(Minghui.org) Des pratiquants de Falun Gong en Nouvelle-Zélande ont tenu une série d'activités en juillet 2016 pour marquer la 17e année de résistance pacifique de la pratique spirituelle contre la persécution du Parti communiste chinois.
Les pratiquants ont tenu un rassemblement et une exposition contre la torture et ont recueilli plus de 4 000 signatures demandant la fin de la persécution. Les événements ont eu lieu à Hamilton le 14 juillet, à Auckland le 16 juillet et à Wellington le 20 juillet. Lors de la manifestation du Falun Gong sur Aotea Square, le bureau du Premier ministre John Key a fait un appel téléphonique pour exprimer les meilleurs vœux du Premier ministre.
Les activités à Wellington : rassemblement (en haut), rassemblement district de la rue Cuba (en bas à gauche) et les exercices en groupe devant l'ambassade de Chine (en bas à droite)
Exposition anti-torture à Auckland
Rassemblement à Hamilton
Le président du Conseil d'Auckland pour les libertés civiles : Fier de soutenir le Falun Gong
M. Barry Wilson, avocat et président du Conseil d'Auckland pour les libertés civiles, a pris la parole lors du rassemblement et a dit qu'il admirait l'effort mondial des pratiquants de Falun Gong pour dénoncer la persécution perverse.
M. Wilson a fermement condamné les prélèvements d'organes par le régime chinois sur des pratiquants encore vivants et a dit que la Résolution américaine 343 était une percée. Il espère que les pratiquants en Nouvelle-Zélande continueront leur travail de dénonciation de la persécution.
Il a ajouté : « Je suis très fier de pouvoir soutenir le Falun Gong ! »
Un avocat des droits de l'homme : Les pratiquants sont innocents
M. Kerry Gore, un célèbre avocat des droits de l'homme a exprimé son soutien aux activités du Falun Gong et a dit que les pratiquants sauvegardaient leur croyance avec beaucoup de courage et de ténacité, ce qui en soi prouve la puissance du Falun Gong et du principe Authenticité, Bienveillance et Tolérance dans la pratique.
M. Gore a dit que la persécution est une violation grave de la Constitution chinoise et des conventions internationales sur les droits des citoyens. Il a dit que l'histoire prouvera que ces braves pratiquants de Falun Gong sont innocents et que ce sera le jugement le plus clair et précis de l'histoire.
Kerry Gore, avocat des droits de l'homme (en haut), le pratiquant de Falun Gong M. Huang Guohua (en bas à gauche) et le président du Conseil d'Auckland pour les libertés civiles, M. Barry Wilson (en bas à droite) ont pris la parole lors du rassemblement à Auckland.
La présidente pour la Défense des droits des patients de Waikato : Aucun mot ne peut décrire les prélèvements d'organes
Mme Carolyn McKenzie, présidente de la Défense des droits des patients de Waikato, a déclaré qu'il est difficile pour la plupart des gens en Nouvelle-Zélande d'imaginer que le gouvernement chinois ne pouvait pas supporter de voir un groupe de personnes dont la foi est si paisible et si bienveillante et qu'il les a même tués. Elle a condamné les prélèvements d'organes dans un but lucratif sur des prisonniers de conscience et a dit qu'aucun mot ne peut décrire sa méchanceté. Elle demande au gouvernement de la Nouvelle-Zélande de dénoncer les prélèvements d'organes par la Chine et la persécution brutale des pratiquants de Falun Gong.
Témoignage personnel de prélèvements d'organes
M. Huang Guohua, un pratiquant de Falun Gong, a raconté comment son épouse, Luo Zhixiang, était morte des suites de la persécution. Elle a été arrêtée alors qu'elle était enceinte de trois mois et est tombée du troisième étage d'un bâtiment pendant qu'elle était en garde à vue. L'hôpital a annoncé qu'elle était en état de mort cérébrale et que le traitement était arrêté tandis que son cœur battait encore. Cependant, on a interdit à Guohua de voir sa femme.
Quatre mois plus tard, ils avaient besoin de Guohua pour la paperasse pour la crémation de sa femme. Guohua a été sorti de son camp de travail et a finalement vu le corps ratatiné de sa femme. Il soupçonnait que ses organes avaient été enlevés. Des années plus tard, il a trouvé que cet hôpital était sur la liste des hôpitaux impliqués dans les prélèvements d'organes.
Guohua lui-même a été contraint de donner son sang pour des analyses plusieurs fois dans le camp de travail, dont trois fois en une seule journée.
Soutien du public
Des passants s'arrêtent pour s'informer au sujet des prélèvements d'organes et signent une pétition.
De nombreuses personnes ont exprimé leur ferme désir que la persécution cesse immédiatement.
Mme Traci Rugkin a été interviewée.
Mme Traci Rugkin a dit : « Je l'ai appris de mon père. Il s'est rendu dans un petit village en Chine. Il a rencontré une famille. Ils lui ont dit ce qui était arrivé à l'un des membres de la famille. Ils lui ont dit de ne le dire à personne là-bas, car ils pourraient être persécutés... Nous ne pouvons pas garder le silence. Ils n'ont rien fait de mal. Les persécuter serait un crime, de sorte que le gouvernement chinois doit cesser la persécution. »
M. Leen, un touriste venant d'Allemagne, a dit au journaliste : « Nous avons besoin de nous lever et de parler des droits de l'homme. Nous devons sensibiliser les gens à ce qui se passe en Chine. Ce qui se passe en Chine ne peut pas être toléré. Nous devons également informer les gouvernements. Ils devraient se lever et parler des droits de l'homme en Chine. »
Andy, un résident local, a déclaré : « Plus de gens devront se lever. Rappelez-vous, les gens ont le pouvoir. Nous leur donnons le pouvoir. J'espère que notre Premier ministre de la Nouvelle-Zélande va se lever et dire ''ça suffit.'' Oui, nous avons besoin du commerce, mais nous devons défendre ce qui est juste. »
Renee a dit qu'elle avait entendu parler de la persécution et a même jeûné pour sensibiliser les gens aux prélèvements d'organes. Elle a dit : « C'est une tragédie. Finalement, quand les gens regarderont cette période rétrospectivement, ce sera considéré comme la pire violation systématique des droits de l'homme de la fin du 20e siècle. »
Un étudiant chinois démissionne des organisations communistes
Un étudiant chinois, âgé de dix-neuf ans, a appris la supercherie des auto-immolations sur la place Tiananmen qui ont été mises en scène par le régime communiste dans le cadre de sa campagne de propagande contre le Falun Gong. Il a dit : « Je ne vais plus regarder les nouvelles en Chine où je vais être trompé par leurs mensonges. Je dois parler à mes parents et grands-parents à ce sujet. »
L'étudiant a volontiers démissionné des organisations du Parti communiste, qu'il avait rejointes auparavant, et voulait aider les pratiquants à stopper la persécution. Il a signé la pétition et a dit qu'il espère que sa voix sera entendue par les Nations Unies.
Traduit de l'anglais au Canada
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