(Minghui.org)
Une rencontre fortuite dans un autobus
Je me suis assis à côté d’un jeune homme dans un autobus un jour. Il lisait attentivement quelque chose sur son téléphone cellulaire. J’ai demandé : « Pouvez-vous aller en ligne sur votre téléphone portable ? » « Oui », a-t-il répondu.
Je lui ai dit : « En Chine, une grande partie de la presse est fausse. Le Parti dépense des milliards pour développer le pare-feu, qui bloque les vraies nouvelles de l’étranger. J’ai un logiciel qui peut vous aider à franchir le pare-feu et à lire les nouvelles de l’étranger. »
Il a levé les yeux et j’ai continué : « Les nouvelles sur ‘‘la fausse histoire des auto-immolations sur la place Tiananmen’’, ‘‘l’histoire derrière la chute de Bo Xilai’’, ‘‘la vague des gens poursuivant l’ex-président Jiang Zemin’’, etc. »
Il a soudainement demandé : « Savez-vous ce qu’est mon métier ? Je suis un agent de police et je suis responsable de ce domaine. »
Je n’étais pas perturbé et j’ai dit calmement : « Alors vous avez encore davantage besoin de connaître la vérité. La Constitution chinoise proclame que les citoyens ont la liberté d’expression et la liberté de croyance. Mais le Parti nous a enlevé ces droits, surtout aux pratiquants de Falun Gong. »
Malgré le danger de ma conversation avec un policier au sujet de la censure du Parti, j’ai voulu sincèrement lui faire prendre conscience des faits. Je savais qu’il devait connaître les conséquences de persécuter le Falun Gong. J’ai dit : « Considérant l’histoire du Parti, il a toujours utilisé les forces de l’ordre en première ligne, comme vous, comme boucs émissaires pour se dérober de ses responsabilités et dissimuler ses crimes. Vous devez être prudent. »
Il a écouté tranquillement, mais il n’a pas pris le logiciel, car une personne devant lui ne cessait de nous regarder. Il m’a souri et a dit : « J’ai besoin de descendre. »
Je lui ai dit : « S’il vous plaît, soyez prudent et ne participez pas à la persécution du Falun Gong. Je veux que vous ayez un bel avenir. »
Il a souri, hoché la tête et est descendu de l’autobus.
Un policier prend un dépliant
Un jour, je distribuais des dépliants du Falun Gong avec un autre pratiquant et un homme d’âge mûr en a pris un. Il semblait très nerveux et nous a chuchoté : « Je suis un policier de l’équipe de la sécurité intérieure. Je prétendrai ne pas avoir vu ce que vous distribuez. S’il vous plaît, soyez prudents ! Partez maintenant ! »
Rencontrer un policier en civil
Un autre pratiquant et moi sommes allés à un marché fermier pour distribuer des dépliants un matin et j’ai donné le dernier dépliant à un homme d’âge mûr. Je prévoyais acheter des légumes au marché par la suite.
L’homme a demandé : « Est-ce au sujet du Falun Gong ? » Nous avons dit oui et avons commencé à lui dire pourquoi nous conseillons aux gens de démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées.
Il était très content de démissionner du Parti. Il a dit : « Vous, pratiquants de Falun Gong, êtes incroyables. Ces documents sont vraiment bien faits. »
Puis, il nous a recommandé de partir rapidement et a dit : « Il y a beaucoup de policiers en civil ici. Si vous avez fini de distribuer vos documents, veuillez partir. Soyez prudents. »
Nous avons réalisé qu’il devait être un policier en civil, donc nous sommes tout de suite partis.
Les policiers en Chine sont utilisés par le Parti comme outils pour mettre en œuvre la persécution du Falun Gong depuis de nombreuses années. Mais de nombreux policiers ne souhaitent pas persécuter ceux qui n’ont enfreint aucune loi. Ils sont prêts à écouter les faits sur la persécution et à démissionner du Parti.
Traduit de l’anglais au Canada
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