(Minghui.org) Il y a deux ans, un jour au début de l'été, j'ai rencontré un autre pratiquant. J'ai appris qu'il avait lancé une petite entreprise. Maintenant, c'est un patron et il est très occupé. Le voyant si occupé, je l'ai pressé de prendre le temps de cultiver après que j'ai eu fini ma course avec lui. À ce moment-là, il m'a raconté deux choses qui lui étaient arrivées.

Voici mon souvenir de son partage, écrit à la première personne.

***

Comme je suis si occupé, j'ai négligé d'étudier le Fa et de faire les exercices. Un matin, je me suis réveillé et j'ai voulu aller aux toilettes, mais je ne pouvais ni bouger ni parler, et je suis devenu très anxieux.

Puis je me suis souvenu que je n'avais pas le temps d'étudier le Fa et encore moins de faire les exercices. J'ai pensé que j'avais peut-être développé une maladie, même si je n'avais pas encore 40 ans. Je me sentais extrêmement frustré...

J'ai soudainement pensé au Maître. Oui, je cultiverai diligemment à l'avenir, et je chercherai l'aide du Maître. J'ai demandé au Maître de m'aider ! Après un certain temps, j'étais capable de parler, et diverses parties de mon corps ont lentement recommencé à fonctionner. J'ai juré d'assister à l'étude du Fa. Mais je n'y suis pas encore allé une seule fois parce que je suis trop occupé.

Peu de temps après, j'ai fait un rêve qui semblait réel. En fait, il ne peut pas être décrit comme un rêve ; c'était l'une des choses que ma conscience principale expérimentait. Je venais tout juste de me coucher, j'ai vu une grande salle de classe où tous les pratiquants de Dafa passaient un examen de fin d'études.

Quand tout le monde a remis sa feuille d'examen, le Maître a noté chacun d'eux sur-le-champ. J'ai obtenu 50 points et j'ai échoué parce que seuls ceux qui avaient 60 points et plus pouvaient passer. J'ai apporté ma feuille au Maître. Le Maître a dit : « N'êtes-vous pas satisfait avec 50 points ? » J'ai dit : « Non, je ne suis pas convaincu. Je pratique sincèrement. Je n'ai aucun doute sur Dafa ni sur le Maître. Je crois fermement dans le Maître et le Fa. Pourquoi les autres obtiennent-ils une note entre 80 et 90, alors que moi, je n'ai que 50 points ? »

Lorsque la voix du Maître s'est arrêtée, la forme d'un corps humain est apparue devant moi. Un tiers du corps était rouge et un tiers jaune. Le Maître a désigné la partie rouge et a dit : «Regarde, ta luxure est si énorme. » Le Maître a alors désigné la partie jaune et a dit cette fois : « Regarde, tu es si attaché aux intérêts personnels. Seulement un tiers du corps était clair et a bien cultivé. 50 points, c'est trop peu pour toi ? »

Après que le Maître a eu fini de parler, il est parti avec les pratiquants qui avaient atteint le critère de la plénitude parfaite ! Ils tenaient leurs feuilles. Les notes les plus basses étaient entre 80 et 90 points. Voyant le Maître les emmener, je les ai suivis et j'ai crié : « Maître, attendez-moi ! Ne me laissez pas ! Je sais que je n'ai pas bien cultivé. Maintenant, je suis convaincu, je vais vraiment cultiver diligemment dès lors. S'il vous plaît, donnez-moi une autre chance ! »

Le Maître m'a regardé sans parler. Je les ai suivis jusqu'à la Porte céleste du Sud. J'ai clairement vu qu'il y avait en effet une Porte céleste du Sud. Il y avait deux grands gardes qui se tenaient de chaque côté, chacun tenant une arme. Le Maître a pris les pratiquants qui avaient atteint le critère et ils sont entrés par la porte. Quand j'ai essayé d'entrer, les deux divinités qui gardaient la porte ont croisé leurs armes devant moi.

Voyant le Maître partir avec les disciples qui avaient atteint le critère, j'ai pleuré et supplié le Maître de ne pas me quitter. « Je me suis trompé, maintenant Je vais assurément bien me cultiver. Maître, attendez-moi s'il vous plaît… »

Le Maître m'a regardé en se retournant. Je ne peux pas oublier l'expression dans ses yeux – ils étaient pleins de réticence à me laisser derrière, pleins de pitié... et plus encore, pleins de compassion ! Ce regard ressemblait à celui d'un père rendant visite à son enfant en prison, voyant clairement son enfant souffrir sans pouvoir le libérer. Le Maître a pris les disciples qui avaient atteint la plénitude parfaite pour s'envoler et j'ai été laissé à l'extérieur de la Porte céleste du Sud.

J'étais désemparé, j'ai pleuré et j'ai regretté de ne pas avoir saisi l'occasion de bien me cultiver. Maintenant, il était trop tard.

Alors que je pleurais tout mon désespoir et ma tristesse, je me suis réveillé. J'ai vu que l'oreiller était mouillé, mais j'avais encore envie de pleurer ! Le sentiment était si réel ! Heureusement, c'était un rêve. Je dois prendre le temps de cultiver diligemment. Je ne peux pas rater cette occasion à nouveau. J'irai à l'étude collective du Fa ce soir !

J'ai été tellement bouleversé par ce rêve qui semblait si vrai que j'en ai eu des sueurs froides. J'ai senti que la cultivation est très sérieuse ! Le Maître ne peut rien faire pour ceux qui n'atteignent pas les critères de la plénitude parfaite. Le Maître sauve les gens et rectifie les principes de l'univers. Si le Maître emmène les êtres impurs dans le nouvel univers, alors le nouvel univers sera aussi pollué et impur !

Heureusement, nous avons encore le temps. Nous nous disciplinerons et nous ne nous permettrons plus de nous relâcher ! Saisissez cette dernière chance, et ne laissez pas les regrets vous envahir au moment de la plénitude parfaite ! Nous devrions faire mieux pour que le Maître se sente soulagé et moins accablé.

Traduit de l'anglais au Canada