Changer les conceptions humaines et chérir l'opportunité de cultiver dans les projets médiatiques

(Minghui.org)

Bonjour Maître ! Bonjour compagnons de cultivation !

C'est une occasion rare qui m'est donnée par Dafa et une gloire qui m'est donnée par le Maître de participer et de travailler avec plusieurs autres pratiquants dans les médias et d'avoir la chance de cultiver et d'élever mon xinxing et en même temps de propager la vérité, sauver les gens et accomplir ma mission. Plus je cultive, plus je reconnais la nécessité de chérir l'opportunité de cultiver dans les médias et de continuer à m'élever.

Changer les conceptions humaines et faire fondre les icebergs entre pratiquants

J'avais auparavant entretenu une relation amicale avec une compagne de cultivation, qui était aussi ma partenaire au travail, et nous interagissions souvent ensemble. Cependant, pendant un certain temps, la pratiquante m'a ignorée, a éloigné son siège et ne tenait pas compte de mes salutations ; quand je lui parlais du travail, elle gardait les yeux sur son écran comme si je n'existais pas.

Je me suis sentie lésée et j'ai essayé de lui parler. Elle disait qu'il n'y avait rien d'anormal ou que tout allait bien. Elle refusait d'en dire plus mais continuait à faire un visage long tous les jours. Au bout d'un moment, elle a commencé à arriver en retard, a pris des jours de congé et a même disparu pendant des jours sans le signaler.

Je me sentais très mal à l'aise ; c'était comme si un iceberg se tenait entre nous. J'étais découragée car je n'avais jamais rencontré une telle chose dans ma vie. J'avais même l'impression que si elle m'avait giflée ou avait crié après moi, cela aurait été mieux que d'être sous ce bloc de glace. C'est l'attitude silencieuse qui fait le plus de victimes.

Il y a eu plusieurs fois où j'ai décidé d'en parler avec elle, mais au moment où j'étais prête à le faire, soit elle prenait un jour de congé, soit j'étais interrompue par d'autres choses et je ratais ma chance. L'iceberg a grandi.

En regardant rétrospectivement, j'ai réalisé que c'était moi qui l'avais d'abord tenue éloignée. Tout a commencé quand j'ai appris qu'elle se protégeait en me mentant. Je m'obstine à dire que les gens ne devraient jamais mentir, surtout les pratiquants : comment peuvent-ils ne jamais mentir ? Je pouvais pardonner si une personne ordinaire mentait, mais pas quand c'était un pratiquant.

Depuis lors, j'avais un préjugé envers elle et je ne pensais qu'à mes propres sentiments ; je n'ai pas essayé de comprendre de son point de vue et je n'ai pas essayé de l'aider. En dehors du travail, je ne lui parlais plus. Comme c'était une personne sensible, elle pouvait sentir mon éloignement.

Une autre conception à laquelle je m'accrochais était ma compréhension de l'« authenticité ». Je croyais que l'authenticité signifiait que je devais toujours dire ce que j'avais en tête et le dire tel quel. À première vue, cela semblait exact. Mais ce n'est pas l'« authenticité » des pratiquants.

Le Maître a dit :

« Dans l’école taoïste, on cultive et pratique Zhen-Shan-Ren en mettant l’accent sur Zhen. C’est la raison pour laquelle l’école taoïste préconise de cultiver l’authenticité et de nourrir sa vraie nature : parler vrai, agir vrai, être vrai, retourner à son origine première et retrouver son authenticité première pour finalement devenir un homme vrai. Elle enseigne également Ren et Shan, mais l’accent est mis sur la cultivation de Zhen. » (Première leçon, Zhuan Falun)

Je m'en tenais aux normes et conceptions des gens ordinaires. Ainsi, l'iceberg s'est formé quand j'ai vu la pratiquante essayer de se protéger. Il m'a semblé que ce serait difficile de le dissoudre.

Sur le chemin du travail, un matin, j'ai regardé les étoiles et je me suis dit : « Il y a d'innombrables étoiles, mais aucune n'est identique et il en va de même pour les feuilles sur le sol. La diversité des êtres est ce qui rend l'univers prospère. C'est ridicule d'exiger que les autres soient comme moi. »

J'ai appris que pour m'entendre avec d'autres personnes, je dois être plus tolérante et attentionnée envers les autres et vraiment suivre « Authenticité-Bienveillance-Tolérance ».

Plus tôt, j'avais essayé de partager cela avec d'autres pratiquants, dans l'espoir de prouver mes griefs et les méfaits des autres, mais les pratiquants m'ont dit : « Peut-être que c'était parce que tu lui devais quelque chose, ou que ce serait une façon pour toi de t'élever ».

Ces mots m'ont aidé à abandonner l'idée de changer les autres et à considérer cela comme le remboursement de mon karma ; j'avais peut-être traité les autres encore plus mal dans une vie antérieure. En même temps, une autre de mes conceptions a changé : celle de ne pas vouloir être en conflit avec les autres.

En tant que pratiquante, il est impossible de ne pas rencontrer de conflits ; je devrais plutôt considérer les conflits comme une bonne chose. Quand les autres me traitent mal, ils m'aident à éliminer le karma et me donnent la chance de m'élever. Je devrais lui en être reconnaissante et saisir l'occasion de me cultiver.

À mes yeux, ma « compassion » est loin d'être suffisante. C'est pourquoi je ne comprenais pas les autres et je n'avais pas le pouvoir de résoudre les conflits.

Le Maître a dit :

« Si ce que vous dites vient vraiment de votre cœur de bienveillance, sans aucune opinion personnelle, vos paroles toucheront vraiment les gens. » (« Enseignement du Fa à la conférence de Fa à Singapour »)

« La force de cette bienveillance est immense. » (« Enseignement du Fa à la conférence de Fa à Singapour »)

Après avoir changé mes conceptions de l'intérieur, j'ai aussi changé en surface et j'ai tout considéré avec calme. Mais je sais au fond de moi que je n'ai pas vraiment abandonné l'attachement et que je vais parfois encore me sentir mal à l'aise.

J'ai réalisé que c'est aussi une forme d'interférence. Je ne devrais pas seulement penser à ma propre cultivation, mais je devrais regarder cela d'un point de vue plus large, penser au corps entier, et ne pas retarder le salut des gens. J'émettais davantage la pensée droite pour éliminer les interférences et, en même temps, j'étudiais plus le Fa. J'ai graduellement abandonné l'attachement.

J'ai invité la pratiquante à prendre le thé après son retour de vacances. Nous avons parlé pendant plus de deux heures et j'ai écouté ce qu'elle avait à dire. Je lui ai sincèrement demandé pardon si je lui avais fait du mal et je lui ai aussi demandé de signaler mes défauts pour pouvoir les corriger ; je voulais la voir heureuse chaque jour.

Pour la première fois depuis des mois, nous parlions et riions. À ce moment-là, l'iceberg dans mon cœur a fondu, et mon esprit et mon corps sont devenus extrêmement détendus et paisibles ; le monde est devenu chaleureux et paisible.

Je suis reconnaissante envers les pratiquants de m'avoir aidée à reconnaître ces conceptions humaines et à les éliminer par la cultivation ; je suis reconnaissante d'avoir appris à maintenir une attitude humble alors que j'élimine le karma et que j'élève mon xinxing.

Dépasser l'« amertume » et la « fatigue »

Un traducteur-réviseur a démissionné de mon équipe en août. Nous avons trouvé une nouvelle recrue à la mi-septembre et nous avons dû la former à partir de zéro. L'équipe s'est démenée pendant plus d'un mois pour couvrir la transition et un autre mois pour la formation supplémentaire du nouveau venu.

Pendant cette période, deux membres ponctuels ont dû couvrir le concours de danse, et le nouveau venu s'est rendu à la conférence de Fa. Il n'y a pas eu de remplaçant pendant une semaine entière. De plus, il y avait eu un changement d'éditeur vidéo et de réalisateur, et j'ai dû m'assurer de la qualité de l'émission tout en révisant les clips avec les éditeurs vidéo. Ces deux mois m'ont paru deux ans.

Je sentais que j'atteignais mes limites. Quand mes compagnons de cultivation m'ont demandé comment j'allais, je ne pouvais que sourire amèrement et répondre avec un seul mot : « fatiguée ». De plus, je devais m'occuper des choses à la maison et coordonner une équipe de traducteurs-réviseurs internationaux. Il y avait trop de choses tracassantes. Quand le superviseur a organisé une activité culturelle américaine et m'a demandé si je voulais y participer, j'ai dit que je n'avais pas le temps.

Mon mari m'a dit : « Je me sens mal de penser à chaque samedi à venir. » Le samedi est ma journée la plus occupée, car je dois faire une émission pendant la journée. Quand il y a un manque de main d'œuvre, je dois faire la traduction et la révision moi-même. Lorsque j'arrive à la maison le soir, je me rends immédiatement en ligne pour rencontrer des pratiquants de l'extérieur du bureau, et je travaille souvent jusqu'à minuit. Le dimanche, j'ai une semaine de tâches ménagères à faire.

C'était vraiment difficile et fatigant. J'ai découvert que fermer les yeux, avoir une bonne nuit de sommeil et me réveiller quand j'en avais envie, était devenu un rêve, la plus grande récompense et un luxe pour moi.

Un samedi, j'étais si fatiguée que je ne pouvais pas dire un mot. J'ai fait mon émission de jour et j'ai pris congé de la réunion régulière le soir. Je me suis couchée dans mon lit et j'ai eu l'impression que ma tête allait exploser ; ce sentiment était indescriptible. J'avais l'impression d'avoir atteint la limite.

J'étais épuisée, mais je n'arrivais pas à dormir ; j'étais épuisée, mais plus j'y pensais, plus ça s'aggravait. J'ai pensé à écouter les enseignements du Maître.

Le Maître a dit :

« En revanche, les petits moines qui allument le feu et font la cuisine n’ont pas forcément une mauvaise prédisposition. Plus ces petits moines endurent des épreuves, plus il leur est facile d’atteindre la libération du gong ; plus les doyens des moines vivent confortablement, plus il leur est difficile d’atteindre la libération du gong, car il s’agit là du problème de la transformation du karma. Le petit moine travaille toujours dur et supporte la fatigue, il peut liquider plus rapidement son karma et atteindre plus vite l’éveil. » (Septième leçon, Zhuan Falun)

J'ai changé ma façon de penser en me considérant comme une pratiquante et j'ai cessé de ressentir cette « fatigue ». En fait, ce ne sont que des sentiments humains. Si j'arrête d'y penser, ça ne m'affectera pas.

Le Maître a dit :

« Ce processus de xiulian est éliminer le karma, c’est souffrir. Si tu ne souffres pas, ce karma ne peut être éliminé, donc cette souffrance sur le corps n’est pas nécessairement mauvaise. Ces ennuis que tu rencontres dans ta vie, ils ne sont pas non plus nécessairement mauvais, tu les as endurés mais tu n'es pas conscient de cela. » (« Propositions à la réunion des assistants de Falun Dafa de Pékin », Explication sur le sens intérieur du Falun Dafa)

Éliminer le karma et endurer les épreuves sont de bonnes choses puisque ce sont pour moi des occasions de m'élever ; cela devrait être la compréhension d'une pratiquante.

Avec ces pensées dans la tête, je n'ai dormi que deux ou trois heures. L'idée de demander un congé a aussi été évoquée à quelques reprises : comment dois-je demander l'autorisation ? Dois-je prendre un long congé ou par intermittence ? Et qu'en est-il de travailler depuis la maison ?

Finalement, j'ai senti que je ne devais pas avoir l'idée de vouloir me reposer et me détendre. N'était-ce pas simplement de l' « amertume » et de la « fatigue » ? Les pratiquants en Chine continentale persistent toujours dans leur cultivation et font ce que les disciples de Dafa doivent faire dans ces conditions difficiles ; en comparaison, je suis dans un environnement relativement détendu à l'étranger, et il y a tellement de pratiquants ici pour nous entraider. De quoi dois-je me plaindre ? J'ai honte rien que d'y penser.

Le premier poème de Hong Yin est : « Faire souffrir le cœur et la volonté » . Même les gens ordinaires disent que : « Quand le Ciel est sur le point de conférer une grande responsabilité à un homme, il épuise d'abord son corps avec peine et éprouve son esprit avec la souffrance. » La cultivation est sérieuse et il faut consciemment endurer les épreuves. C'est un choix que j'avais fait.

Le Maître a dit :

« En fait, le sens fondamental de ce que je dis est pour vous expliquer que votre vie n’est venue que pour cela ! (Les disciples applaudissent avec enthousiasme) Il n’y a pas d’autre choix, il n’y a vraiment pas d’autre choix ! C’est pour les disciples de Dafa. Quant aux gens ordinaires, peut-être qu’ils se réincarneront dans les six voies du samsara et des règnes différents ; vous, vous ne le pouvez plus, pour vous il n'y a que cette affaire de Dafa. Alors si on ne fait pas bien, ce qu’on se laisse ce sont des regrets. En particulier les disciples de Dafa vétérans, ne vous relâchez pas. » (« Enseignement du Fa à Washington DC 2018 »)

Le Maître a dit :

« La cultivation dépend de soi, le gong dépend du maître. » (Première leçon, Zhuan Falun)

Je suis allée travailler le lendemain comme d'habitude et je ne me sentais plus aussi fatiguée après deux jours.

Chérir l'opportunité de cultiver dans les projets médiatiques

Certains pratiquants m'ont demandé pourquoi je ne cherchais pas d'autres personnes pour rejoindre l'équipe. En réalité, il n'y avait pas beaucoup de candidats parmi lesquels choisir. De plus, si les membres du personnel vont et viennent fréquemment, le public sentira l'inégalité de la qualité, ce qui affectera la réputation des médias. En outre, le fait d'avoir plus de personnes dans l'équipe n'est pas propice à la coordination, mais plus important encore, si la quantité de travail pour deux personnes était distribuée à plus de personnes, il n'y aurait plus de vertu majestueuse. Après tout, nous ne sommes pas une entreprise médiatique ordinaire.

Nous pouvons bien faire si nous maintenons une pensée droite et coopérons les uns avec les autres pendant les périodes stressantes et difficiles. En outre, les ressources de Dafa sont limitées et doivent être utilisées correctement. Dans la guerre entre le bien et le mal dans une autre dimension, les médias sont l'avant-garde et la force d'élite ; des soldats d'élite sont nécessaires pour gagner les guerres. La stabilité de notre personnel et l'amélioration de ses compétences sont cruciales pour que les médias puissent se développer et jouer efficacement leur rôle de sauver les gens.

En fait, le Maître veille toujours sur nous et des miracles souvent se manifestent.

Une fois, un clip a été téléchargé sur le système moins de deux minutes avant la diffusion. Nous n'étions pas sûrs de pouvoir l'obtenir à temps. J'ai demandé silencieusement de l'aide au Maître et je me suis concentrée sur l'émission de la pensée droite. Ces deux minutes m'ont semblé longues. J'ai fermé les yeux et je n'ai pas osé regarder l'écran jusqu'à ce que je sente le calme autour de moi et sache que l'émission s'était bien passée.

L'expérience la plus palpitante a été lorsque nous avons reçu le clip six secondes seulement avant la diffusion.

Chaque jour est une bataille et parfois il peut y avoir plusieurs batailles lorsque nous travaillons sur les journaux télévisés. Afin de gagner la bataille, nous devons toujours garder un esprit clair et une forte pensée droite et nous assurer que nous sommes dans un bon état de cultivation.

Quand je regardais le concert de l'Orchestre symphonique de Shen Yun, j'observais habituellement le chef d'orchestre, dont le rôle est très inspirant pour moi. Il devait bien comprendre le répertoire et les différents instruments de musique en jeu, ainsi que les conditions de chacun des membres de l'orchestre. Au cours de la représentation, il a dû procéder à divers ajustements et changements mineurs en réponse aux réactions du public. De plus, il doit mobiliser les émotions de chacun des membres de l'orchestre pour atteindre une coordination maximale tout en restant détendu pour le plus grand plaisir du public.

Le Maître a dit :

« Quant aux disciples de Dafa, chaque personne voudrait devenir un disciple qui cultive vraiment, voudrait devenir un disciple de Dafa ferme, qui marche sur le chemin divin, qui cultive et pratique comme il faut. » (« Enseignement du Fa à Washington DC 2018 »)

Je me demande souvent : qu'est-ce que cela signifie d'être « un disciple de Dafa déterminé et solide » ? D'après ce que je comprends actuellement, c'est peut-être comme si j'étais le chef de l'Orchestre symphonique de Shen Yun. Être capable d'assumer de grandes responsabilités est le reflet d'une solide cultivation du xinxing sur une longue période.

Il y a eu de nombreuses fois où il n'y avait pas de nouvelles à rapporter. Mais le temps ne s'arrête pas et nous ne pouvons pas laisser l'écran vide quand le public le regarde. Quand je peux penser calmement, je peux toujours trouver la bonne solution au bon moment et les choses dont nous avons besoin surgissent comme si elles étaient préparées juste pour nous.

Il y a d'autres moments où nous couvrons des événements que les autres médias négligent. Une fois que nous l'avons couvert, cela va bientôt faire boule de neige dans les dernières nouvelles consécutives. Il n'est pas nécessaire de courir après les nouvelles. Quand nous abandonnons nos goûts personnels, nos aversions et notre sentimentalité humaine, nos cœurs s'élargissent et nous pouvons voir plus loin.

La cultivation n'est pas seulement une question d'amertume et de fatigue ; il y a des choses plus miraculeuses et mystiques que les gens ordinaires ne pourront jamais vivre.

Il y a aussi la chaleur entre compagnons de cultivation. Lorsque je travaille tôt le matin et que je n'ai rien à manger pour le petit-déjeuner, les pratiquants m'apportent souvent un œuf au thé lorsqu'ils arrivent au bureau. Cela peut sembler un petit geste, mais je suis touchée à chaque fois.

Le Maître a dit :

« Tu es passé par des périodes tellement difficiles, arriver jusqu’à aujourd’hui a été ô combien difficile ! Ne sais-tu pas te chérir ? Même moi je te chéris ! Les divinités te chérissent ! (Les disciples applaudissent avec enthousiasme) Alors il faut à plus forte raison se chérir soi-même. »(« Enseignement du Fa à Washington DC 2018 »)

C'est un grand honneur pour moi de participer à des projets médiatiques, de cultiver ici, d'accomplir mes vœux préhistoriques et de sauver des êtres. Je chéris tout ça.

Il y a une pratiquante australienne que j'ai toujours remerciée d'être désintéressée et serviable. Mais à chaque fois, elle disait : « Tu n'as pas besoin de me remercier. C'est à moi de remercier le Maître, de remercier NTD et de remercier toutes les occasions qui m'ont été données pour m'aider à m'élever dans ma cultivation, à sauver les êtres et à accomplir mes vœux ! »

Permettez-moi d'utiliser ses mots pour exprimer ma gratitude envers le Maître et mes remerciements à tous les compagnons de cultivation.

Ceci est ma récente expérience de cultivation. S'il y a quelque chose d'inapproprié, veuillez me le signaler par bienveillance.

Merci Maître !

Merci compagnons de cultivation !

Traduit de l'anglais au Canada