Mes expériences miraculeuses après avoir appris Dafa

(Minghui.org) Ma sœur et moi, nous sommes rencontrées chez ma mère pour dîner en juin 1996. Ma sœur lisait un livre et m'a dit : « Ma sœur, s'il te plaît, lis ce livre aussi. C'est incroyable ! Un de mes collègues a appris cette cultivation et pratique et s'est remis d'un problème d'estomac chronique. » Ma sœur et moi avions un problème d'estomac. Bien que nous ayons pris beaucoup de médicaments, nous n'allions pas mieux. J'ai donc décidé de lire le livre aussi.

Obtenir le Fa

Dès mon arrivée à la maison, j'ai commencé à lire le Zhuan Falun. J'espérais vraiment que je me remettrais de ma maladie d'estomac.

Plus je lisais le Zhuan Falun, plus je l'aimais. Je pensais que l'auteur devait être une personne formidable, car il en savait beaucoup sur tout. J'ai trouvé des réponses à beaucoup de mes questions. Alors que je lisais la Sixième Leçon, j'avais l'impression que quelque chose tournait dans le sens des aiguilles d'une montre et dans le sens inverse des aiguilles d'une montre dans mon estomac. Puis, du coin de l'œil, j'ai vu quelque chose qui ressemblait à un ventilateur tourner pendant plus de dix minutes. J'étais très enthousiaste et je me suis souvenue de ce que j'avais lu dans le Zhuan Falun.

Le Maître a dit :

« … dans notre méthode, nous cultivons et pratiquons un Falun dans la région du bas-ventre, je l’installe moi-même chez les pratiquants au moment du stage. Tout en parlant du Falun Dafa, nous installons un Falun à chacun, l’un après l’autre ; certains le sentent, d’autres non. » (Première leçon, Zhuan Falun)

J'ai continué à lire et une phrase que le Maître a dite s'est gravée dans mon esprit :

« C’est pourquoi je vous dis de ne pas les perdre facilement parce que vous les avez obtenues facilement. Tout cela est extrêmement précieux, inestimable. » (Sixième leçon, Zhuan Falun)

Aussi, je me suis dit : « Puisque j'ai déjà obtenu la cultivation et pratique de Dafa, je ne la perdrai pas, quoi qu'il arrive. » Je n'étais pas vraiment sûre de ce qu'était la cultivation et pratique, mais j'ai compris que le Falun Dafa était bon et que je voulais l'apprendre et vivre selon ses principes.

En moins d'un mois, je me suis remise de toutes mes maladies. Je n'avais plus besoin de médicaments et je suis devenue en bonne santé et énergique.

Le Maître a purifié mon corps

Au fur et à mesure que j'étudiais les enseignements de Dafa et que je faisais les exercices, j'en suis venue à comprendre Dafa et à élever mon caractère avec l'aide du Maître.

Puis, tôt un matin, j'ai ressenti une grande douleur et j'étais incapable de bouger. J'étais certaine que le Maître purifiait mon corps.

Le Maître a dit :

« Durant la cultivation et la pratique, il faut éliminer le karma et l’élimination du karma est pénible. Comment pourrait-on augmenter son gong dans le confort total ? ! Comment pourrait-on autrement vous faire abandonner vos attachements ? » (Sixième leçon, Zhuan Falun)

« Cependant, pour quelqu’un qui cultive et pratique véritablement, si vous avez un corps malade, vous ne parviendrez pas à cultiver et pratiquer. » (Première leçon, Zhuan Falun)

Ma douleur a continué toute la nuit et je n'arrivais pas à dormir. Le lendemain matin, au moment de faire les exercices collectifs le matin, je me suis dit : « Si la douleur s'arrête cinq minutes avant le début des exercices, je me joindrai aux autres pratiquants pour faire les exercices. Sinon, je les ferai à la maison. » Soudain, toute ma douleur avait disparu, et je suis allée au parc pour faire les exercices du matin avec les compagnons de cultivation.

Un vendredi d'hiver, alors qu'il ne neigeait plus, je suis rentrée chez moi. Je me sentais malade, j'avais de la fièvre, des vertiges et de la somnolence. Le lendemain, j'allais encore plus mal. Mon nez était sec et douloureux, ma gorge était en feu et je ne pouvais pas bien respirer. Ma belle-mère avait aussi de la fièvre et j'ai dû l'emmener à l'hôpital. Je ne lui ai pas dit que je me sentais malade aussi, car je ne voulais pas qu'elle s'inquiète pour moi.

En rentrant chez moi ce soir-là, je me suis dit que le Maître m'aidait à éliminer le karma, alors je ne devais pas penser que j'étais malade. Je suis allée distribuer des documents d'information sur Dafa et la persécution par le Parti communiste. Après avoir distribué tous les documents, je suis rentrée chez moi et j'ai dormi. Le lendemain matin, j'étais complètement rétablie.

Quand une personne pratique Dafa, le reste de sa famille en bénéficie

Ma fille a développé une hypertrophie des amygdales juste après sa naissance. Quand elle avait six mois, ses amygdales étaient souvent enflammées, surtout quand sa fièvre était élevée. On lui injectait des médicaments pendant deux semaines, mais elle était de nouveau malade une semaine plus tard. Le problème est devenu moins fréquent après ses quatre ans.

Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, ma fille a eu une forte fièvre. Je l'ai emmenée à l'hôpital. Le médecin voulait faire des analyses sanguines, mais elle avait peur d'être piquée avec des aiguilles. Comme je n'arrivais pas à la convaincre de faire les tests, je lui ai dit qu'elle devait étudier le Fa.

Elle a accepté de lire le Zhuan Falun tous les jours. Elle s'est rétablie en moins de dix jours et est retournée à l'école. Ce fut la dernière fois qu'elle a eu de la fièvre.

Un après-midi d'été, son école a appelé et m'a dit qu'elle ne pouvait plus voir. J'ai paniqué et je me suis précipitée à l'école. Cependant, je me suis souvenu du Fa du Maître en chemin et je me suis immédiatement calmée.

Le Maître a dit :

« La difficulté est de perdre en toute connaissance et toute conscience les avantages des gens ordinaires ; face à vos intérêts vitaux, êtes-vous affecté intérieurement ? Dans les conflits et les intrigues entre les gens, êtes-vous affecté intérieurement ? Quand vos amis et vos parents sont dans la souffrance, êtes-vous affecté intérieurement ? Comment mesurez-vous tout cela ? C’est ça, la difficulté d’être un pratiquant de gong ! » (Huitième leçon, Zhuan Falun)

« Vous voulez influencer le destin des autres, mais chacun a son propre destin ! » (Cinquième leçon, Zhuan Falun)

« … quand une personne pratique le gong, toute la famille en bénéficie ? » (Enseignement du Fa à la conférence de Fa d'Australie)

Le directeur, les enseignants et les élèves ont entouré ma fille et m'ont exhortée à l'emmener à l'hôpital. Ma famille aussi, quand nous sommes rentrées chez nous. Je leur ai dit d'attendre jusqu'au lendemain et puis de décider. Le lendemain, elle allait bien et elle est retournée à l'école le deuxième matin.

Devenir une bonne personne

Avant de pratiquer le Falun Dafa, j'avais mauvais caractère, je blâmais toujours mon mari et prétendais qu'il était paresseux, qu'il ne faisait pas les tâches ménagères, qu'il se soûlait souvent, fumait et jurait trop.

Après avoir appris le Falun Dafa, j'ai progressivement changé, appris à être une bonne personne et compris le sens et le but de la vie. J'ai essayé de ne pas me concentrer sur ses défauts, mais de trouver son bon côté. Petit à petit, mon mari aussi a changé. Ma famille est devenue harmonieuse.

Faire face à la persécution

Le Parti communiste chinois (PCC) a lancé sa persécution contre le Falun Dafa en juillet 1999, tous les médias contrôlés par l'État calomniaient Dafa. Ma famille et mes patrons m'ont aussi mis de la pression. J'avais peur et je ne savais pas pourquoi la persécution avait lieu.

Pour creuser plus loin, je me suis demandé : « Qu'est-ce que le Zhuan Falun ? Cette pratique nous a appris comment être une bonne personne et le but de la vie. Qu'est-ce que le Maître nous a appris ? Le Maître nous a montré par son comportement comment être une bonne personne, et chaque pratiquant le respecte du fond du cœur. Non seulement le Maître nous a donné la santé, mais il nous aide aussi à retourner à nos origines. Ainsi, nous savons ce que nous devons faire. Nous suivons le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Ce faisant, nous en avons profité physiquement et mentalement. »

Après avoir longuement réfléchi à la question, j'ai décidé qu'il n'y avait rien de mal à pratiquer le Falun Dafa et que je n'allais pas abandonner ma croyance. Cependant, à cause de ma croyance inébranlable en Maître et Dafa, j'ai connu beaucoup de tribulations.

Emmenée dans un camp de travail et torturée

Pour avoir refusé de renoncer à ma croyance, j'ai été emmenée dans un camp de travaux forcés. Pendant les quatre premiers mois, j'ai été torturée et j'ai souffert d'anémie. Je n'arrêtais pas de tousser et mes mains tremblaient. On m'a diagnostiqué une tuberculose.

On m'a emmenée à l'hôpital et les médecins m'ont dit que j'étais sur le point de mourir. J'ai été clouée au lit pendant plus de cinq mois, et ça m'a coûté 100 000 yuans. J'ai dit à ma famille d'arrêter le traitement.

Après mon retour à la maison, ma belle-mère était inquiète. J'ai commencé à faire les exercices de Dafa. Après sept jours, je pouvais me tenir debout toute seule. Treize jours plus tard, je pouvais marcher toute seule et, deux mois plus tard, je pouvais monter et descendre les escaliers ! Ma santé s'est complètement rétablie.

Un mois plus tard, ma belle-mère est venue me voir. Elle a été surprise de me voir ouvrir la porte : « Tu t'es rétablie ? Tu peux marcher ? Comment ? » Elle s'est mise à pleurer. Je lui ai dit : « Parce que je pratique le Falun Dafa. » Malgré le fait d'avoir été témoin de mon rétablissement, elle a eu peur et m'a demandé de ne parler de Dafa à personne.

Une réponse honnête arrête la persécution

Dans le camp de travail, une gardienne m'a interrogée. On m'a emmenée dans une pièce avec toutes sortes d'instruments de torture. Cette gardienne a dit qu'elle ne se salirait pas les mains en me frappant, et elle a mis des gants. J'ai récité l'article du Maître dans mon esprit :

« La pensée droite des disciples de Dafa est puissante » (Points essentiels pour avancer avec diligence II)

J'ai dit à la gardienne dans mon esprit de ne pas bouger et de rester loin de moi. Elle est restée près d'une table, parlant toute seule. Ensuite, elle m'a demandé si je voulais continuer à pratiquer Dafa. Elle m'a menacée, disant que si elle me torturait, ce serait la fin de ma vie. Comme j'avais peur, j'ai dit : « Oui » à voix basse. Elle m'a demandé de parler, et j'ai crié : « Oui ! »

Son attitude a changé. Elle m'a dit : « Je savais que tu n'abandonnerais pas. Mais si tu pratiques les exercices, je n'aurai pas de bonus. Il y a des caméras partout. S'il te plaît, ne me cause pas d'ennuis. »

J'ai dit : « Nous pensons toujours à la façon dont nos actions affectent les autres. Je ne vous causerai pas de problèmes. » Elle semblait satisfaite et m'a laissée retourner dans ma cellule sans me fouiller.

Traduit de l'anglais au Canada