(Minghui.org) Le 20 juillet 2018, les pratiquants de Falun Gong ont organisé un rassemblement dans le centre-ville de Perth appelant à faire cesser la répression en Chine, longue de dix-neuf ans. Perth est la capitale de l'Australie de l'Ouest et la quatrième ville la plus peuplée du pays.

Selon le site Internet Minghui, au moins 4236 pratiquants ont perdu la vie en conséquence de la torture sous détention policière. De nombreuses preuves ont également confirmé l'existence en Chine de prélèvements d'organes à grande échelle sur des pratiquants de Falun Gong vivants.

Afin d'éveiller les consciences à cette brutalité et aider à la stopper, les pratiquants étaient présents sur St.Georges Terrace dans le district des affaires au centre-ville, de l'aube au crépuscule, à afficher des banderoles, distribuer des dépliants et récolter des signatures.

Les pratiquants informent les passants sur le Falun Gong.

Beaucoup de gens se sont arrêtés pour parler avec les pratiquants et signer la pétition pour aider à stopper la persécution du Falun Gong. Une personne, travaillant comme ingénieur, a dit que les prélèvements forcés d'organes étaient terribles. « C'est contre l'humanité, quelque chose que l'on ne peut pas imaginer. J'espère que les fonctionnaires du gouvernement en Australie et dans la société occidentale vont agir pour arrêter cela. »

Susan Mortimer, qui a fait un voyage de 5 heures pour venir à cette activité, espère que davantage de gens vont être informés de la répression en Chine.

Debout tenant un panneau devant elle, Susan Mortimer a dit qu'elle avait fait 450 km depuis Albany pour participer à cette activité. « Il m'a fallu 5 heures hier pour arriver ici. Je veux dire aux gens que, alors que nous Australiens pouvons profiter de cette méditation paisible avec le reste du monde, une sévère persécution se poursuit depuis dix-neuf ans en Chine », a-t-elle expliqué.

Pour empirer les choses, le Parti communiste tue les pratiquants sur demande pour vendre leurs organes pour de l'argent. Les professionnels de la santé concernés ont également violé leur éthique et conscience en étant complices de ce crime. Elle a ajouté : « Très peu de gens que je rencontre m'ont dit qu'ils avaient entendu parler de ça et ils signent la pétition. Certains lèvent le pouce et nous encouragent à poursuivre nos efforts. »

Traduit de l'anglais en Suisse