(Minghui.org) Trois femmes âgées qui pratiquent le Falun Dafa ont été arrêtées près de la route de Wusheng vers 9 heures le 17 juillet 2018. Leur crime ? Avoir distribué des documents informationnels sur le Falun Dafa et la persécution. Elles ont été emmenées au poste de police de la route de Liji par un policier en civil. Après avoir été interrogées et harcelées, elles ont été libérées séparément ce jour-là.
La mauvaise conduite de la police
Les policiers ont fouillé les sacs des femmes et ont confisqué tous les documents liés au Falun Dafa, y compris des exemplaires du livre Le but fondamental du communisme et 2500 yuans en billets de banque avec des informations sur Dafa imprimés sur eux.
Ils ont ensuite demandé aux policiers de la Division de la sécurité intérieure du district de Qiaokou de prendre des photos des trois pratiquantes. Les policiers ont également pris par la force des empreintes digitales, des empreintes de pieds et des échantillons de sang des trois pratiquantes.
Mme Feng
Après que la police a pris les empreintes digitales de Mme Feng, ils lui ont ordonné de signer des papiers. Mme Feng a refusé et leur a dit : « Vous faites cela par la force. Nous ne signerons pas de documents falsifiés. » Un policier a répondu : « Oui, nous utilisons la force. Peu importe, tu dois les signer. »
Le poste de police de la route de Liji a avisé les fonctionnaires du comité de résidence communautaire, le lieu où vit Mme Feng, de venir la chercher pour la ramener chez elle plus tard dans l'après-midi. Les responsables du comité résidentiel ont dit à Mme Feng de se présenter à leur bureau le jour suivant.
Mme Feng n'est pas allée. Les fonctionnaires du comité sont ensuite allés chez elle et ont saccagé le domicile. Ils ont confisqué des articles récents écrits par le fondateur du Falun Dafa, des magazines de l'Hebdomadaire Minghui et d'autres documents.
Mme Zhou
La police a aussi ordonné à Mme Zhou de signer des documents. Elle leur a dit que si elle signait, cela ne servirait que de preuve de leurs crimes. Mme Zhou a été ramenée chez elle ce soir-là par des fonctionnaires de son comité de voisinage communautaire, en compagnie de ses deux filles et de deux petits-fils.
Mme Liang
Mme Liang a été retenue jusqu'à tard dans la nuit. On lui a dit de signer une liste des objets confisqués de son sac. Mme Liang leur a dit : « Je suis une bonne personne et je suis inébranlable dans ma croyance. Qui penses-tu que tu es, me disant de te donner ma signature ? » Le jeune policier s'est retourné et est parti brusquement sans insister pour avoir sa signature.
En raison de l'heure tardive, les policiers ont ramené Mme Liang chez elle dans une voiture et ont ordonné à son fils de leur donner son propre numéro de téléphone et son adresse.
Le lendemain, des fonctionnaires du comité de résidence communautaire, où vit le fils de Mme Liang, ont frappé à la porte de son domicile pour harceler sa famille. La famille n'a pas répondu ni ouvert la porte. Les fonctionnaires sont finalement partis et ne sont pas revenus.
Traduit de l'anglais au Canada
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