(Minghui.org) J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1999. En l'espace de trois mois, j'avais guéri de toutes mes maladies. Depuis cette époque, j'ai été témoin du pouvoir de Dafa à de multiples reprises.

Des lumières argentées pour lire le Zhuan Falun

Au début de ma pratique du Falun Dafa, j'ai rendu visite à la famille de ma sœur. Je voulais lire le Zhuan Falun, le livre principal de Dafa, mais je craignais de réveiller mon neveu si j'allumais la lumière. Je pensais que ça aiderait grandement si j'avais une lampe de poche. À l'instant où j'ai eu cette pensée, la pièce a été éclairée d'une lumière argentée. J'ai cru d'abord que c'était peut-être la lumière de la lune. Cependant, il n'y avait pas de lune.

Les lumières argentées étaient douces et juste assez fortes pour que je puisse voir les mots dans le livre. J'ai lu et j'ai lu. Quand j'ai fermé le livre et que j'étais prête à m'endormir, les lumières ont fondu comme neige au soleil. Le même phénomène s'est produit plusieurs jours de suite.

Grille déverrouillée

À l'époque où je vivais encore avec ma mère, je me suis levée à 4 h pour aller à un site de pratique pour faire les exercices.

Sur le chemin de retour, j'ai découvert que j'avais oublié la clé de la grille de devant. J'ai poussé la grille. Elle ne s'est pas ouverte. C'était vers 6 h du matin. Si je frappais ou criais, j'allais réveiller les voisins.

Alors que j'étais tranquillement debout là, j'ai été entourée d'une atmosphère sereine et paisible. Ma pensée suivante a maintenu le souhait que la grille soit déverrouillée. Inconsciemment, j'ai de nouveau poussé la grille et elle s'est ouverte.

Porte de cellule et menottes déverrouillées

Après le début de la persécution du Falun Dafa, j'ai été arrêtée en 2000 parce que je refusais d'abjurer ma foi. J'ai été détenue dans un centre de désintoxication. La police m'a mis des menottes, m'a incarcérée dans une petite cellule et a fermé la porte à clé.

J'ai pensé : « Je suis une pratiquante de Dafa et une bonne personne. Comment se peut-il que je sois enfermée à clé ? » Je n'avais jamais vu des menottes. « Elles sont destinées aux gens mauvais. C'est totalement injuste d'être dans cette cellule. »

Je suis restée assise. Mon esprit est devenu calme et vide. J'ai commencé à réciter le poème du Maître :

« Vivre sans désirs,

Mourir sans regrets

Balayer les pensées illusoires,

Cultiver pour devenir Bouddha n'est pas difficile. »

(« Rien ne reste » dans Hong Yin)

Soudain, les menottes se sont déverrouillées et je les ai enlevées. Un policier est venu. Il a remarqué que la porte n'était pas fermée à clé, et quand il est entré et a vu que les menottes étaient enlevées, il était stupéfait. Il a demandé si c'était moi qui avait déverrouillé la porte et les menottes.

J'ai secoué la tête. Je n'avais pas encore compris à ce moment là que le Maître me disait de m'en aller.

Des Faluns qui tournent

Quand j'ai été détenue au centre de désintoxication, un autre pratiquant également détenu là est venu dans ma cellule, et a montré du doigt des Faluns (roues de la Loi) qu'on voyait par la fenêtre.

Deux autres pratiquants détenus et moi-même avons regardé dehors par la fenêtre. Je n'avais jamais vu quelque chose d'aussi étonnant. Au-dessus des montagnes dans le lointain, de nombreux Faluns colorés tournaient, dans le sens des aiguilles d'une montre et en sens inverse. C'était magnifique.

Puisque mon œil céleste n'était pas ouvert, c'était la première fois que je voyais quelque chose d'aussi extraordinaire. Dans mon cœur, je sentais que notre mission est sacrée.

Le pouvoir de la pensée droite dans l'endroit le plus sombre

J'ai été détenue au camp de travaux forcés de Masanjia en 2001. La torture infâme, brutale et à grande échelle des pratiquants de Dafa a eu lieu le 19 mars dans ce camp. Le soir, les gardes ont affiché sur chaque porte de cellule et sur la porte de la salle de bain des slogans calomniant Dafa. On a emmené tous les pratiquants dans une seule pièce et on les a forcés à s'asseoir sur des petits tabourets.

Je voulais dire au chef de l'équipe du camp que ce qu'ils faisaient était mal et que ce qu'ils avaient affiché était faux. Je me suis donc levée, j'ai marché jusqu'à la porte et j'ai arraché le slogan. Je suis allée ensuite à la salle de bain et j'ai arraché ce slogan aussi.

Le chef d'équipe a vite découvert que les slogans avaient été arrachés. Il est entré et a voulu savoir qui l'avait fait. Chacun des pratiquants, y compris moi-même, a avoué avoir arraché les slogans des murs. À ce moment, mon cœur était rempli de bonté. Je voulais seulement qu'ils sachent que ces slogans faisaient du tort et devaient être enlevés. Le chef d'équipe n'a pas poussé l'affaire plus loin.

Après le repas du soir, ils ont commencé à torturer les pratiquants, exactement comme prévu. C'était une scène venue de l'enfer. On a donné l'ordre à tous les pratiquants de signer une lettre de garantie de « transformation ». Toute personne qui refusait était torturée brutalement. Le camp était empli du bruit des coups, des décharges avec des matraques électriques, des cris et des hurlements.

Plus tard cette nuit là, on m'a emmenée dans une pièce où une douzaine de personnes ont essayé de me forcer à signer la déclaration de garantie. Ils m'ont saisi la main pour essayer de l'appuyer sur la déclaration. Je me suis débattue et ils n'y sont pas arrivés. Afin de me forcer à m'y soumettre, ils ont commencé à me chatouiller. « Je ne ressentirai rien », me suis-je dit fermement. Et vraiment, je n'ai rien senti.

N'ayant pas réussi à me faire signer la déclaration, ils m'ont emmenée pendant la deuxième partie de la nuit dans une autre pièce. J'ai dû me tenir dans une position courbée avec les bras levés derrière le dos.

Des gardes tenant des matraques électriques m'ont donné l'ordre de signer. J'ai refusé chaque fois. Quand ils ont levé les matraques, j'ai eu la pensée : « Que les matraques leur fassent des décharges à eux-mêmes. » J'ai alors entendu un garde hurler : « Cette matraque électrique a des fuites d'électricité ! » et il est parti.

Même lors des temps les plus sombres, avec une pensée droite venant de la cultivation dans Dafa, le Maître m'a protégée. J'ai été témoin du pouvoir de Dafa.

Traduit de l'anglais en France