(Minghui.org) J'ai été arrêté par cinq policiers le 20 avril 2017. Ils ont saccagé mon domicile et m'ont emmené dans un poste de police. Plus tard, j'ai été emmené dans un centre de détention et j'ai réussi à en sortir 30 jours après mon arrestation.
J'ai parlé à de nombreux policiers au poste de police à propos du Falun Dafa et de la persécution. Un policier a démissionné du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations pour la jeunesse.
Quand j'ai été conduit au centre de détention, j'ai eu l'occasion de parler à un détenu au sujet du Falun Dafa. Il a également démissionné du PCC.
Éliminer les pensées ordinaires
Je me suis souvenu de mon attitude au cours d'une période antérieure où j'avais été détenu. Je considérais mes pensées ordinaires « héroïques » comme droites, mais elles n'étaient pas fondées sur le Fa et n'étaient certainement pas droites. En conséquence, j'ai été détenu pendant quatre ans et demi.
Dès que j'ai été enfermé dans la cellule, un détenu a commencé à réciter un poème du Maître (le fondateur du Falun Dafa).
« Les grands Éveillés ne craignent pas les épreuves
La volonté taillée dans le diamant
Aucun attachement à la vie ou à la mort
Franc et sans obstacle, le chemin de la rectification de la Loi »
(« Pensée droite, comportement droit », Hong Yin II)
Ensuite, quelqu'un d'autre a récité un autre poème du Maître.
J'ai compris que le Maître m'encourageait et me signalait qu'il fallait renoncer à mes pensées ordinaires. En tant que détenu, je n'ai pas coopéré avec les gardes et je n'ai pas non plus signé ou mis l'empreinte sur l'un de leurs documents. Je ne voulais pas que l'un d'entre eux commette des crimes contre le Falun Dafa.
Les détenus soutiennent le Falun Dafa
J'ai parlé à tous les détenus de ma cellule au sujet du Falun Dafa et de la persécution, en commençant par le chef des détenus. Je leur ai également conseillé de démissionner du PCC. L'environnement dans la cellule s'est considérablement amélioré.
Une fois, alors que nous étions dans la cour, les compagnons de cellule m'ont crié : « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! »
Les détenus d'autres cellules les ont également rejoints.
La veille de ma libération, un détenu portant le nom de famille Xu a déclaré : « Après ton départ, je mènerai les autres à crier ' Falun Dafa est bon ! ' »
J'ai profité de toutes les occasions pour parler de Dafa aux gens et je leur conseillais de démissionner du PCC. Au cours de ce mois de détention, j'ai aidé plus de 40 personnes à démissionner du PCC.
Libéré
J'ai insisté pour faire les exercices, étudier le Fa et émettre la pensée droite quatre fois par jour en détention. J'ai récité des poèmes de Hong Yin lorsque j'ai été forcé à m'asseoir sur un petit tabouret en bois pendant de longues périodes.
J'ai été libéré trente jours après mon arrestation.
En chemin vers la maison dans la voiture de police, j'ai parlé du Falun Dafa à la police. Je leur ai dit que j'avais été torturé même si je n'avais rien fait de mal.
Les policiers m'ont écouté et l'un d'eux a déclaré : « Vous pouvez pratiquer votre croyance à la maison. »
Refuser d'être financièrement persécuté
Je suis retourné à mon unité de travail trois jours après ma libération. Ma patronne m'a dit que je devrais être licencié parce que j'étais pratiquant de Falun Dafa, mais elle a dit qu'elle avait besoin de temps pour y réfléchir.
Je suis rapidement allé au poste de police et j'ai dit aux policiers que j'allais perdre mon emploi, même si je n'avais rien fait de mal. J'ai dit qu'il était de leur responsabilité de corriger cette situation. J'étais calme et sans crainte parce que je savais que le Maître contrôlait tout.
L'agent local responsable de mon quartier résidentiel était très poli. Il a dit qu'il essayerait d'aider, puis s'est rendu à mon unité de travail. J'ai émis la pensée droite pour désintégrer tous les facteurs des forces anciennes dans d'autres dimensions qui pouvaient essayer d'interférer avec lui.
Je suis allé dans une foire d'emploi le lendemain. J'ai parlé de Dafa à deux personnes et les ai aidés à démissionner du PCC. Quand j'ai eu fini à la foire, je suis allé au domicile d'un compagnon de cultivation. Le pratiquant m'a encouragé à rejeter la persécution financière des forces anciennes.
Ce soir-là, j'ai appelé l'agent responsable de mon quartier résidentiel. Il m'a dit qu'il avait parlé au vice-président de mon unité de travail et m'a demandé d'attendre leur appel téléphonique.
J'ai étudié le Fa et émis la pensée droite le lendemain matin, puis je suis allé au poste de police pour chercher le policier. Il n'était pas là, alors j'ai demandé à rencontrer le chef de police.
« Je n'ai pas pris rendez-vous », ai-je dit, « parce que je ne sais pas qui est le chef. Je pratique le Falun Dafa et je n'ai violé aucune loi. Cependant, vos policiers m'ont arrêté au travail et j'ai été détenu pendant plus d'un mois. Maintenant, je vais perdre mon emploi et mon salaire. »
Sept ou huit policiers se sont rassemblés. Ils ont commencé à discuter avec moi, et deux d'entre eux se sont mis en colère. Ils ont dit que je troublais l'ordre public et m'ont emmené à la salle d'interrogatoire. Ils m'ont poussé dans la chaise d'interrogatoire.
J'étais très calme et je les regardais directement dans les yeux. J'ai dit : « Je suis ici pour signaler ma situation, mais vous me persécutez. Ne sommes-nous pas censés parler aux fonctionnaires lorsque nous avons des difficultés ? »
Ils me criaient après alors que je continuais à émettre la pensée droite dans mon esprit. Leur ton a ensuite commencé à s'adoucir. Enfin, on m'a demandé de revenir le lendemain pour voir le policier de mon quartier résidentiel.
Peu après avoir quitté le poste de police, mon téléphone a sonné. C'était le policier que je voulais voir. Il a dit : « J'ai parlé à votre unité de travail. Tout a été pris en charge. Vous devez parler au gestionnaire de l'unité de travail. »
La gestionnaire qui gérait ma situation connaît Dafa et a déjà démissionné du PCC, mais elle voulait que je rédige une déclaration de garantie pour renoncer à ma croyance. Je lui ai dit que j'avais été arrêté et détenu, mais que je n'avais rien fait de mal. J'ai refusé d'écrire une déclaration de garantie.
En arrivant à mon unité de travail, ma patronne m'a dit que je devais poursuivre le service de police et leur demander de me dédommager pour mes pertes financières. Elle a également déclaré qu'elle préparerait un document comme preuve.
Traduit de l'anglais au Canada
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