(Minghui.org) « Je suis bénie et très reconnaissante ! » C'est ce que disait Yang-zi, la meilleure amie de ma femme, chaque fois que la liaison passée de son mari était évoquée dans une conversation.
Le mari de Yang-zi est grand et beau. Après leur mariage, ils sont allés étudier au Japon. Ils ont investi dans l'immobilier à leur retour en Chine et profitent maintenant d'une retraite confortable. Leur fils se porte également bien financièrement au Japon.
Il y a un an, Yang-zi était à son point le plus bas. Son mari avait une liaison et lui a dit qu'elle « devrait mourir bientôt ». Yang-zi était sur le point de craquer. Elle reprochait à son mari d'avoir détruit leur famille heureuse, elle était consumée par la haine et avait même pensé à le tuer.
Tous ses amis et collègues lui suggéraient de divorcer. Ma femme lui parlait tous les jours et craignait que son amie fasse une dépression.
Yang-zi a engagé un avocat qui lui a conseillé de commencer à recueillir des preuves à utiliser contre son mari. Elle a commencé à le suivre comme une harceleuse. Elle a vite découvert où vivait sa maîtresse, pris des photos d'eux ensemble, enregistré leurs conversations et vérifié les SMS de son mari.
Une fois, elle a mis quelques somnifères dans la boisson de son mari pour l'endormir. Elle a ensuite trouvé la clé de l'appartement de sa maîtresse et s'y est rendue. Elle a été choquée de constater que l'appartement était décoré exactement de la même façon que chez elle. Elle a aussi trouvé les bijoux qu'elle pensait avoir perdus.
Yang-zi est devenue tellement en colère qu'elle a couru à la maison, a saisi un couteau de cuisine et a sauté sur son mari endormi. À cet instant, son mari a ouvert les yeux et lui a demandé : « Que s'est-il passé ? » Yang-zi a instinctivement caché le couteau derrière elle et a quitté la pièce.
Ma femme m'a raconté ce qui s'était passé cette nuit-là. Je lui ai dit : « Yang-zi ne va pas tuer son mari. Les divinités veillent sur elle et connaissent toutes ses pensées. Yang-zi et son mari ont tous deux démissionné du Parti communiste chinois (PCC) il y a plusieurs années. Ils s'en sortiront ensemble. »
« Les pratiquants de Falun Gong divorcent aussi, mais ces divorces étaient dus à la persécution du régime chinois. Devenir mari et femme provient de relations prédestinées. Il y a toujours une raison à ce que les couples doivent traverser. Le mari de Yang-zi a besoin d'une chance de revenir sur le droit chemin, alors trouvons un moyen d'aider leur famille. Dis à Yang-zi de réciter souvent : “Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon !” Les divinités l'aideront à retrouver le bonheur. »
Ma femme a rencontré Yang-zi après m'avoir parlé. Elle a dit à son amie que réciter « Falun Dafa est bon !, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! » apportera des bénédictions à sa famille. Elle a souhaité à Yang-zi qu'elle et sa famille puissent surmonter cette période difficile.
Yang-zi a soupiré : « Je te crois. J'aurais seulement aimé que mon mari ait une croyance spirituelle comme ton mari. »
J'ai également enregistré des émissions de télévision de la chaîne New Tang Dynasty TV sur des histoires de cultivation, des légendes chinoises et de la mythologie qui aidaient à éclairer les téléspectateurs dans leur quête d'un critère moral plus élevé. La culture traditionnelle chinoise considère la luxure comme le pire de tous les maux. Tout au long de l'histoire chinoise, il y a eu d'innombrables histoires qui mettaient en garde contre les rétributions dues à un attachement à la luxure. Certaines de ces histoires étaient incluses dans l'enregistrement que j'avais fait.
J'ai demandé à mon épouse de donner les enregistrements à Yang-zi. Elle et son mari ont ensuite regardé chacune des émissions.
Un jour, j'ai dit à ma femme : « Il y a beaucoup de difficultés dans la vie. Un mari et sa femme doivent les surmonter en équipe. De nombreux divorces ont été causés par le refus de chaque partie de faire de petites concessions. Dis à Yang-zi de chérir son mariage et d'avoir plus de tolérance avant que son mari ne s'enfonce davantage. »
Ma femme a rapidement reçu un message de Yang-zi : elle et son mari avaient résolu leurs problèmes de mariage. Son mari a dit qu'un « sage » les avait aidés et il a promis de prendre bien soin de Yang-zi.
Yang-zi dit souvent à ma femme : « Je suis bénie ! Ton amitié n'a pas de prix pour moi. Toi et ton mari avez aidé tant de gens. » Ma femme a répondu : « Tu es bénie par Maître Li. C'est Lui qui t'a sauvée ! »
Traduit de l'anglais
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