(Minghui.org) Le 19 août 2017, des pratiquants de Falun Gong d'Ottawa se sont réunis au Marché ByWard afin de faire mieux connaître la situation d'une citoyenne canadienne détenue en Chine. Les pratiquants ont fait une présentation des exercices, ils ont accroché des affiches et des banderoles et ils ont collecté des signatures sur une pétition.

Le 19 février 2017, Sun Qian, citoyenne canadienne a été arrêtée chez elle à Pékin et emmenée au deuxième centre de détention de Pékin où elle a été torturée. De nombreux fonctionnaires canadiens ont exprimé leurs préoccupations à propos de ces violations graves des droits de l'homme.

Méditation et collecte de signatures dans la rue George au Marché ByWard le 19 août 2017

Les passants ont été surpris d'entendre parler de ce cas. Alex Beemer, développeur de sites Internet, a dit que le gouvernement devrait soulever ce problème avec la Chine et il a dit son espoir de voir Mme Sun retrouver bientôt sa liberté et pouvoir bientôt revenir saine et sauve au Canada. Il a dit : « Dans une certaine mesure, les principes Authenticité-Bienveillance-Tolérance ont beaucoup de points commun. Ils sont importants pour nous tous. »

Cynthia Buarque a dit que chacun a sa croyance et que les pratiquants de Falun Gong ne devraient pas être maltraités parce qu'ils n'ont rien fait de mal. Selon elle, les principes du Falun Gong sont bons pour les personnes et pour la société en général. Elle a ajouté : « Nous devrions leur apporter notre soutien alors que ces personnes innocentes sont molestées. »

Suzanne Torole, qui vit près de l'ambassade de Chine a vu les manifestations des pratiquants de Falun Gong devant l'ambassade tous les jours. Elle a signé la pétition au Marché ByWard, demandant l'arrêt des atrocités en Chine. Elle a dit : « Le régime communiste chinois a tort de décider quel groupe il va supprimer pour son propre intérêt. Bon nombre de ces problèmes, surtout les prélèvements des organes, constituent de graves violations des droits de l'homme. »

Steven Padhand a dit qu'il avait connaissance de la persécution en Chine, mais que c'était là la première fois qu'il entendait parler des prélèvements des organes en Chine sur des pratiquants vivants. Il a dit que même si le gouvernement canadien en parle directement avec le gouvernement chinois, il devrait travailler avec d'autres pays afin de mettre en lumière le problème dans la société internationale, parce qu'il s'agit d'une question « d'humanité au niveau le plus basique ».

Traduit de l'anglais en France