(Minghui.org)

(Suite de la 1e partie)

Découvrir comment le maître d'une pratique vertueuse forme les disciples

À l'époque où je cherchais une pratique vertueuse, je n'avais jamais entendu parler d'un maître qui aidait ses disciples inconditionnellement tant qu'ils souhaitaient cultiver et pratiquer ou que ses Fashen continuaient à protéger les disciples jusqu'à ce qu'ils atteignent l'éveil.

Maître Li enseigne :

« Dans le bouddhisme, il y a une phrase que vous avez probablement déjà entendue : « Quand la nature de bouddha surgit chez quelqu’un, le Monde des Dix Directions en est ébranlé. » Celui qui voit cela viendra l’aider et l’aidera inconditionnellement. Dans l’école de Bouddha, on ne pose aucune condition préalable, on ne demande rien en échange pour sauver quelqu’un, on peut l’aider inconditionnellement, c’est pourquoi nous pouvons accomplir beaucoup pour les élèves. Mais pour une personne ordinaire qui veut simplement rester une personne ordinaire, qui veut guérir de ses maladies, cela ne marchera pas. Il y a des gens qui se disent en eux-mêmes : « Si je suis guéri, je commencerai à cultiver et pratiquer. » La cultivation et la pratique ne nécessitent aucune condition préalable – si vous voulez cultiver et pratiquer, alors cultivez et pratiquez. » (Zhuan Falun)

Je me sens spécial de pouvoir pratiquer le Falun Dafa et de suivre une pratique vertueuse. Cultiver le Falun Dafa est une affaire sérieuse et je sais que j'ai attendu des millions d'années pour cette opportunité.

Dès que j'ai décidé de pratiquer, j'ai abandonné ma peur face à un avenir incertain. J'ai arrêté d'avoir peur de mourir dans des accidents divers ou de maladies incurables. Je savais que je n'étais plus menacé par la rétribution karmique comme une personne ordinaire et qu'il y avait un être élevé qui me guidait et me protégeait.

Cet être élevé arrange même la façon dont ses disciples rencontrent la pratique. Il arrange les coïncidences de sorte que les disciples puissent souffrir et éliminer le karma. De cette façon, même lorsqu'ils sont perdus dans la renommée, le profit économique et les émotions du monde séculier, ils peuvent encore garder une qualité d'éveil suffisante pour reconnaître le chemin qui les ramènera à leur être véritable. Telle est la compassion d'un être élevé.

Un diseur de bonne aventure m'a dit qu'un sage qui pourrait offrir le salut naîtrait au cours de la période de la fin du Fa dans le nord-est de la Chine. Il a dit que la forme de la Chine ressemblait à une poule et que le sage naîtrait là où se trouve l'œil de la poule.

J'étais enthousiasmé et espérais pouvoir le reconnaître lorsqu'il commencerait à enseigner son Fa. Et j'y suis arrivé.

Lorsque j'ai découvert le Falun Dafa, j'ai admiré les pratiquants et souhaité faire partie de cette pratique. En même temps, je doutais sérieusement que je puisse être aussi diligent et heureux d'endurer les difficultés comme eux.

Cette nuit-là, cela m'a pris sept heures pour terminer de lire le Zhuan Falun en ligne. C'était l'aube et je voulais crier au monde : « J'ai trouvé la pratique vertueuse ! Elle existe et est juste ici ! Elle attend chacun de vous ! »

Après, je me suis calmé et j'ai compris que la plupart des gens aujourd'hui n'y croiraient pas. Ils ne croiraient pas que, en cette période de la fin du Fa, une pratique vertueuse qui offre le salut puisse être accessible en ligne et gratuitement.

Ils ne croiraient pas qu'elle n'exige aucun rituel, aucune dépense cachée et qu'on puisse la pratiquer sans devenir moine. Ils ne penseraient jamais que tant qu'ils souhaitent sincèrement pratiquer, le maître commencera à purifier leur corps avant qu'ils ne s'en rendent compte, uniquement pour leur simple désir de retrouver leur être authentique.

À partir du jour où j'ai fini de lire le Zhuan Falun, je n'ai plus jamais souffert d'insomnie et mon eczéma et mes problèmes digestifs ont disparu. Pendant des années et des années, j'ai dépensé tant de temps et d'argent à soigner ces problèmes et ils n'arrêtaient pas de réapparaître. Les enseignements du Zhuan Falun m'ont appris que pour un pratiquant, tout est souffrance pour éliminer le karma. Cela fait deux ans et je n'ai toujours pas pris un seul comprimé ; aucune de mes maladies n'a réapparu.

Mais lorsque j'ai dit aux membres de ma famille et à mes connaissances que mon insomnie – qui m'avait dérangé au cours des dix dernières années – avait disparu, personne ne m'a pris au sérieux.

Le Maître enseigne :

« Il faut croire avant de voir. » (« Enseignement du Fa à la conférence de Fa du Canada »)

La qualité d'éveil est ce qui importe lorsque le salut est offert. Les gens se noient dans les conceptions humaines et refusent de juger les choses de façon rationnelle.

Je ne pouvais m'empêcher de remarquer le nombres de gens qui ignorent la pratique vertueuse autour d'eux. Ils recherchent la vie heureuse qu'ils ont en tête et souffrent sans savoir pourquoi. Comme Bouddha Shakyamuni l'a un jour dit : « Il est difficile d'obtenir une forme humaine, de naître en Orient et d'entendre le Fa du Bouddha. »

Je suis reconnaissant d'être né chinois à Taïwan. En y repensant, j'ai réalisé que mon désir de sauver les gens depuis l'enfance ne venait pas d'un quelconque problème psychologique mais de mon sens de la responsabilité en tant que pratiquant de Dafa.

Le Maître est le plus grand enseignant sur terre

Je lis le Zhuan Falun chaque jour, sans arrêt. Cela a un effet magique. Chaque fois que je le lis, je trouve des réponses à mes questions, mais aussi de nouvelles questions.

Cela se produit, quel que soit le nombre de fois que je l'ai lu. Une phrase qui me semblait si familière la dernière fois pouvait sembler différente et les mots eux-mêmes avaient de nouvelles significations. Je savais que j'avais compris le sens d'un niveau encore plus élevé chaque fois.

Autrefois, je récitais le Soutra d'Amitabha, le Soutra du Diamant et le Soutra du Bouddha de Médecine chaque jour. Maintenant, je sais que ce n'était rien d'autres qu'une récitation répétitive.

Bouddha Shakyamuni avait enseigné à ses disciples que son Fa ne pourrait plus offrir le salut 500 ans après qu'il ait atteint l'éveil. Il n'y avait pas le pouvoir d'être éveillés derrière les mots de ses soutras. Je me suis débarrassé des centaines de copies de soutras et des livres religieux que j'avais.

Les gens peuvent se demander comment je sais que le Falun Dafa est une pratique vertueuse. Au cours des dix dernières années, j'ai étudié la « cultivation » de diverses écoles. Je savais tout des méthodes de cultivation qui ne sont pas droites. Je peux donc faire la différence lorsqu'une pratique vertueuse apparaît.

Tout ce que j'avais étudié autrefois avait été inventé par l'homme qui comparait les enseignements du Bouddha à ses conceptions humaines. Ces écoles avaient toutes quelque chose en commun : elles recherchaient l'argent, la célébrité ou le pouvoir, et les fondateurs se donnaient tous des titres intolérablement suffisants. Lorsqu'ils enseignaient, le contenu de leur enseignement venait de divers soutras pour montrer qu'ils avaient une connaissance suffisante du bouddhisme.

La première fois que j'ai lu le Zhuan Falun, j'ai été touché par la façon dont Maître Li révélait la vérité de l'univers et de la cultivation dans un langage simple et clair. Je relisais souvent à plusieurs reprises un petit paragraphe de son enseignements afin de prendre mon temps pour savourer le sens profond qu'il incluait. Dans ce livre, je ne ressentais aucune intention de se faire valoir.

Le Maître était généreux et enseignait tellement de choses sans rien vouloir en retour. J'ai commencé à me demander qui il était vraiment. J'ai lu quarante-quatre livres de ses autres enseignements en une semaine. Je n'ai trouvé aucune réponse, mais je suis resté impressionné par ce qu'il disait. J'admirais son ton chaleureux et bienveillant lorsqu'il nous enseignait patiemment ce que nous devions savoir. Il chérissait chaque disciple.

Étant moi-même enseignant, je savais qu'il avait plus de compassion que quiconque et était le plus grand enseignant au monde. Il décrivait en détail l'histoire de l'homme depuis le début des temps ; il nous expliquait les secrets célestes que nous devions connaître. Il ne voulait rien de nous.

Cela m'a pris près de cent heures pour terminer de lire ses autres conférences. J'étais impatient de les relire une nouvelle fois. Elles étaient aussi intéressantes que la première fois que je les avais lues parce qu'il y avait un sens profond derrière les mots simples qu'il utilisait. Après avoir lu toutes les conférences pour la cinquième fois, j'avais une idée claire de qui était le Maître.

Je savais que grâce à l'étude incessante du Fa, le Maître avait ouvert ma sagesse de telle sorte que je m'étais éveillé à ce secret céleste et que j'y croyais de façon rationnelle. Si quelqu'un m'avait simplement lancé la réponse, je n'aurais pas été aussi convaincu.

Chaque fois que je lisais les conférences du Maître, j'avais une compréhension plus profonde du Fa et de combien le Maître était grandiose. Je savais aussi combien il était difficile d'offrir le salut en ce temps de fin du Fa.

La raison pour laquelle le Maître n'a jamais mis en avant les miracles qu'il a réalisés ou le puissant pouvoir qu'il possédait était qu'il voulait être perçu comme une personne ordinaire par le public. De cette façon, les gens peuvent continuer de cultiver et pratiquer sans leur ouvrir explicitement les yeux.

En comparaison, il était ironique de voir la façon dont les autres maîtres de qigong s'autoproclamaient comme une sorte de bouddha ou de divinité. Le Maître a parcouru le monde entier et a tranquillement enseigné le Fa sans aucune publicité, sans perturber la société ni accumuler aucune fortune. Il a tout fait pour ses disciples et souhaitait seulement leur volonté de cultiver et pratiquer.

Poussé par mon désir de savoir qui est le Maître et ce qu'est le Falun Dafa, j'ai étudié le Fa tant de fois et établi une croyance ferme en le Maître et le Fa. Je voulais venir à bout des épreuves et me changer, en sachant que ce serait difficile.

La clé pour parvenir à cela est de m'en tenir à des exigences strictes et de suivre inconditionnellement et sans hésitation les instructions du Maître.

Les enseignements peuvent résoudre les énigmes de l'humanité

J'étais impressionné par ce que le Maître a dit :

« Être bien connu ne signifie pas forcément bien connaître. » (Zhuan Falun)

Les anciens soutras originels contiennent un langage incompréhensible pour les hommes modernes. En conséquence, de nombreuses « écoles modernes » enseignent une « cultivation » qui se conforme aux désirs et attachements des hommes modernes.

Leurs prix sont élevés, leurs rituels compliqués et leurs quartiers généraux somptueux. Ils veulent se construire une réputation et une autorité, comme des hommes ordinaires, et doivent protéger leurs recherches dans le monde séculier.

La première fois que j'ai lu les autres enseignements du Maître, j'ai pris conscience qu'un grand nombre d'idées que j'avais en tête étaient fondamentalement erronées. Par exemple, les gens dans le domaine des sciences et de l'éducation dépensent tellement d'argent à chercher comment exploiter la créativité dans notre cerveau.

Cette question qui me perturbait depuis des années a finalement trouvé sa réponse. Notre sagesse n'existe pas dans notre cerveau. Le cerveau ne fait que traduire nos pensées en langage et en actes. Les gens ordinaires dans les domaines de la science et de l'éducation ont écrit de nombreux livres et articles de recherche, pourtant personne ne peut expliquer comment la sagesse est formée et comment l'exploiter.

Le Maître l'a expliqué simplement : tant qu'une personne estime la vertu et garde un cœur pur et bon, les êtres divins lui accorderont la sagesse.

Diverses théories sur le corps et l'esprit questionnent constamment comment l'homme peut utiliser sa pensée pour guider des pouvoirs supranormaux ou manipuler les pouvoirs de l'univers.

Le Maître a dit :

« Ce qui décide du niveau atteint du pratiquant est la force de Gong, et non pas les pouvoirs de Gong. »

et

« C'est la force de Gong qui est décisive, celle-ci s'obtient par la cultivation du xinxing et constitue le facteur le plus déterminant. » (Falun Gong)

Personne n'obtiendra la force de gong (énergie) ni de pouvoirs supranormaux sans cultiver son cœur. Cela rend ridicule beaucoup de maîtres de méditation aux théories sophistiquées.

Aussi, lorsque le Maître a expliqué la phrase « Il n’y a pas de Loi fixe » dans le Zhuan Falun, j'ai été totalement éveillé. J'ai récité le Soutra du Diamant des centaines de fois et lu de nombreux livres qui essayaient d'expliquer le soutra, mais je ne comprenais toujours pas ce que signifiait « Il n’y a pas de Loi fixe ». Mais il n'a fallu au Maître qu'une seule page pour expliquer cela.

Le Maître a révélé le mystère du temps et de l'espace que l'humanité ne pourra jamais découvrir. Il y a différents niveaux d'espace-temps et la loi de l'univers détermine quel être peut voir la vérité de quel niveau de l'espace-temps. Il existe un nombre infini de formes d'espace-temps.

J'ai souvent rêvé que je pouvais voler et voyager dans le temps. Je pouvais aller où je voulais et traverser différentes périodes de l'histoire. Je crois ce que le Maître a dit au sujet de la nature grandiose et éblouissante des univers célestes dans les autres dimensions. Je comprends aussi maintenant pourquoi le Maître a dit qu'avoir un corps humain est une sorte de souffrance parce qu'il est fait de matière et restreint par la matière dans le monde séculier.

J'ai récemment commencé à mémoriser les enseignements du Zhuan Falun. J'ai lu le livre plus de cent fois, au point de penser que je connaissais chaque mot par cœur. Pourtant, dès que j'ai commencé à mémoriser les enseignements, j'ai senti que les mots et les significations que je connaissais avaient changé, comme si je ne les avais jamais lus avant.

J'ai senti que le sens des mots pénétrait un niveau plus profond des particules qui me composaient.

Lorsque je lisais autrefois les écritures classiques du bouddhisme, je ne ressentais aucune sublimation ni changement dans mon cœur. C'était comme ce que Shakyamuni avait dit il y a longtemps, que son Fa ne pourrait plus sauver les gens dans la période de la fin du Fa et que ses disciples devraient attendre l'avènement du Bouddha du futur.

En ce qui concerne l'étude du Fa, je dois davantage me concentrer lorsque j'essaie de le mémoriser. Si je me laisse distraire, cela me prend des heures pour mémoriser une seule page. J'exigeais de moi-même de mémoriser plusieurs pages chaque jour afin d'avoir le pouvoir de sauver les gens rapidement.

(À suivre)

Traduit de l'anglais en Belgique