(Minghui.org) Une voiture s’est précipitée vers moi alors que je traversais une rue vers 18 h au début de l’hiver de 2010. J’étais calme et j'ai dit au Maître dans mon esprit : « Maître, je vais bien. »

Quand j’ai repris conscience, j'avais la sensation que mon corps était écrasé. Une dame m'a touché la tête, le visage et le nez et m’a parlé. Elle vérifiait pour voir si je saignais. Des personnes ont crié : « Appelez une ambulance immédiatement. »

Je ne pouvais pas parler, mais je pouvais sentir mes organes internes reprendre leur position. Je pouvais parler après cela. J’ai indiqué à la femme de s’approcher de ma bouche. Elle a penché la tête afin de pouvoir m’entendre. Je lui ai dit : « Je suis une pratiquante de Falun Gong. Mon Maître prend soin de moi. Je vais bien. Je vous remercie. »

Elle a dit avec enthousiasme et à haute voix aux gens qui s’étaient rassemblés autour : « C'est une disciple de Bouddha. » Je lui ai demandé de m’aider à me lever. Je lui ai fait le geste de heshi pour exprimer ma gratitude. Deux ambulances sont venues. J’ai dit aux médecins que j’allais bien et je les ai remerciés.

Un véhicule de police est aussi venu. Un passant avait noté les deux derniers chiffres de la plaque d’immatriculation du véhicule qui m’avait heurtée. Il a demandé à la police d’attraper le conducteur. « Il ne m’a pas intentionnellement heurtée », ai-je dit, « il doit avoir des choses urgentes à faire et m’a heurtée par accident. Je vais bien. Laissez-le aller. » Le policier était content et a dit : « C’est bien que vous n’ayez aucune blessure. Il y a un autre accident plus loin le long de la route qui m’attend. Tout le monde, s’il vous plaît, partez. »

Ce fut l’un des miracles que j’ai vécu après avoir commencé à pratiquer le Falun Gong.

La bonne santé d’un parent

En 1998, j'ai remarqué que l’un de mes proches ne souffrait plus d’asthme et ses cheveux gris étaient devenus noirs à nouveau. Je lui ai demandé ce qui était arrivé pour que son état de santé soit si bon. Il a dit qu’il pratiquait le Falun Gong depuis deux ans. J’ai demandé à emprunter tous ses cinq livres de Falun Gong. J’ai lu un livre par jour et suivi les instructions dans les livres pour pratiquer les exercices.

Le sixième jour, j’ai eu une forte réaction parce que mon karma se dissolvait. J’ai ressenti une douleur extrême dans mon estomac. Pendant six jours, je me suis tordue de douleur sur mon lit. J’étais seule à la maison à ce moment-là. Je ne pouvais pas manger ni boire. J’ai pensé : « C’est formidable. Le Maître prend soin de moi. » Toutes mes maladies ont disparu depuis lors. Je me sentais si heureuse.

La persécution a commencé en 1999. Je suis allée à Pékin pendant l’été de 2000 pour dire au gouvernement que le Falun Gong est bon pour tout le monde et que j’ai personnellement connu les bienfaits pour la santé. J’ai été arrêtée et détenue. Une policière est venue me voir le lendemain. Sans dire un mot, elle a giflé mon visage par deux fois.

Le troisième jour, elle m’a appelée dans son bureau et m'a demandé mon nom. Je lui ai dit mon nom. Elle a répété mes paroles et percé tout à coup mes yeux avec son index droit et son majeur. Elle m'a fait mal aux yeux et ils saignaient. Tout le monde a été horrifié en me voyant quand je suis retournée à la cellule. Une fille a dit : « Vos yeux saignent. » J’étais calme et lui ai dit que j’allais bien. Une telle plaie pénétrante pouvait conduire à la cécité si elle n’était pas traitée correctement. Mais j’allais bien après ma libération.

Plus de douleur

J’ai eu des douleurs à l’estomac en février 2013. C’était la première fois que je vivais une telle douleur. Pendant plus de dix jours, je n'ai pas pu manger. Mon mari a pris un congé de travail pour prendre soin de moi. Mais j’ai gardé mon emploi du temps habituel et n’ai jamais manqué une étude de Falun Dafa en groupe.

Une pratiquante m’a demandé d'aller chez elle, afin de discuter d'un projet visant à sensibiliser le public sur la persécution. Elle m’a donné une tasse de lait. Je lui ai dit : « Je n'ai rien pris pendant plusieurs jours. Je n’ose pas boire du lait froid. »

Elle m'a dit : « Bois. Pas de problème. » Elle a réchauffé le lait et me l’a tendu. J’ai bu à contrecœur. Rien de grave est arrivé. Plus tard ce jour-là, mon fils m'a préparé des nouilles. J’ai mangé deux bols. Tous les membres de ma famille étaient contents de voir que je mangeais à nouveau. Avec cela, j’ai passé la tribulation.

Traduit de l’anglais au Canada