-vous de beaucoup vous reposer au lit. »

Je lui ai répondu : « Je m'occupe de toutes les tâches ménagères : les courses, la cuisine, la lessive et le nettoyage des sols. Je fais toutes ces tâches moi-même. » Elle était stupéfaite. Elle ne pouvait pas en croire ses oreilles.

Ma guérison a créé tout un émoi à mon bureau et chez mes voisins, ma famille et mes amis. Tout le monde a loué le pouvoir miraculeux du Falun Gong. L'hôpital m'avait condamnée à mourir et m'avait dit que je ne vivrais pas au-delà de trois à cinq mois, mais je me suis complètement rétablie. S'ils ne l'avaient pas vu par eux-mêmes et n'avaient pas été en mesure de me voir debout en vie et en bonne santé devant eux, ils n'auraient jamais cru mon histoire.

Toute ma famille est très reconnaissante envers Maître Li et Dafa de m'avoir sauvé la vie. Chaque Nouvel An chinois, ils envoient des salutations à Maître Li via le site Internet Minghui.

Clarifier la vérité aux membres de ma famille sans aucune crainte

L'anniversaire de mon mari est en novembre. L'année dernière, il a franchi le cap des soixante ans et ma fille a insisté sur la tenue d'un banquet pour célébrer cette occasion. Au début, je sentais que ce n'était pas nécessaire, mais j'ai compris que ce serait une excellente occasion de permettre à plus de de gens de connaître la bonté de Dafa à travers ma guérison miraculeuse.

Deux jours avant la célébration, ma fille nous a demandé si nous aimerions faire des discours. Quand j'ai dit que oui, mon mari a demandé de quoi je comptais parler. Je lui ai répondu : « Tu le découvriras lors du banquet. » Mon mari voulait que je lui dise exactement ce que je voulais dire. Il a dit qu'il était inquiet que j'aie le trac et m'a demandé de répéter mon discours avec lui. Pourtant, j'ai insisté pour qu'il attende jusqu'au banquet.

J'ai parlé à ma famille et à mes amis au sujet de Dafa, mais c'était la première fois que je parlais à un large public. En outre, c'était dans un hôtel avec beaucoup de gens et d'autres activités, et nous avions invité de nombreuses personnes. Bien qu'ils aient été tous de la famille, j'étais toujours inquiète de faire un mauvais travail. J'avais encore peur que ma famille ne comprenne pas.

Enfin, je me suis dit : « De quoi ai-je peur ? Je fais la chose la plus juste et la peur ne fait pas partie de mon vrai moi. » Avec cela, j'ai décidé de rejeter ma peur. J'ai aussi récité le poème de Maître Li tous les jours :

« Vivre sans désirs,

Mourir sans regrets ;

Balayer les pensées illusoires,

Cultiver pour devenir Bouddha n'est pas difficile. »

(« Rien ne reste » dans Hong Yin)

J'ai résolument décidé que je ferais un bon travail.

Le jour du banquet, ma fille était l'hôtesse pour la célébration. De nombreux parents et amis sont venus. Mon mari a prononcé son discours, puis ce fut mon tour. J'ai commencé mon discours avec le contenu normal. Comme je continuais, j'ai commencé à aller un peu plus en profondeur. J'ai dit : « La raison pour laquelle je suis en mesure d'être ici et de célébrer avec vous tous aujourd'hui est parce que mon Maître m'a donné une seconde chance de vie. Je tiens à remercier mon Maître pour tout ce qu'il a fait. Vous savez tous par quoi je suis passée. Le Falun Dafa est bon, et ma santé est un témoignage de sa bonté. Beaucoup d'entre vous croient en cela et ont démissionné du Parti communiste chinois et de ses organisations affiliées. Si vous n'avez pas encore démissionné, aujourd'hui c'est l'occasion de le faire. »

Immédiatement, deux personnes ont dit à haute voix : « Je n'ai pas encore démissionné ! » Après le banquet, j'ai donné à chaque membre de ma famille, ainsi qu'au personnel de l'hôtel, un calendrier de la nouvelle année contenant des informations sur le Falun Gong et la persécution. Je leur ai dit de visiter le site Internet du Falun Dafa pour y acquérir une meilleure compréhension de la pratique. Ils m'ont remerciée. Un de mes neveux a ajouté : « Tantine, c'est vraiment remarquable que tu sois en vie aujourd'hui. »

À chaque occasion spéciale, ma famille a levé leurs verres et a dit : « Falun Dafa est bon ! » Je suis vraiment heureuse que ma famille en soit venue à comprendre la vérité.

Traduit de l'anglais au Canada