(Minghui.org) Le Maître nous a parlé de l'interférence des forces anciennes dans la rectification de Fa. Il nous a dit aussi de nier à tout moment les arrangements des forces anciennes.
Le Maître a dit :
« Alors en tant qu’élèves, dans cette tribulation démoniaque si vous pouvez arriver à ne pas reconnaître les arrangements des forces anciennes vous pouvez alors les traverser. Pour ceux qui n’ont pas bien fait, en réalité n’êtes-vous pas en train de reconnaître les arrangements des forces anciennes? » (« Enseignement de la Loi au moment de la Fête de la lanterne de l’an 2003 »)
C'est le Maître qui a le dernier mot
Le 23 mai 2014, je mettais des affiches de clarification de la vérité à la campagne en compagnie de trois autres pratiquants. Nous avons tous été arrêtés. Quand nous avons été interrogés séparément, nous avons parlé du Falun Gong et avons conseillé aux policiers de ne pas participer à la persécution. Nous avons refusé de signer tout document. Mais je suis la seule qui ait été libérée, les autres ont été emmenés dans un centre de détention.
Mes enfants étaient très inquiets et ont essayé de m'empêcher de sortir de nouveau. Je n'ai eu qu'une seule pensée : « Il n'y a que le Maître pour me dire ce que j'ai à faire. Si j'ai peur et que je me cache à la maison, je serais en train d'obéir aux intentions des forces anciennes, n'est-ce pas ? » Le lendemain je suis allée parler du Falun Gong aux gens.
Six jours plus tard, des agents de la Division de la sécurité intérieure m'ont arrêtée. Ils ont essayé de m'emmener dans un centre de détention alors que je leur parlais du Falun Gong et de la démission du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations pour la jeunesse.
J'ai commencé à me rendre compte que le fait d'être détenue dans un centre de détention était un arrangement des forces anciennes. J'ai gardé ma foi en le Maître et ils m'ont libérée après l'examen médical que j'ai passé.
Piégés par la sentimentalité
Mes enfants étaient inquiets craignant qu'on ne m'arrête pour cause de distribution de documents de Falun Gong. Ils m'ont demandé de ne plus sortir parce qu'ils étaient inquiets pour ma sécurité.
Je leur ai dit : « Vous le savez, votre mère est une bonne personne. Je n'ai recouvré la santé qu'après avoir commencé la pratique du Falun Gong. Autre que mon Maître, personne n'a le droit de faire des arrangements pour moi. »
Plus tard les autorités ont dit a mon fils que s'il signait certains documents, ils me laisseraient tranquille et que je n'aurais pas à me présenter au tribunal.
En fait, les forces anciennes ont essayé d'utiliser la sentimentalité pour que les membres d'une famille persécutent les pratiquants à répétition et pour détruire les membres de leur famille. Certains pratiquants ont été piégés par l'amour familial et n'ont pas osé déclarer leur point de vue. Ils ont fini par être enfermés par leurs enfants, ce qui était exactement ce que voulaient les forces anciennes.
Être directe
J'ai fini par comprendre que je devrais être directe quand j'ai à faire face à la persécution, car c'était aussi une façon de nier les arrangements des forces anciennes.
Quand la notification de comparaître au tribunal a été livrée chez moi, l'adresse du tribunal n'était pas portée sur le document. Je leur ai dit que puisqu'ils avaient eu peur de mettre l'adresse, je n'allais pas me présenter.
Ils ont dit ensuite que le procès aurait lieu au centre de détention. Je leur ai fait des reproches et demandé s’ils avaient donc peur de la transparence.
Le jour où j'étais censée comparaître au tribunal, mon domicile était cerné par plusieurs douzaines de personnes. Je me suis souvenue de ce que le Maître a dit :
« Il ne faut pas se laisser volontairement emmener par la perversité. » (« Rationalité », Points essentiels pour avancer avec diligence)
J'ai décidé de tenir ma porte fermée. Ils ont dit qu'ils venaient du département de police et du tribunal.
J'ai parlé pour que tout le monde puisse entendre : « Pourquoi est-ce que les départements de police et les tribunaux persécutent les bonnes personnes ? Pourquoi est-ce que vous me persécutez, une pratiquante de Falun Gong âgée. Je veux vous poursuivre en justice et je veux que les gens du monde entier entendent ce que vous faîtes. »
Ils ont appelé mon fils qui a été d'accord pour m'accompagner et pour me ramener après le procès. J'ai exigé que la personne me donne son nom et son titre. Après avoir ouvert la porte, j'ai dit au chef de la Division de la sécurité intérieure, devant tout le monde : « Vous avez fait de moi une inculpée, donc, vous devez être le plaignant. Dîtes-moi quelle loi j'ai violée. Montrez-moi des preuves ! » Il est resté sans voix.
Quand nous avons quitté l'immeuble, j'ai vu de nombreuses personnes du quartier. J'ai crié : « C'est une chose terrible de persécuter le Falun Gong ! »
Le Maître a dit :
« Étant disciple de Dafa, pourquoi avoir peur des individus pervers tandis qu'on endure la persécution ? La raison cruciale est qu'on a des attachements, sinon on ne subirait pas passivement, on doit regarder en face les gens pervers en utilisant la pensée droite à tout moment. » (« La pensée droite des disciples de Dafa est puissante », Points essentiels pour avancer avec diligence II )
Le procès s'est terminé en moins d'une demi-heure. Le juge n'a laissé parler que le procureur et a refusé de me permettre de me défendre moi-même.
Condamnation sans effet
À peu près six mois après le procès, on m'a informée que j'étais condamnée à trois ans et demi de prison. Les pratiquants et ma famille étaient très inquiets pour moi. Mais moi, je réfléchissais à comment faire pour nier davantage les arrangements des forces anciennes.
Bien que la condamnation ait été prononcée le 1er juin, j'ai été avisée seulement le 9 juin. Ceci ne m'a pas donné suffisamment de temps pour faire appel, et j'ai pris cela pour une indication du Maître pour dire qu'il ne fallait pas interjeter appel.
Après avoir étudié le Fa, j'ai compris que les procédures judiciaires, y compris la remise du mandat d'arrestation, intenter un procès, le procès lui-même, les condamnations et les appels à la cour du niveau supérieur, faisaient partie du système du PCC et nous restreignaient.
Tout ceci faisaient partie des arrangements des forces anciennes. Le Maître ne reconnaît pas les forces anciennes, donc, je ne devrais pas être redevable envers la procédure judiciaire du PCC.
J'ai commencé un autre genre de clarification de la vérité. J'ai écrit pour dire que j'avais reçu des bienfaits de Dafa, que j'avais été emprisonnée à deux reprises et l'impact que cela avait eu sur ma famille. J'ai distribué alors ce feuillet. Cela m'a permis d'expliquer largement les faits sur le Falun Gong. Clarifier la vérité est le chemin à prendre pour nier les forces anciennes.
J'ai envoyé ce feuillet par courrier au juge et au directeur de la Division de la sécurité intérieure. Ensuite, d'autres pratiquants et moi-même l'avons distribué dans toute la ville afin d'exposer la persécution. J'ai distribué aussi une copie de ma plainte contre Jiang Zemin, l'ancien dictateur qui a lancé la persécution du Falun Gong, à toutes les personnes qui m'ont persécutée.
Maintenant les choses vont très bien. Le document de verdict est comme une feuille de papier vierge et n'a aucun effet sur moi. Personne n'est venu me harceler. J'ai le sentiment que j'étais sur le chemin que le Maître a arrangé en « niant totalement les arrangement des forces anciennes » et que j'ai pu créer un environnement favorable pour moi-même.
Le Maître a dit :
« Si les disciples sont emplis de pensées droites
Le Maître a le pouvoir de changer la décision du Ciel » (« La grâce entre Maître et disciples », Hong Yin volume II)
Traduit de l'anglais en France
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