Une professeur améliore son caractère en pratiquant le Falun Dafa

(Minghui.org) J'ai 71 ans et je suis une professeur à la retraite. J'avais souvent des maux de tête et des douleurs à l'estomac, jusqu'à ce que je commence à pratiquer le Falun Dafa.

Tout mon corps était enflé, j'avais aussi une tension artérielle basse et de l'arythmie cardiaque. J'ai essayé aussi bien les médicaments occidentaux que chinois, mais rien ne semblait marcher.

J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1997, et mes maux et douleurs ont rapidement disparu.

Les valeurs morales sont en baisse dans la société d'aujourd'hui, il y a des pratiques immorales dans chaque profession. Cependant, grâce à la pratique du Falun Dafa, j'ai appris à devenir une meilleure personne.

Refuser les pots-de-vin des parents

Une fois, le parent d'un élève m'a donné de l'argent, chose usuelle en Chine. Les parents donnent souvent quelque chose aux professeurs afin qu'on « prenne bien soin » de son enfant à l'école.

En tant que pratiquante, je sentais que ce n'était pas correct d'accepter l'argent. Alors je suis allée chez l'élève et je leur ai dit que j'étais reconnaissante pour leur geste, mais que je ne pouvais pas prendre l'argent.

Je leur ai assuré que j'allais faire de mon mieux pour enseigner et prendre bien soin de chaque élève dans ma classe. Les parents étaient surpris et touchés par mes paroles.

Enseigner aux enfants à traiter autrui avec gentillesse

Avant que je devienne une pratiquante, je grondais les élèves qui se bagarraient, mais j'ai changé d'état d'esprit après avoir appris Dafa.

Un jour, deux garçons ont commencé à se taper dessus après la classe. Je leur ai patiemment expliqué que blesser les autres n'était pas correct.

Je leur ai enseigné à pardonner à ceux qui les avaient mal traités. À la fin, tous deux ont admis qu'ils se trompaient et se sont serré la main. Mes élèves ont depuis lors cessé d'entamer des bagarres.

Prendre la renommée et le gain avec légèreté

Une année, lors de l'évaluation annuelle du salaire, le département des ressources humaines m'a dit que j'avais été promue de seulement un niveau. Je n'ai rien dit, même si je pensais que j'aurais dû être promue de deux niveaux.

La professeur chargée de l'évaluation a plus tard réalisé qu'elle avait fait une erreur et changé les documents pour refléter le bon niveau.

Le Maître a dit dans le Zhuan Falun :

« … ce qui est à vous, vous ne le perdrez pas. »

Je savais que je n'aurais pas réussi à rester calme si je n'avais pas été une pratiquante.

Une jeune professeur très compétente a été transférée à mon école pendant le dernier trimestre. Comme j'allais bientôt partir à la retraite, elle a été chargée de reprendre ma classe.

Elle a commencé à exprimer sa colère contre moi devant les autres professeurs chaque fois que les élèves de mon ancienne classe ne l'écoutaient pas. Je n'ai pas été contrariée et au lieu de ça, j'ai essayé de l'aider.

Je savais que ce n'était pas facile de reprendre une classe au milieu de l'année scolaire. Je l'ai rencontrée une fois que j'étais à la retraite, et elle m'a dit qu'elle était reconnaissante de ce que j'avais fait pour l'aider à s'installer dans son rôle.

Elle a dit que les pratiquants de Falun Dafa étaient de bonnes personnes.

Protégée par le Maître en plusieurs occasions

Peu après que j'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa, je marchais près d'un chantier de construction pour aller travailler. Comme je m'arrêtais pour lacer mes chaussures, une brique m'a frappée dans le dos.

Je me suis redressée et je ne ressentais aucune douleur, alors j'ai poursuivi pour aller au travail, comme si rien n'était arrivé. J'avais 50 ans à l'époque et la brique était tombée de 5 à 6 étages de haut. Cela aurait été très dangereux sans la protection du Maître.

En 2005, alors que je roulais en vélo sur une route, un gros camion-remorque est tout à coup apparu devant moi. C'était trop tard pour que je m'arrête, alors je me suis écrasée dans le camion.

Je suis tombée par terre, mais je ne ressentais aucune douleur. Cependant, j'avais des contusions sur le bras et je ne pouvais pas bouger la main.

Je voulais rentrer chez moi, mais j'ai réalisé que mon vélo était abîmé. Des passants m'ont aidée à pousser mon vélo jusqu'à l'atelier de réparation.

Les employés de l'atelier de réparation ont été surpris que j'aie laissé le chauffeur de poids-lourd se tirer d'affaires ainsi.

J'ai bien dormi cette nuit-là et à l'exception d'une légère marque rouge, j'allais bien le lendemain. J'avais 58 ans à l'époque. Si le Maître ne s'était pas occupé de moi, j'aurais sûrement subi de graves blessures.

Traduit de l'anglais en Suisse