Ce que le Maître nous a demandé de faire est le meilleur

(Minghui.org) Les pratiquants de Falun Dafa devraient écouter ce que le Maître [Li Hongzhi] dit. Il nous a dit de mettre en place à la maison des sites de production de documents informatifs partout en Chine, alors j'ai créé un emplacement chez moi.

J'ai dû surmonter les difficultés, compte tenu de mon faible niveau d'études, du manque d'argent et des responsabilités ménagères, pour faire des CD, des brochures, des calendriers muraux et de bureau. J'ai également imprimé et relié le livre Neuf commentaires sur le Parti communiste et livré tous ces documents aux portes des autres pratiquants pour la distribution au public.

Mon mari fume et boit, et parfois il y a des frictions entre nous. Il ne pratique pas Dafa, mais il est très favorable à ma cultivation. Si je dis quelque chose qui n'est pas en accord avec Dafa, le Maître utilise sa bouche pour me rappeler que je suis une pratiquante. Mon mari sait que je ne suis pas en sécurité pour livrer toute seule les documents imprimés, alors il m'aide souvent à les apporter en toute sécurité aux endroits indiqués.

Il est un artisan habile et a toujours de nouvelles idées pour m'aider à produire des documents d'information de Dafa. Il m'a construit un établi robuste, qui a amélioré l'efficacité du poinçonnage, de la reliure et de l'assemblage des documents. Les calendriers qu'il fait sont plus professionnels que les miens.

Nous avons appris à surfer sur le site web Tiandixing pour savoir comment réparer et entretenir notre équipement, donc nous ne nous soucions plus des défaillances de l'équipement. Maintenant, les autres pratiquants apportent leurs équipements cassés à mon mari et il les répare toujours.

Nous remercions les pratiquants du site web Tiandixing pour leur travail acharné. Il nous permet de maintenir notre équipement et d'améliorer notre technique pour produire des documents informatifs.

Témoin du pouvoir de Dafa

Je suis allée à Pékin faire appel pour la justice pour Dafa en l'an 2000. La nuit après mon retour, une pratiquante âgée m'a demandé de lui enseigner les caractères chinois du livre principal de Dafa, Zhuan Falun. Quand j'ai quitté son appartement pour descendre, j'ai raté la première marche et je suis tombée au pied de l'escalier.

La pratiquante est sortie en courant de son appartement, car elle avait entendu le bruit. Elle a vu que mon visage était couvert de sang et m'a rapidement apporté une pile de mouchoirs. Je les ai attrapés et j'ai couvert mon visage. J'ai réconforté la pratiquante âgée et dit : « Je pratique Dafa, alors bien sûr je vais bien. Je dois aller me préparer pour le travail maintenant. »

Quand je suis rentrée, mon mari était choqué. Je lui ai dit que j'étais tombée dans les escaliers. Il y avait plusieurs coupures sur mes joues qui saignaient encore et mon visage avait commencé à enfler. Je me dirigeais vers mon travail dans l’équipe de nuit, mais mon mari a essayé de m'arrêter. Je lui ai dit de ne pas s'inquiéter et que j'irais bien. Je ne savais pas comment émettre la pensée droite, j'avais seulement une croyance ferme dans le Maître et Dafa.

Quand je suis arrivée au travail, mon visage était très enflé. Mon collègue n'a pas osé me transmettre le travail et a appelé le superviseur de l’équipe. Le superviseur a jeté un coup d'œil et a dit : « Prenez deux nuits de congé et je vais travailler à votre poste. Rentrez chez vous et reposez-vous. » Mes collègues savaient tous que j'étais une pratiquante de Dafa et que je pensais toujours aux autres, alors ils n'ont pas été surpris quand j'ai insisté pour travailler les deux nuits.

Le matin du troisième jour, j'étais à la maison quand un policier est venu me demander pourquoi j'étais allée à Pékin. Quand il a vu mon visage, il a demandé si mon mari et moi nous étions battus. Je lui ai dit ce qui s'était passé. Il ne croyait pas que je n'étais pas allée à l'hôpital pour des points de suture. Il ne croyait pas non plus que j'étais allée travailler. J'ai dit : « Je ne dis pas de mensonges, je pratique Authenticité-Bienveillance-Tolérance. » Il m'a tirée à l'entrée du couloir, a rassemblé les voisins autour et a dit : « Les blessures sur son visage ne sont-elles pas bien recousues ? » Tout le monde a dit : « Oui ! »

En fait, plusieurs des blessures sur mon visage avaient été recousues avec de fines sutures. Bon sang ! Cela n'aurait pu être fait que par notre Maître grandiose ! Cependant, je l'ignorais complètement jusqu'à ce que le policier me le fasse remarquer.

Le policier a dit : « Je vais enquêter pour voir si vous étiez réellement au travail ces deux dernières nuits ou si vous êtes allée à l'hôpital. Si ce que vous dites est vraiment vrai, je vais quitter mon travail ! »

La direction au travail a fourni la preuve que j'avais travaillé les deux dernières nuits et qu'il était impossible que je sois allée à l'hôpital. Ils ont dit : « Elle est la meilleure employée de notre usine. Vous ne pouvez pas l'envoyer au centre de lavage de cerveau. » Les voisins ont aussi dit que je n'étais pas allée à l'hôpital. Le policier a été convaincu.

Le policier a quitté son emploi et personne n'a plus jamais parlé de séances de lavage de cerveau.

Traduit de l'anglais au Canada