(Minghui.org) Durant mes 17 années de pratique dans le Falun Dafa, le principe de Dafa Authenticité-Bienveillance-Tolérance a remodelé ma vie, si bien que j'ai été capable de traiter ma fille non-biologique comme la mienne.

Je souhaite écrire mes expériences personnelles dans l'espoir que tous ceux qui liront mon histoire, lorsqu'ils rencontreront les tribulations de la vie, des contradictions et des moments difficiles, se souviendront que le pouvoir d'Authenticité-Bienveillance-Tolérance peut nous aider à cultiver l'altruisme et l'authentique gentillesse pour rendre les choses bonnes à nouveau.

Comment j'ai abandonné mon éducation

Ma famille possédait une ferme à la campagne. Je suis née avec un fort tempérament et j'étais têtue. J'ai quitté l'école alors que j'avais 13 ans.

C'était en septembre 1976, je venais juste de commencer le collège. Durant le cours de politique, le capuchon de mon stylo est tombé par terre. Je me suis penchée pour le ramasser et j'ai accidentellement poussé une camarade de classe, qui s'est alors mise très en colère contre moi et nous nous sommes querellées.

L'enseignant s'est approché de nous et m'a demandé : « De quel genre de famille viens-tu ? »

J'ai répondu : « De riches fermiers. »

Il a répliqué : « Pas étonnant ! Tu viens d'une mauvaise lignée ! »

Puis il s'est mis à me réprimander.

Lorsque je suis revenue à la maison, j'ai décidé que je ne retournerais pas à l'école.

Mes parents, mon frère, ma sœur et tout le monde ont essayé de me faire changer d'idée, mais j'étais catégorique.

À partir de ce moment-là, je suis restée à la maison et j'ai aidé pour toutes les corvées. J'ai fait de mon mieux pour m'occuper de tout, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de la maison. Cependant, j'utilisais tous les moments libres pour lire et apprendre par moi-même ce que j'aurais dû apprendre à l'école et plus encore.

Ainsi, ma personnalité rigide m'a accompagnée à travers toute sorte de hauts et de bas pendant plus de 30 ans.

Comment Dafa m'a aidé à élever ma belle-fille

À la fin de 1998, j'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa. C'est aussi l'année où je me suis mariée. Mon mari était divorcé et avait une fille de huit ans qui s'appelle Chenchen.

Chenchen était intelligente, mais plutôt difficile à gérer.

Un jour, elle m'a regardée et m'a dit : « Tu es plutôt bien et sembles plutôt sympa. Tu as un an de plus que mon père, mais ça ne me dérange pas ! »

Je trouvais que sa remarque était très intéressante. Je pensais : « Pauvre enfant! Tes parents ont divorcé et ta mère t'a abandonnée. Bien que je sois ta belle-mère, je dois bien prendre soin de toi. »

Six jours après mon mariage, mon petit frère m'a acheté de nouveaux vêtements. Tout le temps de sa visite, Chenchen m'a appelée maman.

Aussitôt que mon frère fut parti, Chenchen m’a demandé : « N'ai-je pas bien fait aujourd'hui ? J'ai continué à t'appeler maman et non tante, n'est-ce pas ? »

Ce qu'elle voulait dire en m'appelant maman, c'est qu'elle essayait de montrer à mon frère la relation intime que nous avions.

J'ai été étonnée par sa remarque. J'ai pensé : « Cette petite fille est quelque chose… »

À partir de ce moment-là, les choses sont devenues un peu délicates. Elle a commencé à me faire de la peine et à me causer des ennuis sans fin.

Mon mari travaillait tous les jours, donc il y avait seulement Chenchen et moi à la maison. Un jour, Chenchen m'a demandé : « Combien d'argent mon père te donne-t-il tous les mois ? Combien en dépenses-tu et combien en reste-t-il ? »

Elle m'a aussi dit que je devrais gagner un peu d'argent moi-même. Plus tard, elle a réellement suggéré d'être la responsable pour toutes les questions d'argent !

J'ai été choquée et amusée. Je pensais : « Tu es si jeune. Tu n'as même pas le droit à une carte d'identité. Comment comptes-tu gérer les finances de notre famille ? Tu es une petite personne, mais ton ambition est en effet énorme ! »

Un jour, une voisine a tranquillement partagé avec moi : « Chenchen n'est pas une enfant ordinaire. C'était quelque chose pour une enfant. Elle a l'habitude que tout le monde satisfasse ses besoins ! »

Elle a continué à me raconter beaucoup de choses capricieuses et vexatoires que Chenchen était connue pour avoir faites.

J'ai souri et dit : « Je suis mariée à son père maintenant. Connaître ces choses de son passé ne sert à rien de bon. D'ailleurs, je pratique le Falun Dafa, donc je dois faire le meilleur pour mon enfant et ma famille. »

En tant que disciple de Dafa, je dois vivre en accord avec Authenticité-Bienveillance-Tolérance, donc je me suis souvent dit : « L'enfant a été gâtée et égarée depuis si longtemps. Maintenant qu'elle est devenue ma fille, je dois bien la traiter, tolérer son insolence et sa mauvaise humeur, l'élever comme si elle était de mon sang et l'aider en la guidant avec les enseignements du Falun Dafa. »

Par rapport à ce que j'étais avant que je pratique le Falun Dafa, j'ai vraiment connu une renaissance. Je n'étais plus capricieuse ou têtue, mais j'étais devenue très bonne et gentille.

Mais la cultivation de Dafa est stricte et je sais que j'ai un long chemin à parcourir avant d'être totalement à la hauteur des exigences d'Authenticité-Bienveillance-Tolérance.

Après trois ans de mariage, j'ai donné naissance à un petit garçon. Maintenant, Chenchen avait un petit frère de 11 ans plus jeune qu'elle. Je suis devenue de plus en plus patiente avec Chenchen.

Lorsque Chenchen a été diplômée du premier cycle du secondaire, elle voulait son propre bureau. Elle a trouvé un bureau qu'elle pensait aimer particulièrement. Je lui ai promis que nous irions le regarder le lendemain après-midi.

Le lendemain, nous avions planifié d'aller voir le bureau après que je sois allée prendre son frère au jardin d'enfants. Mais mon petit garçon s'est endormi, donc j'ai décidé d'abandonner notre plan.

Chenchen insistait pour qu'on laisse son frère dormir à la maison et que l'on y aille. Cependant, je ne pensais pas que c'était bien et prudent de faire cela. En outre, le bureau pouvait attendre.

Chenchen a perdu son calme : « Nous pouvons encore y aller avec mon petit frère endormi à la maison. Ma mère avait l'habitude de sortir pour jouer au mahjong et me laissait toute seule à la maison tout le temps. »

Parce que je n'étais pas d'accord, elle est devenue de plus en plus contrariée. Elle a commencé à s'agiter et à me frapper le dos.

J'ai pensé : « Ce n'est pas un comportement acceptable. Elle ose me frapper une première fois, il y aura une deuxième fois. Elle doit arrêter cela dès le départ. »

Donc, je me suis retournée, je lui ai tenu les deux bras et j'ai dit avec sévérité : « Est-ce qu'un enfant a le droit de frapper un adulte ? »

Chenchen s'est assise sur son lit et a commencé à sangloter bruyamment. Cela a réveillé son petit frère qui a demandé : « Maman, est-ce que tu as frappé ma grande sœur ? »

Je lui ai dit  « Je n'ai pas frappé ta sœur. C'est ta sœur qui m'a frappée. »

Mon fils a dit : « Je n'ai pas vu ma grande sœur te frapper. »

J'ai pensé : « Tu étais endormi. Bien sûr que tu n'as pas vu ce qui s’est passé. »

Puis j'ai pensé encore : « Qu'est-ce que je suis en train de faire ? Je suis une pratiquante. Je dois exercer la compassion. Je dois pratiquer la tolérance ! »

Je n'ai jamais discuté avec son père, peu importe ce qui se passait entre Chenchen et moi. J'ai uniquement parlé à Chenchen quand les choses se calmaient et que nous étions en bons termes.

Parfois, quand elle refusait délibérément d'entendre raison, je lui disais : « Partage avec tes camarades de classe demain et vois ce qu'ils en pensent. »

Chenchen disait immédiatement : « Si tu leur parles, je vais mourir et ne pas vivre longtemps ! »

Comment Dafa a changé ma belle-fille

Peu à peu, Chenchen a commencé à changer. Elle admettait ses erreurs. Elle ne se battait plus ni ne se disputait de façon incontrôlable. Après une crise de colère, elle venait d'elle-même me dire : « Maman, je suis désolée. J'avais tort. »

Bien sûr, elle se mettait encore en colère parfois et je faisais de mon mieux pour la calmer. Je ne me sentais pas en colère contre elle non plus. Je pouvais sentir mon cœur devenir de plus en plus grand.

Une fois, Chenchen voulait que j'aille lui acheter un cahier d'exercices de calcul. Je lui ai dit : « Je vais t'acheter ton livre d'exercices, mais tu dois promettre de travailler fort dessus. »

Elle est devenue contrariée par ma remarque et a commencé à faire une crise. Elle a levé son visage vers le plafond et elle s'est mise à hurler, voulant délibérément que les voisins l'entendent. Mais elle pleurait sans larmes et pendant ce temps, elle mangeait également des arachides.

Je l'ai taquinée : « Tes pleurs sont comme le tonnerre sans pluie. Quiconque t'entend, pensera sans aucun doute que ta belle-mère te maltraite. »

Elle a continué pendant un petit moment, puis s'est arrêtée.

Parfois, je voulais lui attacher les cheveux à la maison et elle se plaignait à propos de ceci ou cela, ou disait que je lui faisais mal.

Je riais et la taquinais en disant à son petit frère : « Tu as entendu ça ? Elle n'ose pas se plaindre au salon, même lorsqu'elle doit les payer avec beaucoup d'argent. Sa mère s'occupe de ses cheveux gratuitement et elle ne reçoit que des plaintes en retour. »

Nous ne sommes pas riches, alors je ne mangeais jamais de collations ni ne dépensais de l'argent pour quelque chose de frivole ou de cher, mais je donnais à Chenchen tout ce qu'elle voulait et demandait. Si elle voulait acheter quelque chose, j'allais l'acheter pour elle, mais je ne voulais pas dépenser de l'argent pour moi.

Chaque fois que Chenchen disait qu'elle aimerait manger ses raviolis chinois préférés à la viande, je lui en faisais un grand bol, mais je n'en prenais jamais une part.

Un jour, elle est allée visiter une camarade de classe où sa mère a fait un certain plat de raviolis chinois et ils les ont mangés ensemble.

Chenchen est devenue curieuse et a demandé : « Tante, vous mangez cela ? »

La mère de son amie voulait savoir pourquoi elle demandait cela, alors Chenchen a dit : « Ma mère ne mange jamais ce genre de nourriture. »

C'est ce que la mère de sa camarade de classe m’a dit plus tard.

Le temps passant, je commençais à sentir que la relation que Chenchen et moi avions n'était pas différente de celle d'une mère biologique avec sa fille.

Bien que Chenchen ne m'ait jamais rien dit à ce sujet, à partir du moment où elle est allée à l'université pour obtenir un diplôme pour entrer dans le monde du travail, elle vient cependant encore me voir chaque fois qu'elle rencontre des problèmes et qu'elle ressent le besoin d'avoir des conseils ou une oreille compatissante.

Parfois elle me demande : « Maman, comment fais-tu pour bien te comporter avec les gens ? Tu as tant de bonnes relations avec un grand nombre d'entre eux. »

Puis je lui ai parlé à nouveau du principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance que le Falun Dafa enseigne.

Chenchen donnait quelques pensées suite à ce que je disais et était la plupart du temps d'accord que les principes de Dafa sont corrects et logiques, mais parfois, elle faisait la remarque : « Dans la société de nos jours, si nous ne sommes pas forts et agressifs, les gens vont t'intimider et profiter de toi! »

Alors je lui ai expliqué : « Ce que les défenseurs du Parti communiste défendent est le mensonge, la brutalité et la lutte. Mais quel genre de problèmes ont-ils résolus ? Ils ne font que rendre les gens de plus en plus indifférents les uns aux autres, en faisant glisser la moralité de la société de plus en plus bas et finalement tout le monde est victime.

« En tant que personnes vivant entre le ciel et la terre dans l'univers, nous devons suivre les caractéristiques de l'univers : Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Seuls ce principe amènera aux gens une plus grande harmonie et la prospérité. Regarde vers l'avenir et tu sauras que ce que je te dis est la vérité. »

Chenchen a acquiescé.

La fille de mon frère Xiaoxia a aussi une belle-mère avec qui Xiaoxia ne jouit pas d'une bonne relation.

Une fois, Chenchen a dit à Xiaoxia  « Tu n'as pas ma chance. J'ai une mère gentille. »

Comment ma belle-fille est venue à mon secours

En 2015, la police a perquisitionné mon domicile et m'a emmenée dans un centre de détention où j'ai été détenue pendant plus de 10 jours.

Ma sœur est venue chez moi pour aider à s'occuper de mon fils.

Plus tard, elle m'a dit : « Après que tu as été enlevée, Chenchen a pris congé du travail et est allée au poste de police, au Bureau de la sécurité publique et au Parquet pour exiger ta libération. Elle a pleuré chaque nuit jusqu'à ce que tu rentres à la maison saine et sauve. »

J'ai appris que pendant ma détention, Chenchen allait visiter tous les jours tous les fonctionnaires gouvernementaux concernés pour leur parler longuement.

Elle leur disait : « Ma mère n'est pas ma mère, mais j'ai pris congé de mon travail et je suis venue ici tous les jours pour vous demander de la laisser partir. Pourquoi ? Parce qu'elle m'a élevée pendant 17 ans comme si j'étais de sa propre chair et de son propre sang. Elle est capable de le faire parce qu'elle pratique le Falun Dafa. Comment pouvez-vous enlever et retenir une personne si bonne et désintéressée ? »

Elle leur a rapporté en détail un tas d'histoires que nous avions vécues entre nous au fils des années.

De toute évidence, elle avait pris à cœur le Dafa que j'avais partagé avec elle toutes ses années quand elle grandissait sous mon aile.

En dépit de ses constantes colères, elle savait faire la différence entre le bien et le mal, le bon et le mauvais, la vérité et le mensonge. La notion d'Authenticité-Bienveillance-Tolérance avait pris racine dans son cœur.

Chenchen a été en mesure de conserver dans sa mémoire beaucoup d'histoires touchantes de nos 17 années communes, alors que je m'efforçais de vivre ma croyance dans le Falun Dafa et de faire de mon mieux, selon les enseignements de Dafa d'Authenticité-Bienveillance-Tolérance.

Maintenant, ces histoires à leur tour touchaient le cœur des policiers, des procureurs et des avocats et leur ont permis de voir la beauté du Falun Dafa et la bonté de ceux qui y croient et le pratiquent.

Quand j'ai été accusée, le procureur m'a montré du respect. Je savais qu'il était au courant que j'étais le producteur responsable d'une bonne quantité de documents de Dafa que la police avait trouvé dans mon domicile.

Le procureur a commencé en m'informant : « Je suis pleinement conscient de votre situation familiale. Votre fille nous a beaucoup parlé... »

Puis il m'a conseillé de ne pas répondre à beaucoup des questions sur les renseignements de routine. Sur le document officiel, il a noté : « N'a pas répondu. »

Finalement, il a demandé si j'avais une toute dernière demande, après quoi j'ai répondu avec un retentissant « libérée ! »

Il a noté ma réponse sur le document officiel et m'a dit : « Vous entendrez notre décision dans les trois jours. »

Trois jours plus tard, j'ai été libérée.

Après cela, je suis allée au Parquet pour clarifier la vérité sur la persécution du Falun Dafa.

Le procureur m'a informée : « Vous, les gens du Falun Dafa, êtes de bonnes personnes. Vos arrestations sont toutes des erreurs judiciaires... Je vais voir à ce que tous les cas qui passent par mes mains soient réglés dans un délai de sept jours. Je vais silencieusement aider tous les pratiquants de Falun Dafa au meilleur de ma capacité. Je peux vous le promettre. »

Comment j'ai continué à valider Dafa à la police

Je suis aussi allée vers le chef de police qui avait ordonné mon enlèvement. Je savais qu'il avait arrêté un certain nombre de pratiquants de Falun Dafa locaux et avait menacé certains d'entre eux de la perte de leur emploi. Nous lui avions écrit des lettres et lui avions téléphoné, mais nos tentatives avaient échoué jusqu'à présent.

Quand je suis allée à son bureau, je lui ai sincèrement dit de ne pas écouter les mensonges du Parti communiste. J'ai aussi partagé avec lui combien il serait prudent et important pour lui de renoncer à un tel parti pervers pour sa paix personnelle et pour sa sécurité, et la sécurité future.

Il m'a soudainement confié : « Ma tante n'était pas la fille biologique de ma grand-mère, pourtant ma grand-mère l'a également très bien traitée. Mais cela est arrivé il y a une centaine d'années. Il est maintenant presque impossible de trouver des gens comme vous et ma grand-mère. »

Puis il a partagé avec moi ce que Chenchen lui avait dit quand elle le cherchait dans le but que je sois libérée.

Il a ajouté : « Les gens qui veulent me persuader de quelque chose doivent me convaincre avec leurs paroles et leurs actions exemplaires. Ma famille croit en Dieu, mais personne n'a réussi à me convaincre de quoi que ce soit. »

Je lui ai dit : « Vous savez déjà que le Falun Dafa est bon, pourquoi ne me permettriez-vous pas que j'utilise le site Internet à l'étranger pour vous aider à démissionner du Parti communiste ? »

Je lui ai dit honnêtement et franchement : «Vous étiez en manque de compassion dans le passé, mais quand vous vous séparez du Parti pervers, votre côté compatissant ressortira. »

Il a été d'accord sans manquer un battement : « Oui. Je démissionne du Parti. »

Je continue maintenant à aller au poste de police local pour clarifier la vérité. Les policiers ont remarqué combien leur chef est chaleureux envers moi, ils se comportent aussi de même.

Parfois, quand il nous arrive d'être là où il n'y a pas de dispositifs de surveillance ou autre contrôle, certains d'entre eux ouvrent même leur cœur et partagent avec moi les problèmes épineux de leur vie.

Je cherche toujours à utiliser le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance pour analyser leur situation et leur recommander les meilleures solutions.

Je me rends compte que l'inclination naturelle de plusieurs dans la force policière est encore celle de la bonté et de la gentillesse. Ils sont simplement empoisonnés par la propagande et les mensonges constamment renforcés par le Parti communiste, de sorte que quand ils exercent leurs fonctions, ils sont par inadvertance égarés par la « nécessité d'exécuter les ordres », avec lesquels ils ont été bombardés.

Un jour, je me suis réveillée en profonde réflexion à partir d'un rêve où j'avais rêvé que j'étais dehors.

Le rêve et ma réflexion sont clairs pour moi que, en tant que pratiquante de Falun Dafa, si je suis en mesure de traiter une fille non-biologique comme la mienne, sans plainte ni ressentiment, ne devrais-je pas être en train de faire la même chose avec tous les êtres, y compris les policiers qui sont tellement trompés par le Parti pervers ?

La compassion de Dafa transcende tout. En tant que pratiquante de Dafa, je dois avoir la volonté d'utiliser la compassion apprise de Dafa pour éveiller tout le monde afin que chaque vie précieuse puisse profiter d'un bon et lumineux avenir.

Traduit de l'anglais au Canada