(Minghui.org) Je suis un fermier de 65 ans de la ville de Pingdu, province du Shandong, Chine. En 1999, on m’a diagnostiqué une tuberculose en phase terminale. Mes poumons étaient en grande partie très détériorés. L’hôpital a déclaré ne rien pouvoir faire. Ils ont conseillé à ma famille de faire les préparatifs en vue de mes funérailles.
J’ai eu tellement de chance de trouver le Falun Dafa en 2002. En moins d’une demi-année, le Maître a purifié mon corps et m’a accordé une nouvelle vie. Quinze ans ont passé depuis et je vis encore plein de joie et de vitalité.
Une tuberculose en phase terminale me jette dans un état de désespoir
Je me suis marié à 26 ans. Trois ans plus tard, ma santé physique a commencé à se détériorer. J’étais vidé de toute énergie et je toussais sans cesse. Cinq ans plus tard, mon état s’est détérioré. J’ai même commencé à tousser du sang.
L’hôpital m’a diagnostiqué une tuberculose et a recommandé l’hospitalisation. Les médecins ont conseillé à ma famille de me préparer beaucoup d’aliments nourrissants. J’étais père de deux enfants. L’aîné avait six ans et le plus jeune seulement deux ans. Nous avions à peine assez de nourriture pour satisfaire nos besoins.
Les médecins ont renvoyé mon épouse à la maison pour qu’elle s’occupe des enfants et ont offert de me soigner à l’hôpital. J’y suis resté pendant cinq mois.
Quand ils m’ont laissé sortir, les médecins au grand cœur m’ont rappelé encore et encore : « Ne faites aucun travail pour vous fatiguer. Vous devez simplement rentrer chez vous et vous détendre. »
C’est ainsi que le poids de toute la famille est tombé lourdement sur les épaules de mon épouse. Quelque vingt ans plus tard pendant la première moitié de 1998, j’ai commencé à avoir de fortes fièvres et il y avait des traces de sang quand je toussais. J’ai pensé que c’était seulement une infection de la gorge et je ne me suis pas fait trop de souci. J’ai simplement pris quelques médicaments anti-inflammatoires.
Mes fièvres et toux ne partaient pas. J’ai consulté plusieurs médecins dans des hôpitaux locaux, mais ils ne pouvaient pas trouver ce qui n’allait pas.
Plus tard, les fièvres étaient toujours là et la toux générait beaucoup de sang. J’avais la poitrine serrée. J’avais la sensation de suffoquer à la gorge. C’est alors que je me suis rendu compte de la gravité de mon état.
Ma famille m’a poussé à passer des examens complets dans un grand hôpital. Le diagnostic était une tuberculose en phase terminale. Les médecins ont dit à ma fille de me faire hospitaliser. Au bout d’à peu près deux mois, mon état s’est stabilisé et je suis rentré à la maison.
Ça s’est passé plusieurs fois comme cela. Chaque fois, mon état se détériorait encore davantage. Ça a traîné ainsi pendant plus d’un an.
Au cours du printemps 1999, j’ai expectoré une quantité démesurée de sang et je m’évanouissais par moments.
Un jour pendant l’automne de cette même année quand tout le monde était hors de la maison, j’ai eu faim et j’ai donc mangé un petit pain salé que j’avais trouvé. Cela faisait plus d’une dizaine d’années que je n’avais pas mangé du sel. À peu près dix minutes après l’avoir terminé, je n’ai pas été capable de bouger.
Ensuite, j’ai commencé à tousser et j’avais du sang plein la bouche. Cela a duré à peu près une demi-heure, jusqu’à ce que je perde connaissance.
À l’hôpital, les médecins ont vu que mes poumons s’étaient détériorés jusqu’à être dans un état comme des toiles-araignées, appelées fibrose.
Ils ont déclaré qu’on ne pouvait pas m’opérer et même si on avait pu le faire, nous n’aurions pas eu les moyens de payer. Les économies de la famille étaient épuisées. Finalement, mon épouse a dû demander de l’aide auprès de sa famille et de ses amis. Nos dettes escaladaient.
J’ai été renvoyé chez moi sans cérémonie, pour attendre la mort. Les médecins allaient me donner des injections et autres médicaments pour maintenir mon état.
À la maison, je ne pouvais pas m’allonger, parce que je ne pouvais pas respirer ainsi. Pendant quatre années, de 1999 à 2002, je n’ai jamais dormi allongé sur un lit.
Mon corps de 1,72 m était réduit à à peine plus de 36 kg. Je ne pouvais rien faire seul. C’est mon épouse et mes enfants qui prenaient soin de tout, y compris toutes mes fonctions corporelles.
J’étais dans un état tellement fragile que même les médecins étaient réticents à venir chez moi me faire les injections.
Toutes ces années, j’ai vu mon épouse s’user lentement et je me voyais passer chaque jour comme une année. Je savais que je tirais ma famille vers le bas. Le désespoir remplissait mes pensées. Je me sentais totalement démuni et sans espoir.
Je voulais vraiment mettre fin à ma vie et j’avais en fait essayé de le faire plusieurs fois, mais j’avais toujours été trouvé et sauvé à temps.
Le Falun Dafa me sauve et le Maître me donne une nouvelle paire de poumons
Le 22 avril 2002 est un jour qui restera gravé pour toujours dans ma mémoire. C’est le jour où on m’a donné une nouvelle vie.
Ce jour-là, mon épouse a rencontré un pratiquant de Falun Dafa. La nouvelle de ma maladie et de mon état désespéré s’était répandue partout. Le pratiquant a persuadé mon épouse de me laisser pratiquer le Falun Dafa.
Il lui a donné un lot de vidéos de clarification de la vérité, pleins d’histoires sur le Falun Dafa, et sur comment il est accueilli et suivi dans le monde entier.
J’ai pris les vidéos avec réticence, parce que fondamentalement j’avais renoncé à moi-même. Mais, j’ai écouté les histoires étonnantes et je me suis senti très bien.
Le lendemain, le pratiquant est venu à la maison et m’a parlé en détail du Falun Dafa. Je l’ai écouté attentivement et j’ai senti une grande chaleur et de la luminosité me traverser le corps.
Avant de partir, il m’a offert un exemplaire du texte principal du Falun Dafa, le Zhuan Falun, ainsi qu’une vidéocassette des conférences du Maître.
Après avoir écouté les conférences de Fa du Maître pendant deux jours, j’ai arrêté de tousser en crachant du sang. Ensuite, mon état s’est amélioré petit à petit.
Peu de temps après, les pratiquants sont venus chez moi pour m’apprendre le premier, le deuxième, le troisième et le quatrième exercice. Les pratiquants espéraient que je puisse bientôt sortir. L’un d’entre eux m’a dit : « Si vous voulez apprendre le cinquième exercice, venez chez moi. »
Un soir en 2002, quand je dormais, mes pieds sortis de sous la couverture comme à l’habitude, j’ai vu le Maître s’approcher de moi et j’ai senti qu’il me tapotait les pieds pour me signaler de me lever.
Le Maître m’a fait sortir de ma maison. J’ai senti mon corps flotter au-dessus du sol. Peu après, nous sommes arrivés dans un champ où il y avait des bouddhas, des taos et des divinités assis en cercle. J’ai trouvé un espace libre et me suis assis.
Le Maître s’est mis debout devant moi, m’a regardé et a commencé a déplacer lentement ses mains d’avant en arrière, d’abord horizontalement et ensuite verticalement, devant ma poitrine et descendant jusqu’aux pieds. Ses mains étaient d’une chaleur si agréable.
Ensuite, le Maître m’a dit : « Tu vas bien maintenant. Ton œil céleste est ouvert aussi. Tu peux partir. »
Quand je me suis réveillé, j’ai dit à mon épouse : « Je vais bien. Je suis guéri. Le Maître a déplacé ses mains au-dessus de ma poitrine et m’a donné une nouvelle paire de poumons. Il a aussi déplacé ses mains jusqu’à mes pieds. Je sais que maintenant je peux me lever et marcher. » Alors, j’ai fait de mon mieux pour me lever et réapprendre à marcher, un pas hésitant après un autre, jusqu’à ce qu’en trois ou quatre jours, je puisse marcher une distance de plusieurs centaines de mètres.
Quand je suis sorti à pied de ma maison, les voisins ont été bouleversés. Ils savaient que j’étais grabataire depuis quatre longues années.
En apprenant que j’étais en vie grâce au Falun Dafa, ils étaient unanimes pour déclarer : « Le Falun Dafa est vraiment miraculeux ! Vraiment étonnant ! »
Quatre mois plus tard, après la fin des moissons d’automne, des pratiquants m’ont invité un jour à aller chez un pratiquant à 16 km de chez moi pour étudier les enseignements de Dafa et partager des expériences.
Malgré l’incertitude et l’hésitation initiale de ma part et l’inquiétude et les soucis de la part de ma famille, j’ai supplié le Maître de m’aider et me soutenir pour que je puisse faire le voyage avec succès. Je me suis lancé sur les 16 km qui me séparaient de chez le pratiquant et j’y suis arrivé sans le moindre accroc.
Il y a eu un autre miracle. Je n’étais pas monté à bicyclette depuis plus de dix ans. Mais quelques jours plus tard, quand je suis retourné chez le pratiquant et que j’ai décidé d’y aller à bicyclette, je l’ai fait comme si je pédalais dans une douce brise.
Je savoure totalement la deuxième vie que le Maître m’a accordé.
Le Maître m’apprend à lire le Zhuan Falun
Depuis le moment où j’ai commencé sur mon chemin dans le Falun Dafa, le Maître a ouvert mon œil céleste et j’ai vu beaucoup de choses.
Après sept ou huit jours de pratique, le Fashen du Maître, à la chevelure bleue et bouclée et portant un kasaya jaune, m’a rendu visite chez moi.
Je ne savais pas à ce moment-là que c’était le Maître, puisque je n’avais jamais vu le Maître avant. Mais peu de temps après, j’ai vu la même apparition. Cette fois-là, tout d’un coup, j’ai su que c’était le Maître, parce que je me suis souvenu d’avoir regardé la vidéo où on voit le Maître faire de grands gestes des mains avant ses conférences.
J’ai grandi dans une famille pauvre et je n’ai pas été à l’école un seul jour. Au début, je ne pouvais qu’écouter les conférences du Maître sur les vidéos ou me les faire lire par ma famille.
Quand nous nous réunissions pour étudier le Fa en groupe, je devais laisser passer mon tour de lecture. Je tenais le texte du Zhuan Falun devant moi et je voyais chaque mot qui brillait dans des tons de rouge, orange, vert, indigo et pourpre, mais je ne pouvais pas dire les mots.
Je me sentais très mal et en secret j’étais décidé à apprendre à lire.
Le Maître a pris note de ma détermination. Un matin au cours du printemps 2003, j’ai ouvert le Zhuan Falun et me suis vaguement rendu compte que le Maître était debout à côté de moi. Le Maître m’a aidé à lire chaque mot du livre.
Le Maître m’a enseigné sans arrêter pendant trois longues années jusqu’à ce que je sois capable de lire chaque mot dans son texte principal ainsi que dans ses autres écrits. J’ai relaté plus haut toutes mes expériences personnelles. J’espère vraiment que mon histoire pourra aider les personnes qui sont encore perdues dans le labyrinthe de ce monde pour qu’elles se dépêchent de comprendre et d’accepter la vérité sur le Falun Dafa, afin que chacun puisse se choisir un bon et radieux avenir.
Traduit de l’anglais en France
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