(Minghui.org) Je suis née dans les années 1980. Mon environnement familial était dysfonctionnel et manquait de spiritualité. Par conséquent, j’ai grandi sans direction et je n’avais aucun espoir en l’avenir. J’ai développé un mauvais caractère et je détestais essentiellement le monde et ma vie !
Je suis allée travailler dans la ville de Qingdao à l’âge de 16 ans. C’était un nouveau monde pour moi. Je n’avais aucune valeur et faisais ce que je voulais. J’ai accumulé plusieurs mauvaises habitudes : je dépensais de l’argent sans réfléchir, buvais et jouais tous les jours, et je passais des jours et des nuits au bar Internet si je n’avais pas à aller travailler.
Mon collègue m’a persuadé d’essayer un médicament pour me tenir éveillée pendant le quart de nuit. Je n’avais pas peur et j’étais toujours curieuse d’essayer quelque chose de nouveau. J’ai donc pris le médicament et j’ai continué à l’utiliser par la suite.
À cette époque, j’étais très matérialiste et je satisfaisais tous mes désirs. Au fond de moi, je savais que je ne devais pas vivre de cette façon et je regrettais mon chemin. Mais je ne savais pas quoi faire d’autre, alors je me laissais dériver.
La vie change — je commence à avoir de l’espoir
J’approchais de l’âge où la plupart des gens se marient. Mon camarade de classe m’a présenté à mon mari actuel. Ses parents pratiquaient le Falun Dafa. En raison de la propagande calomnieuse diffusée par le Parti communiste chinois (PCC), j’étais contre le Falun Dafa. Je pensais pouvoir changer ses parents après avoir épousé leur fils.
Après mon mariage, j’ai commencé à bien me comporter et à abandonner certaines de mes mauvaises habitudes. Mais j’étais encore dépendante de la drogue et j’y ai dépensé les dizaines de milliers de yuans que mes parents m’avaient donnés en cadeau de mariage.
Après avoir vécu avec mes beaux-parents pendant un certain temps, j’ai constaté qu’ils n’étaient pas comme ce que la propagande disait à propos des pratiquants de Falun Dafa. Ils travaillaient dur et étaient gentils avec tout le monde. J’étais heureuse de vivre avec eux.
Mes beaux-parents étaient frugaux, mais ils étaient tout de même très généreux avec moi quand j’étais enceinte. Ils ont cuisiné mes plats préférés et j’ai été très touchée par leur gentillesse. Toutefois, je n’avais toujours pas totalement abandonné mes conceptions concernant les mauvaises choses que j’avais entendues dans les médias au sujet du Falun Dafa. Ils ont essayé de me dire la vérité, mais je n’étais pas convaincue.
Je ne me suis pas sentie bien après l’accouchement. Je toussais, j’étais à bout de souffle et j’avais de la fièvre. L’obstétricienne a dit que j’avais besoin d’aller dans un autre département pour être soignée ; ils traitaient seulement les bébés ici. J’étais en colère contre elle et j’ai quitté l’hôpital. À la maison, j’étais de nouveau à bout de souffle. Ma belle-mère a dit à mon mari qu’il devait m’emmener à l’hôpital.
J’ai été mise sous perfusion intraveineuse, mais je ne me sentais pas mieux. Je pensais à mon nouveau-né et je ne voulais pas mourir. Ma belle-mère m’a alors demandé de dire « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Elle a dit que je serais bénie. Mais j’ai secoué la tête pour dire non.
Une infirmière est venue me voir peu de temps après et a dit que je guérirais si je répétais : « Falun Dafa est bon et Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » J’étais surprise. Deux fois, on m’avait dit la même chose en peu de temps. Se pourrait-il que ce soit vrai ? Pourquoi tant de pratiquants n’avaient-ils pas abandonné leur pratique même sous une persécution si grave ? Le Falun Dafa est-il un Fa de Bouddha ? Le PCC a-t-il diffamé le Falun Dafa ? J’avais beaucoup de questions dans mon esprit.
Je ne voulais pas mourir, alors j’ai décidé de les écouter tous les deux et j’ai abandonné mes mauvaises pensées à propos du Falun Dafa. J’ai répété avec révérence ces mots tout l’après-midi, puis je me suis endormie.
Quand je me suis réveillée, je me sentais totalement bien. Ma fièvre avait disparu, je pouvais respirer et ma vie n’était plus en danger. Je n’avais plus besoin d’oxygène ni de gouttes intraveineuses. Peu après, j’ai récupéré complètement. Ma belle-mère avait raison. Je voulais en savoir plus sur le Falun Dafa.
J’avais hâte de lire le livre principal du Falun Dafa, le Zhuan Falun, après ma sortie de l’hôpital. J’ai commencé à le lire et j’étais totalement captivée par le livre.
J’ai alors commencé à pratiquer le Falun Dafa et j’ai essayé de me comporter selon le principe « Authenticité-Bienveillance-Tolérance ». Je me suis sentie étourdie et nauséeuse lorsque l’envie de consommer de la drogue est apparue. Mais je savais, en tant que pratiquante, que j’avais besoin de renoncer à la drogue. Avec l’aide du Fa, j’ai délaissé la drogue et l’alcool. Quand mon père m’a offert un verre, j’ai pu facilement refuser.
Ma famille était reconnaissante. Le Falun Dafa m’a donné une nouvelle vie. Il y avait de l’espoir dans ma vie et j’étais heureuse !
Quand je rendais visite à mes parents, je leur disais toujours à quel point le Falun Dafa est merveilleux. Ils ont vu les changements en moi et étaient heureux. Si je ne l’avais pas vécu moi-même, je n’aurais jamais cru à ce miracle. J’espère que plus de gens liront le Zhuan Falun et apprendront la pratique.
Le Falun Dafa a restauré ma famille
Quand mon enfant avait deux ans, mon mari a eu une liaison.
Ma belle-mère a été la première à le découvrir et ne me l’a pas caché. J’étais très contrariée à l’époque et je sentais que la vie était injuste. Je voulais divorcer. Mais lorsque je me suis calmée, je savais que ce n’était pas la bonne chose à faire.
Je devais penser à eux et leur faire savoir que ce qu’ils faisaient était mauvais. Ma relation avec mon mari était prédestinée, je devais donc la chérir.
Quand j’ai senti que je manquais de compassion, je savais que c’était un test pour moi. J’ai abandonné ma colère et ma haine. J’ai pensé qu’on devait avoir pitié d’eux. Ma belle-mère m’a rappelé de le résoudre d’une manière bienveillante. Je savais que j’avais de la chance d’être une pratiquante de Falun Dafa.
J’ai invité mon mari et sa petite amie à dîner et leur ai raconté des histoires sur la rétribution karmique et j’ai essayé de les persuader de corriger leur erreur et d’être de bonnes personnes. Sa petite amie n’était pas émue et a dit : « Eh bien, si nous devons aller en enfer, au moins nous serons ensemble. » J’ai gardé mon calme.
Mon mari a continué à la voir et parlait de divorcer. J’ai décidé de parler à nouveau à sa petite amie. Je lui ai apporté un cadeau et nous avons eu une bonne conversation. Elle a été touchée et a dit à mon mari qu’il avait une bonne épouse et de bons parents. Elle a décidé d’arrêter de le voir.
Grâce au Falun Dafa, l’harmonie est revenue dans notre famille. Aucun mot ne peut exprimer ma gratitude envers Maître Li Hongzhi (le fondateur et enseignant du Falun Dafa).
Si je ne pratiquais pas le Falun Dafa, je ne sais pas quel genre de personne j’aurais fini par être ou quel genre de vie j’aurais menée. Je suis tellement bénie de pouvoir être une pratiquante de Falun Dafa.
Traduit de l’anglais au Canada
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