(Minghui.org) Quand je vois partout dans la société les fonctionnaires corrompus du régime communiste, je sens que j'ai de la chance de ne pas avoir été victime de leurs manières corrompues.

Je sais que c'est parce que je pratique le Falun Dafa. J'ai le principe « Authenticité-Bienveillance-Tolérance » pour me laver des erreurs passées et me transformer en quelqu'un de bien, une citoyenne respectueuse des lois avec le sens des responsabilités envers sa famille et la société.

En suivant le courant, j'ai failli glisser dans l'abysse

Le Parti communiste chinois (PCC) a injecté en moi ses idéologies de matérialisme et d'athéisme. Je suis entrée dans le monde du travail, croyant en la théorie de l'évolution et au principe de la survie du plus fort, sans croyance dans les divinités ni dans le principe de rétribution karmique. Plus que tout, j'attachais de l'importance à la renommée et à la fortune.

Je dirigeais plus de 700 unités. Je travaillais parmi les organes du pouvoir et de la richesse. Je prenais soin de bien cultiver mes relations avec mes supérieurs uniquement pour accéder à plus de pouvoir et de richesse.

Au travail, j'étais dominatrice, toujours à montrer mon mauvais caractère, et je créais souvent des conflits ou m'engageais dans des disputes avec les collègues, tout en croyant que mon comportement était la norme et que c'était ainsi que cela devait être.

Quand mes collègues me demandaient de l'aide, je ne les regardais pas dans les yeux, convaincue qu'ils étaient inférieurs. À la moindre provocation, je les jetais même hors de mon bureau sans ménagement.

Il est souvent arrivé que lorsque des subordonnés venaient me chercher, ils tremblaient et hésitaient à ma porte, jusqu'à ce qu'ils puissent rassembler assez de courage pour entrer.

Il était devenu courant pour les gens, subordonnés et clients sans distinction, de me donner des cadeaux, et je les acceptais, sous prétexte d'occasions spéciales et de festivals. Ainsi ce que je recevais sous la table dépassait mon salaire.

J'avais aussi pris des millions des unités que je dirigeais pour les utiliser dans des affaires louches et générer de l'argent sale.

A la maison, en tant qu'épouse et mère, je ne prenais pas beaucoup soin de ma famille ni de mon enfant, ce qui a conduit mon mari à avoir des relations extra-conjugales ; donc je me disputais avec lui, même physiquement, faisant de notre foyer un désastre.

Avec les revenus supplémentaires, et pour soulager ma peine et ma frustration, je passais mes heures libres à fréquenter des restaurants haut de gamme, des hôtels de luxe et des bains publics de haut niveau. Chaque jour je me noyais dans les excès de nourriture, d'alcool, et m’adonnais à tous les plaisirs de ce monde.

De mon testament à rentrer dans Dafa

Je pensais que ce sont les plaisirs terrestres qui me donnent le bonheur et que cela avait du sens de vivre ainsi.

Donc je me suis traînée, égarée, sans but dans la vie jusqu'à l'hiver 1998, quand j'ai eu 38 ans.

Je n'aurais jamais pu imaginer être frappée de manière aussi soudaine. C'est arrivé comme l'éclair, totalement sans prévenir.

Du jour au lendemain, mon estomac et mes intestins se sont mis à pourrir. Je suis passée de 59 kg à 40 kg. Aucun médicament n'y faisait rien. Les docteurs voulaient me recommander une opération mais ne savaient pas par quel bout commencer.

Les trois plus grands hôpitaux de Pékin ont diagnostiqué que je souffrais d'ulcères à l'estomac et de colite. Les médecins ne faisaient que nommer la maladie sans vouloir donner plus d'informations.

Quand j'ai été hospitalisée, j'ai attrapé une autre maladie étrange dont un symptôme était que j'avais un flot constant de salive. Le médecin traitant de l'hôpital a avoué que son établissement ne pouvait rien faire pour moi, et que ce dont je souffrais était probablement d'une nature anormale, une maladie rare.

J'étais très surprise. « Quoi, il y a des maladies qui ne peuvent pas être diagnostiquées, que l'hôpital ne comprend pas et pour lesquelles il ne peut proposer aucun remède ? »

J'étais complètement perdue. Cette attaque soudaine était une chose à laquelle ma famille n'était pas préparée. D'après l'attitude des médecins et leurs manières, je savais qu'il n'y avait aucun espoir pour moi.

« Donc combien de temps me restait-il à vivre ? Deux ans ? Quelques mois ? ... » Personne ne savait. Complètement impuissante, j'ai dû quitter l'hôpital. Je suis rentrée à la maison pour mourir.

Quand il pleut, c'est à verse. Quand je suis rentrée chez moi, tout d'un coup, j'ai perdu la capacité de marcher.

J'ai senti un sablier invisible qui mesurait le peu de temps qui me restait. « Pourquoi ? Comment une personne si pleine de vie encore et d'espoir pouvait-elle voir son séjour sur terre se terminer de manière si soudaine ? »

En repensant à tout ce qui m'était arrivé si rapidement et inexplicablement, un chagrin sans précédent m'a submergée et accablée... j'allais perdre tout ce que j'avais dans la vie. Mon enfant perdrait l'amour maternel. Mes parents âgés pleureraient le décès de leur enfant.

Quand j'ai quitté l'hôpital de Pékin, mes parents étaient résignés au fait de ne plus jamais me revoir. Au travail de mon mari, ils lui ont donné du temps pour préparer mes funérailles. J'ai écrit mes dernières volontés et mon testament et l'ai remis à ma belle-mère.

Mon enfant n'avait que 7 ans. Il y avait tant de gens et de choses que je n'étais pas prête à quitter. La vie n'est vraiment qu'une pièce de théâtre. Nous jouons tous un rôle, mais personne ne sait quand un rôle se termine et quand cette personne va quitter la scène.

Le Falun Dafa m'a tirée de la misère

Avec mes bases idéologiques, j'avais déjà dérivé très loin des divinités. L'éducation du Parti s'est toujours concentrée sur l'athéisme. Dès leur plus jeune âge, les enfants sont endoctrinés, on leur fait croire qu'il n'y a ni ciel ni enfer, et aucune rétribution ni conséquence pour aucune de nos actions.

Cependant la rétribution m'avait frappée en se manifestant dans mon corps. La mort pesait sur moi, et pourtant ma mère qui avait déjà les cheveux blancs ne m'a pas abandonnée.

Elle m'a donné un exemplaire du texte principal du Falun Dafa Zhuan Falun en me disant : « Mon enfant, tu peux encore être sauvée. Si tu crois en Falun Dafa et que tu fais de ton mieux pour être quelqu'un de bien, tu seras sauvée. Pourquoi n'essaies tu pas cette pratique ? »

J'avais toujours considéré que j'étais une bonne élève et un bon produit du système éducatif dogmatique du Parti. Je faisais partie des cadres nationaux. Je ne m'étais jamais identifiée à une mauvaise personne.

Dans cette situation désespérée, cette perte énorme, le mot « divinités » a surgi dans mon cœur.

Parfois, quand on souffre d'une maladie et que l'on se sent impotent, on a tendance à tout essayer pour trouver le moindre soulagement. Donc, j'ai réfléchi : « Pourquoi pas ? Ça ne peut pas faire de mal. Je vais essayer ! »

En apprenant les exercices, j'ai senti beaucoup de faluns tourner pour ajuster mon corps. Aussitôt, des décennies de pensées athées se sont évaporées de ma conscience.

En moins d'une semaine, j'ai guéri de toutes mes maladies, y compris, ma maladie cardiaque, mes rhumatismes, ma pancréatite. En étudiant le Fa, j'ai fini par comprendre ce que signifie être une bonne personne.

Renaître pour devenir une bonne personne dans la société

En pratiquant le Falun Dafa, toutes mes maladies ont disparu.

Mon cœur était rempli de reconnaissance, donc j'ai fait la première chose que je pensais devoir faire, j'ai rendu tout l'argent sale que je devais, même si je savais pertinemment que ce que je faisais allait contre la tendance sociale et contre mon statut professionnel.

J'ai travaillé pour me débarrasser de toutes mes mauvaises habitudes passées. Je ne me mettais plus en colère, ni ne provoquais de conflits, ni n'acceptais de cadeaux. J'ai arrêté d'aller dans les bars à karaoké.

J'ai commencé à vivre en respectant strictement le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, traitant tous mes clients comme des proches, en m'occupant sincèrement de leurs problèmes.

Je refusais tout quand mes clients essayaient de me donner toutes sortes de cadeaux par reconnaissance et de leur plein gré. Certains anciens clients ont été émus aux larmes quand ils ont vu à quel point j'avais changé. Ils ont dit que mon ancien moi n'existait plus.

Certains clients non seulement ont quitté le Parti et tous ses organes affiliés, mais ils sont aussi entrés dans Dafa et ont commencé à pratiquer le Falun Dafa.

Voici quatre cas :

« Je ne fais que mon travail, je n'accepte pas les cadeaux. »

Le client Wang, propriétaire d'une société de ciment, pouvait jouir d'un revenu annuel confortable grâce à mon tampon d'approbation.

Chaque année ma signature sur l'audit de sa société lui permettait de recevoir un capital de 20 à 30 millions de yuans.

Durant toutes ces années, j'avais accepté des cadeaux du client Wang comme si c'était normal, car c'était la coutume, même si tout ce que j'avais fait pour lui n'était rien de plus que ce que mon poste exigeait.

Quand je suis devenue pratiquante de Falun Dafa, j'ai refusé son offre de cadeau. Le client Wang était très choqué. Il ne pouvait pas comprendre. Il pensait que je n'étais pas contente de ce type de cadeau ou de sa valeur.

Je lui ai expliqué : « Je n'ai fait que mon travail, je n'accepte pas les cadeaux. En plus, je pratique le Falun Dafa maintenant. La Loi de Bouddha en laquelle je crois et que je suis ne me permet pas d'accepter les cadeaux. »

Interloqué, le client Wang a dit : « Mais les temples bouddhistes acceptent les cadeaux. »

Je lui ai expliqué : « Ce en quoi je crois et que je pratique n'est pas le bouddhisme mais la Loi de Bouddha qui nous guide à ne faire que ce qui est juste. Ce que je fais pour vous et pour d'autres est simplement mon travail. Je suis payée pour faire ce travail. J'aurais tort d'accepter des cadeaux. »

J'ai aussi profité de l'occasion pour lui dire que la persécution contre le Falun Dafa est une injustice, que l'immolation Place Tiananmen était un coup monté et qu'il est impératif pour lui de renoncer au PCC et à ses organes affiliés.

Quand il a eu compris la vérité, il s'est dépêché de démissionner sincèrement du Parti. Son comptable est même devenu un pratiquant de Falun Dafa.

« Qui commet un crime ? »

Un autre de mes clients possédait une entreprise privée. Lors de la revue annuelle, j'ai découvert que sa société non seulement avait une taxe inexpliquée de près d'un million de yuans mais avait aussi produit un rapport falsifié sur un revenu de dizaines de millions de yuans afin d'obtenir un crédit local.

Le client n'était pas chez lui à ce moment-là, donc je l'ai expliqué à quelqu'un de sa famille, président du congrès du peuple local : « À lui seul, le document falsifié pourrait vous coûter plusieurs millions en impôts. Ensuite l'impôt pour le revenu non expliqué serait de près d'un million. »

Le président du congrès du peuple local a cherché le directeur du bureau financier. Après avoir expliqué la situation le directeur a pris peur. Il a envoyé son directeur adjoint pour m'offrir des cadeaux et demandé au président de me payer une énorme somme pour « arranger les choses. »

Je leur ai dit : « Je pratique le Falun Dafa, je ne peux accepter ni cadeaux ni argent. »

Je leur ai rappelé : « La racine du problème dans la société actuelle est le résultat direct de décennies d'éducation sous forme de lavage de cerveau par les mensonges, la malveillance et la lutte propagée par le Parti communiste.

Ensuite, je leur ai raconté mon expérience personnelle, comment je suivais le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance mais que j'avais été persécutée par le Parti communiste qui continue à diffamer et réprimer la pratique alors que cette pratique n'apporte rien que des bienfaits aux pratiquants comme aux non pratiquants.

Je voyais bien que mes paroles touchaient leur cœur.

Le président a confié : « J'ai vraiment commis un crime. Je suis allé de maison en maison pour dire aux gens de ne pas pratiquer le Falun Dafa. Je ne savais pas que le Falun Dafa est bon. Je n'ai écouté que le côté de la propagande du PCC. »

Finalement ils ont exprimé leur décision de ne plus être dupés par le PCC, de renoncer au Parti, de se conduire selon les enseignements de Dafa, et de commencer à lire les livres du Falun Dafa.

Je ne vais pas causer du tort à une personne de bien ! »

J'ai un ami qui était secrétaire du Comité des affaires légales et politiques. Il ne cherchait pas à s'attirer les bonnes grâces des fonctionnaires haut gradés, il n'acceptait pas non plus les cadeaux, donc sa carrière avait quasiment stagné.

Il détestait le régime chinois corrompu, mais quand je lui ai clarifié la vérité et lui ai demandé de démissionner du Parti et de ses organes affiliés, il a refusé.

Avant le tremblement de terre de 2008 dans le Sichuan, lors d'un dîner je lui ai de nouveau parlé de la notion de rétribution. Et pourtant, il n'était pas persuadé.

Après le tremblement de terre du Sichuan, il s'est précipité pour me téléphoner et m'a demandé de l'aider à démissionner du Parti, disant qu'il avait fini par croire que ce que je disais était la vérité.

Un pratiquant de Falun Dafa qui avait été condamné arbitrairement aux camps de travaux forcés devait être relâché. Cependant le Bureau 610 municipal a comploté pour l'envoyer dans un centre de lavage de cerveau pour continuer à le persécuter.

Pour chaque pratiquant de Falun Dafa envoyé au centre de lavage de cerveau, il est courant que le gouvernement paie 20 000 yuans, dont 5000 yuans vont au secrétaire local du Comité des affaires légales et politiques.

Mais mon ami qui comprend la vérité a refusé d'être impliqué en disant : « Je ne veux pas causer de tort à une personne de bien ! Je ne veux pas de cet argent. Je fais cela pour que mes enfants et petits-enfants soient bénis pour mes bonnes actions. » Il s'est aussi assuré que le pratiquant était bien renvoyé chez lui.

« Je ne fais que ce que le Maître de Dafa attend de moi »

Le client Chen possède une société de métallurgie. En 2014, j'ai découvert que des impôts n'avaient pas été payés pour une vente particulière. Le client Chen et son comptable étaient très inquiets parce que la fraude à l'impôt est un crime grave.

Je l'ai rassuré en disant : « Je suis sûre que c'est parce que vous n'êtes pas au courant de cette régulation spécifique. Je vais partager avec vous cette information et vous dire tout ce que vous ne savez pas ou ne comprenez pas.

Quand l'affaire fut résolue, le client Chen m'a tendu une grosse somme d'argent dans une grosse enveloppe rouge pour me témoigner sa gratitude. J'ai refusé l'enveloppe : « Je pratique le Falun Dafa. Je ne fais que ce que le Maître du Dafa attend de moi. »

J'ai appris qu'ils avaient d'abord pensé que j'avais fait cela avec une arrière pensée. Quand ils ont réalisé qu'ils avaient tort, le client Chen m'a dit : « Si tout le monde était comme toi, il n'y aurait plus de corruption, et nous serions un pays formidable ! »

Le client Chen, son comptable ainsi que son équipe ont tous démissionné du Parti.

Sauver les êtres avec un cœur de compassion

Quand ma belle-mère est tombée malade, je l'ai prise chez moi pour m'en occuper.

Elle avait un locataire âgé dans l'appartement du dessus. Un jour, de l'eau a coulé dans l'appartement inondant les pièces du dessous de ma belle-mère.

Comme il ne trouvait pas ma belle-mère, le locataire âgé a eu si peur qu'il a fait une attaque cardiaque et a dû être hospitalisé.

Il avait peur d'être racketté et de devoir payer beaucoup d'argent pour les dégâts des eaux. Finalement il a contacté les autorités.

Quand il a fini par nous trouver, il nous a demandé : « Combien d'argent dois-je vous payer ? »

Ensuite il a ajouté : « Ce n'est pas facile pour moi. Mon fils est mort. Je loue cet appartement pour être avec mon petit-fils alors qu'il va à l'école. Je ne gagne qu'un maigre salaire. Ne m'en demandez pas trop. Je vous en supplie. »

À ce moment là, nous n'avions pas encore vu les dégâts, mais j'ai dit au locataire âgé : « Ne t'inquiète pas. Je ne te demande pas d'argent du tout, pas un centime. »

Il nous a regardés comme sous le choc : « Vous ne réclamez pas d'argent ? » Il pensait avoir mal entendu.

J'ai commencé à lui clarifier la vérité. Je lui ai dit : « Cette fuite, tu ne l'as pas provoquée exprès. Tu était si inquiet de cela que tu as dû être hospitalisé. Ce n'est pas facile quand on doit aussi s'occuper d'un petit enfant. »

Quand je suis finalement allée chez ma belle-mère, je n'ai remarqué aucun dommage, juste un peu d'humidité sur le mur où l'eau avait transpercé.

Par la suite, le locataire âgé a parlé de cet incident partout et en général la réaction des gens était : « Impossible. Ne rien demander pour les dégâts ?! Il n'y a personne comme ça de nos jours. Arrête de répandre des rumeurs. Qui ne demanderait pas une grosse somme d'argent en compensation ! »

Depuis, le locataire âgé vient me rendre visite chaque année, parfois il apporte des choux, des noisettes de la montagne, des haricots, du maïs etc. J'achète des crevettes et autres produits en retour. Je lui ai donné les livres de Dafa et d'autres écrits et il les a lus.

Ensuite il s'est trouvé une épouse, finalement toute sa famille a démissionné du Parti et s'est retirée de ses organes affiliés.

Un comptable junior qui n'est pas sous ma responsabilité n'arrête pas de dire : « Qu'est ce qui l'a fait changer comme ça ? Qu'est ce qui t'a fait changer comme ça ? Tu était si autoritaire. Tu était si mordante et parlait de manière très dure. Comment es-tu devenue si douce et gentille ? Comment es tu devenue aussi bien ? »

J'étais considérée comme la personne la plus redoutable de mon unité, quelqu'un que personne n'osait offenser. Je ne pensais jamais aux autres. Je n'avais jamais pensé que c'était mal de blesser les autres. J'agissais comme si tout le monde me devait quelque chose.

Je passais mes nuits à manger, boire et m'amuser à l'excès. Les gens me gâtaient et me faisaient plaisir, parce qu'ils avaient besoin de moi, et je pensais que ça devait être comme ça.

Après avoir obtenu Dafa, le Maître a non seulement purifié mon corps, mais Il m'a aussi rendue très consciente que la moralité est indispensable et la chose la plus précieuse dans la vie.

Je suis le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance comme critère pour être une personne de bien, pensant toujours aux autres d'abord, et ne me battant jamais pour mes intérêts personnels.

Maintenant je veux tirer avantage de ma position pour servir la société et offrir de l'aide à tous ceux qui en ont besoin. Je veux que tous ceux qui entrent en contact avec moi puissent comprendre la véritable signification de Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Je veux utiliser le temps limité qui reste pour sauver autant de personnes que je peux.

Traduit de l'anglais en France