(Minghui.org) J’ai 64 ans et je pratique le Falun Dafa depuis 1996. J’ai d’abord pratiqué un faux qigong et j’ai proposé de traiter les maladies d’autres personnes avant de commencer à pratiquer le Falun Dafa. Cela m’a causé une grave dermatite, un ulcère rectal et une tumeur de la taille d’un poing dans la nuque. Comme la tumeur grossissait, elle faisait pression sur mes nerfs jusqu’à ce que je ne puisse plus lever mon bras. Les médecins voulaient faire une biopsie pour voir si la tumeur était cancéreuse. Mais je ne pouvais pas affronter le fait d'avoir un cancer car je n’avais que 42 ans. Je continuais jour après jour à endurer la douleur physique et mentale.

Quand je suis allé chercher des médicaments à la pharmacie, j’ai rencontré une ancienne amie. Elle m’a montré le livre Zhuan Falun et m’a proposé de le lire. Dès que j’ai lu la première page, j’ai su que c’était un bon livre. Je lui ai demandé si je pouvais l’emprunter et si elle voulait me montrer la pratique.

Au début, cinq d’entre nous sommes allés ensemble pratiquer les exercices de Falun Dafa et lire le Zhuan Falun. J’ai tout de suite compris pourquoi j’avais des maladies aussi graves.

Le Maître a dit :

« Cette personne-là est malade, son karma est immense; après avoir guéri quelqu’un de gravement atteint, une fois rentré chez vous, vous allez voir à quel point vous vous sentez mal ! Beaucoup d’entre nous qui avons guéri autrefois des patients ont pu en faire l’expérience : votre patient est guéri et vous, vous rentrez à la maison gravement malade. » (Zhuan Falun)

En une année, notre petit groupe est passé à plus de 600 personnes.

Ma grave dermatite et la tumeur de ma nuque ont disparu trois mois après que j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa. J’ai pu arrêter de fumer et de boire. Je sais que sans le Falun Dafa, je ne serais pas en vie aujourd’hui.

Voyant les changements positifs en moi, ma femme a aussi commencé à pratiquer.

Quand le Parti communiste chinois (PCC) a commencé à persécuter le Falun Dafa le 20 juillet 1999, je savais que je devais défendre Dafa et dire la vérité aux gens.

Parfois je sortais avec ma femme pour suspendre des bannières en papier. D’autres fois, nous distribuions des documents clarifiant la vérité. Elle les préparait et je les distribuais.

Nous avons aussi saisi chaque occasion pour parler aux gens. Pendant les vacances du Nouvel An chinois, nous avons distribué des calendriers contenant les informations sur le Falun Dafa.

Être constamment protégé

Une nuit d’hiver vers 20 h, je suis arrivé à un passage de voie ferrée. J’avais deux lourds sacs de calendriers de table sur mon vélo. Le passage qui était en réparation était trop glissant pour traverser les voies. Un homme est arrivé et m’a aidé à porter le vélo par dessus les voies.

Une autre nuit d’hiver, il a commencé à neiger quand je pédalais vers un village pour distribuer des dépliants. La neige a rapidement tout recouvert et je ne pouvais pas voir l’étroit chemin. J’étais perdu. Juste à ce moment, un homme âgé est venu vers moi et m’a demandé si j’étais perdu. Il m’a conduit à la route principale. Dès que je suis remonté sur mon vélo et que j’ai regardé en arrière, il était parti.

Une fois, je revenais d’une course de livraison de documents dans un canton voisin. Je descendais une section de route avec une longue pente raide. Tout à coup, les freins du vélo n'ont plus fonctionné et le vélo a pris de la vitesse. J’ai dû sauter du vélo et courir en descendant la pente avec le vélo. Au pied de la colline, deux ouvriers de la route m’ont attrapé avec mon vélo. Je les ai remerciés et nous nous sommes tous assis au bord de la route.

Je leur ai parlé de la persécution et de la corruption du Parti communiste chinois. Ils ont accepté de démissionner du Parti et de ses organisations affiliées et m’ont remercié. Je savais que cela avait été arrangé pour eux qu’ils m’attendent à cet endroit ainsi ils ont pu connaître les faits du Falun Dafa.

Une fois, je suis allé dans un village pour mettre quelques vignettes auto-collantes. Il y avait un poteau électrique au centre du village. J’ai pensé que c’était l’endroit le plus visible et j’y ai mis le dernier auto-collant. Il n’y avait pas de poubelle tout près, alors j’ai roulé le dernier papier de protection et l’ai jeté par-dessus un mur de brique.

Quand je me suis retourné pour partir, j’ai remarqué que la boule de papier était à mes pieds. J’ai pensé que je ne l’avais pas lancée assez haut et qu’elle avait rebondi du mur. Immédiatement, j’ai entendu une voix derrière le mur qui disait : « Qui a lancé ça si précisément ? Vous m'avez touché deux fois la tête. »

Puis un vieil homme est apparu par-dessus le haut du mur. Je me suis vite excusé envers lui. Il a dit qu’il allait bien. J’ai pensé qu’il était prédestiné à me rencontrer alors je lui ai donné un DVD clarifiant la vérité. Il m’a remercié.

En 2005, nous avons commencé à distribuer les Neufs commentaires sur le Parti communiste avec d’autres documents. Quand je suis allé vers le surveillant d’un poste à essence, je lui ai donné les « Neuf commentaires », après lui avoir parlé de la persécution et je l’ai aidé à démissionner du Parti. Sur le chemin du retour, j’ai vu qu’il lisait toujours et il n’a pas remarqué que je passé devant lui.

Expliquer les fait du Falun Dafa à chaque personne que nous rencontrons

Plusieurs expériences m’ont appris à ne pas choisir ceux à qui je parle du Falun Dafa. Un jour, je roulais à vélo vers un village. C’était un petit village avec seulement une poignée de maisons, alors j’ai décidé de continuer. Dès que j’ai passé le village, je suis tombé lourdement bien que la route était lisse. Le cadre de mon vélo était très courbé.

J’ai pensé : « pourquoi cela est-il arrivé ? ». J’ai commencé à regarder à l’intérieur. Puis j’ai réalisé que les gens de ce petit village attendaient d’être éveillés. Je ne devais pas faire comme s'ils n'existaient pas. Comme mon vélo était abîmé, je suis revenu en arrière et j’ai distribué les documents clarifiant la vérité dans les maisons.

Quand j’ai terminé, je suis revenu vers mon vélo. J’ai pu redresser le cadre avec mes mains et il était aussi flexible qu'une nouille mouillée. Je suis remonté sur mon vélo et j’ai pédalé jusqu’au prochain village.

Je sais que Maître Li est toujours avec moi et il m’a aidé dans de nombreuses situations dangereuses. Je ne pense plus au temps qu’il nous reste. Je me concentre simplement à être diligent et à éveiller les gens.

Traduit de l'anglais en Suisse