(Minghui.org) Quand Shao-chun était très jeune, il se demandait souvent pourquoi les gens venaient dans ce monde matériel, qui, selon lui, était fait de douleur et de souffrance. « J'avais le sentiment très net d'avoir été abandonné par le ciel », se souvient-il.
Quand il a reçu un dépliant d'un pratiquant de Falun Dafa en 2015, il a décidé d'en savoir plus sur la pratique. Plus tard, il a visité un site d'exercices à proximité où il a appris les cinq exercices du Falun Gong.
Shao-chun participe à une pratique collective des exercices lors de la célébration de la Journée mondiale du Falun Dafa en mai 2018.
Avant de pratiquer le Falun Dafa, Shao-chun se portait volontaire à la banque alimentaire locale, il aidait les pauvres et il utilisait ses compétences pour fournir un logement gratuit aux aborigènes taïwanais.
Bien qu'il savait que la vie était remplie d'épreuves sans fin, ce n'est que lorsqu'il a commencé à pratiquer le Falun Gong qu'il a compris le sens de l'existence humaine.
Changer d'un tempérament colérique à un tempérament calme
Shao-chun s'irritait facilement et il perdait son sang-froid quand les autres n'étaient pas d'accord avec lui. Ainsi, il se disputait souvent avec les membres de sa famille.
Maintenant qu'il se conduit selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, sa famille dit qu'il est plus « ouvert d'esprit, paisible, joyeux et compréhensif ». Ils savent que le Falun Dafa est bon et ils soutiennent pleinement sa décision d'avoir adopté la cultivation et pratique.
Vraiment bon pour les autres
Shao-chun, âgé de 25 ans, est policier. Les quatre policiers de son groupe le respectent pour sa volonté à travailler de longues heures lorsque c'est nécessaire.
Dans son temps libre, il aide les gens à prendre conscience de la persécution par le Parti communiste chinois (PCC) à l'égard du Falun Gong en Chine et présente cette pratique aux gens sur les médias sociaux et dans sa communauté locale.
Shao-chun partage ses réalisations avec ceux qui l'entourent afin qu'eux aussi aient une vision correcte des choses, leur permettant de discerner le bien du mal.
Il pose aussi des affiches sur le Falun Gong dans les sites touristiques de Taïwan, qui sont populaires auprès des Chinois de la Chine continentale. Il se rend souvent à Hong Kong pendant les vacances pour participer aux défilés du Falun Gong.
Un jour, il tenait un panneau décrivant la persécution brutale du Falun Gong à Hong Kong en Chine. Il a vu un touriste de la ville de Shenzhen le pointer du doigt et il a dit à son voisin : « Ce type est trop jeune pour être impliqué dans la lutte pour l'autonomie de Hong Kong avec la Chine ! »
Shao-chun lui a dit gentiment : « Une personne devrait être jugée sur la base de son niveau de moralité. C'est un principe céleste que le bien sera récompensé et que le mal sera puni.
« Nous disons la vérité aux gens pour qu'ils puissent voir la nature perverse du PCC. » L'autre partie s'est arrêté de parler et a écouté tranquillement.
Face aux provocations, insultes et agressions physiques lancées par des personnes engagées par le PCC, Shao-chun reste calme et rationnel. Il sait que les gens ont la capacité innée de discerner le bien du mal.
Comme les pratiquants de Falun Gong se conduisent selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, non seulement cela valide Dafa, mais cela perce aussi les mensonges diffamatoires du PCC ! »
Traduit de l'anglais au Canada
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