(Minghui.org) Le 27 juillet, les pratiquants de Falun Gong ont organisé un rassemblement au centre-ville de Hamilton (Nouvelle-Zélande) afin de sensibiliser la population aux 19 années de persécution de cette pratique pacifique de cultivation de l'esprit et du corps en Chine. Depuis 1999, les pratiquants en Chine ont été arrêtés, détenus et condamnés sans procès légal. Beaucoup ont été soumis à la torture, à des mauvais traitements psychiatriques et au lavage de cerveau, et même tués, leurs organes prélevés pour des chirurgies de greffe.

Les pratiquants de Falun Gong à Hamilton, en Nouvelle-Zélande, reconstituent les tortures utilisées dans la persécution du Falun Gong en Chine.

La présentation des exercices en groupe lors du rassemblement du 27 juillet à Hamilton, en Nouvelle-Zélande

Megan Hooper, une résidente de Hamilton, est préoccupée par la persécution du Falun Gong en Chine.

Megan Hooper, qui habite à Hamilton, a regardé attentivement la reconstitution des tortures. Elle a commenté : « Je sais que la Chine a fait des choses douteuses, mais en fait, je ne savais pas du tout que la méditation est un crime en Chine. Je crois à la liberté de religion. Les gens devraient être capables de pratiquer ce qu'ils veulent, tant qu'ils ne blessent pas les autres... que le gouvernement blesse les autres, ce n'est pas juste.

« La Chine reçoit des organes de citoyens qui ont été assassinés. C'est un abus des droits de l'homme. Le gouvernement néo-zélandais devrait faire des choses contre ce type de crime. »

Cherie Broomhall : « Les gens ne devraient pas être punis pour avoir essayé de trouver la paix. »

Cherie Broomhall, qui travaille au centre-ville, a vu la reconstitution des tortures pendant sa pause déjeuner. Parlant des personnes tuées pour leurs organes, Mme Broomhall a dit : « J'ai envie de pleurer. C'est affreux ! Je ne comprends pas. Je pense que c'est absolument dégoûtant ! Les gens ne devraient pas être punis pour avoir essayé de trouver la paix. Je me sens physiquement malade. Je ne peux pas croire que c'est permis. Je ne comprends pas ! Le gouvernement néo-zélandais devrait faire quelque chose. »

Mme Broomhall a encouragé les pratiquants à recueillir des signatures et à informer plus de gens sur la persécution par les médias sociaux. Elle a dit qu'elle écrirait à son député parlementaire pour exprimer ses inquiétudes et qu'elle dirait aussi à ses amis et sa famille de soutenir le Falun Gong.

Traduit de l’anglais au Canada