(Minghui.org) Avant de pratiquer le Falun Dafa en 1997, je souffrais de plusieurs maladies graves. La pire était un cancer de la gorge. J'ai été traitée par la médecine occidentale et la médecine chinoise, mais aucune n'a aidé.

Après avoir perdu tout espoir, ma voisine m'a présenté le Falun Dafa. Le premier jour quand j'ai appris les exercices du Falun Dafa, j'ai pu rentrer chez moi toute seule à pied. Le deuxième jour, je n'avais plus besoin de me reposer quand j'arrivais à la maison et j'avais même envie de faire des tâches ménagères. C'était miraculeux. Toutes mes maladies avaient disparu.

Le 20 juillet 1999, Jiang Zemin a lancé la violente répression du Falun Dafa. Je savais que Dafa m'avait sauvé la vie et il était diffamé. Je suis allée à Pékin pour dire ce que j'avais à dire : « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! »

Expliquer la réalité des faits sur le Falun Dafa sur un chantier

En 2011, j'ai déménagé dans une autre ville où il y avait encore beaucoup de chantiers. J'ai décidé de m'y rendre pour expliquer la réalité des faits sur le Falun Dafa aux ouvriers. Avant d'aller sur les chantiers chaque matin, j'émettais d'abord la pensée droite à deux reprises et étudiais une leçon du Zhuan Falun.

Sur les chantiers, j'émettais la pensée droite pour éviter que les gardiens ne me voient. J'entrais sur chaque chantier pour distribuer des documents d'information. Un jour, alors que j'avais presque fini de distribuer les documents, un gardien m'a surprise. Il était en colère. Je lui ai dit en souriant : « J'ai quelque chose de bon pour vous ! Cela peut vous garantir un avenir meilleur. » Je lui ai donné un dépliant clarifiant la vérité sur la persécution.

Une autre fois, le gardien à la porte ne voulait pas me laisser entrer ni accepter les documents que je lui tendais. À ce moment-là, deux ouvriers sont arrivés en disant : « S'il ne les veut pas, donnez-les moi. »

L'autre ouvrier a dit : « Chère dame, j'ai un laissez-passer spécial. Vous voulez le voir ? » Il a sorti une amulette de sa poche en disant : « Dafa est bon. Je le porte sur moi chaque jour. » J'étais très touchée. Quand le gardien a entendu ce que disaient les ouvriers, il m'a laissée entrer et j'ai même pu l'aider à démissionner du Parti communiste chinois (PCC).

Un jour en arrivant sur un chantier, j'ai vu qu'il y avait un superviseur. J'ai demandé au Maître de m'aider. Je me suis souvenue que j'avais un très beau pendentif dans mon sac. Je l'ai sorti en me dirigeant vers le superviseur et lui ai dit : « Je voudrais vous donner un pendentif à accrocher sur le gros poteau de votre chantier. Cela peut tous vous protéger. » Le superviseur était heureux, il l'a tout de suite accroché sur le poteau.

Beaucoup d'ouvriers voulaient aussi un pendentif. J'ai dit : « Je suis désolée, mais je n'en ai qu'un seul sur moi aujourd'hui. Mais j'ai d'autres choses. » J'ai distribué les documents écrits et les DVD en leur demandant de les regarder une fois rentrés chez eux.

Le soir après avoir émis la pensée droite avec une autre pratiquante, nous sommes allées au dortoir des ouvriers pour les aider à démissionner du PCC. La première fois que nous avons fait cela, plus de 120 ouvriers ont démissionné du PCC et de ses organisations affiliées. J'avais parlé à une personne d'une voix forte pour que les autres puissent entendre ce que je disais.

Après, j'ai demandé à tout le monde de démissionner du PCC. Quand il était temps de partir, nous avons demandé à tout le monde : « Souvenez-vous bien de dire ''Falun Dafa est bon'' et ''Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon'' ; cela vous protégera. »

Quand je suis retournée au dortoir du chantier, j'ai vu beaucoup d'ouvriers allongés sur leur lit en train de lire les documents de clarification de la vérité que nous leur avions donnés.

Clarifier la vérité sur un marché

Deux jours avant le Nouvel An chinois, je suis allée sur un marché pour distribuer des documents. Au marché, il y avait beaucoup de gens, y compris plusieurs policiers.

Après avoir parlé du Falun Dafa à un homme et lui avoir donné un DVD, il m'a attrapé par la main pour m'emmener vers un policier. « C'est une pratiquante de Falun Dafa. Elle a des documents de Dafa dans son sac. »

Le policier l'a regardé : « Nous ne sommes pas en poste dans ce quartier. »

L'homme était interloqué. Je l'ai regardé dans les yeux pour dire : « Je pensais que vous étiez quelqu'un de bien et je voulais vous sauver, mais vous avez fait une telle chose. Maintenant, que pensez-vous ? »

Il a baissé la tête en disant : « Madame, j'ai eu tort. Vous pouvez vous en aller. »

Ce jour-là, j'ai distribué plus de 100 DVD. J'ai remercié le policier qui avait pris la bonne décision pour son avenir.

Je sais que les DVD peuvent sauver des vies et je veux en donner autant que possible. Chaque fois que je vais dans un marché, je demande aux gens s'ils ont un lecteur DVD chez eux. S'ils répondent oui, je leur en donne un. Parfois, les gens disent qu'ils n'en ont pas, mais une fois que je leur dit ce qu'il y a dans le DVD, ils disent qu'ils ont un lecteur et acceptent le DVD. Le retour des gens qui ont vu ce DVD est excellent.

Un homme à qui j'avais donné le DVD avait senti que c'était bien après l'avoir regardé. Il voulait que je lui en donne d'autres, car des gens venaient chez lui pour jouer au Mahjong. Je lui en ai donné cinq autres. Quelques jours plus tard, il m'a appelée pour m'en redemander d'autres parce que tout le monde voulait avoir le sien. Je lui ai livré les DVD. Après avoir appris la vérité, ils voulaient en savoir plus sur le Falun Dafa et voulaient que je vienne leur parler du fait de démissionner du PCC.

Un jour, j'ai rencontré un chauffeur de taxi à qui j'avais donné un DVD auparavant. Il y avait beaucoup d'autres chauffeurs de taxi autour et il en a rassemblé plusieurs pour leur dire combien le DVD était bien. Il a suggéré qu'ils en prennent chacun un. Il les a aussi aidés à démissionner du PCC.

Un jour au marché, je me suis approchée d'un homme d'âge mûr qui vendait des champignons. Je lui ai demandé : « Avez-vous un lecteur DVD à la maison ? »

Il a répondu que je lui avais déjà donné un DVD et qu'il était très bien. Il a parlé à des gens autour pour leur demander d'en prendre un. Il a vu que j'en avais d'autres et a dit : « Pouvez-vous m'en donner d'autres ? Je sais qui a un lecteur DVD à la maison. Je vais vous aider à les distribuer. »

Une autre fois au marché, j'ai vu quelqu'un qui ressemblait à un fonctionnaire. Je l'ai salué et j'ai commencé à lui décrire ce qu'il y avait dans le DVD. Il a acquiescé de la tête, puis a pris un DVD pour l'offrir à une personne qui nous suivait et a dit : « Ce DVD est très bien. Je l'ai déjà regardé, donc vous pouvez le prendre. »

Cette personne derrière nous pensait qu'il était un policier en civil et il est parti. Il a dit avec regret : « J'ai essayé de vous aider à le distribuer, mais ça n'a pas marché. » Il m'a demandé d'où venait l'argent pour fabriquer les DVD. Je lui ai répondu que je les faisais avec mes propres économies. Il a répondu avec enthousiasme : « Vous êtes géniale. »

Traduit de l'anglais en France