(Minghui.org) J'aimerais partager une histoire qui s'est produite peu après que je ne commence à pratiquer le Falun Gong en 1996. À l'époque, je me sentais très bien en pratiquant les exercices du Falun Gong, mais je n'avais pas une compréhension profonde des principes enseignés par Maître Li Hongzhi, le fondateur du Falun Gong.
Je vis dans une région montagneuse. Il y avait un mûrier sauvage près de mon champ de maïs, et ses fruits étaient doux et gros. Lorsque je me rendais au champ de maïs, je me régalais des fruits en travaillant.
Un jour, j'ai remarqué que toutes les mûres avaient été mangées par des corbeaux. J'étais très déçue et j'ai dit à une autre pratiquante de Falun Gong que je voulais utiliser de la mort aux rats pour me débarrasser des corbeaux. Elle me rappela que cela équivalait à tuer et que c’était interdit par les enseignements du Falun Gong. Je ne l'ai pas prise au sérieux, voulant juste garder mes fruits favoris.
Je suis allée une nouvelle fois à la montagne et j'ai mis de la mort aux rats sur le mûrier et tout autour. Lorsque j'y suis retournée deux jours plus tard, j'ai trouvé des plumes et des excréments d'oiseaux. J'étais très heureuse et me suis demandé si des corbeaux avaient avalé du poison et en étaient morts.
Quelques jours plus tard, j'y suis retournée avec mon fils. Nous fûmes abasourdis en arrivant. Mon champ de maïs était totalement détruit ! Pas un seul épi de maïs n’avait été épargné, il ne restait pas même les feuilles. Je me suis demandé qui avait pu faire cela.
Soudain, un grand groupe de corbeaux ont plané au-dessus de nos têtes en croassant fortement. C'est seulement alors que je me suis rappelé que j'étais une pratiquante de Falun Gong et que je ne devais pas tuer. J'ai pensé : « Qu'ai-je fait ! Je suis une pratiquante. Comment ai-je pu avoir la pensée de prendre la vie d’autres êtres ? »
Je me suis sentie mal et ne cessais de faire mes excuses aux corbeaux. « Je suis désolée, je suis vraiment désolée. J'ai commis une terrible erreur. Je devrais vivre selon les principes du Falun Gong et être une bonne personne, bienveillante et attentionnée, sans égoïsme, et non prendre des vies. Pardonnez-moi, pardonnez-moi. »
Le groupe de corbeaux est parti. J'ai dit à mon fils : « Le maïs n'est plus bon. Je pense que nous devons planter autre chose. »
Mon fils et moi sommes retournés à la montagne quatre jours plus tard afin de préparer le champ pour y planter des haricots. Une nouvelle fois, nous avons été choqués : les plants de maïs se dressaient en un parfait alignement. Les feuilles s’inclinaient comme pour nous saluer. Les plantes semblaient saines et fortes comme si rien ne s'était produit. Des larmes ont coulé sur mes joues. Tout ce que j’ai pu dire était : « Merci Maître ! Merci Maître ! »
Je n'ai pas eu le moindre doute : c'était le Maître qui avait sauvé mon champ de maïs après que j’ai eu réalisé mon erreur. Dès lors, j'ai commencé à suivre les principes du Falun Gong dans ma vie sans jamais regarder en arrière.
Traduit de l'anglais en Europe
Copyright © 2023 Minghui.org. Tous droits réservés.