Je me rappelle toujours que je suis une pratiquante

(Minghui.org) Je suis une pratiquante de Falun Dafa d'une région rurale qui a commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1998.

Une famille sauvée par Dafa

Avant que je commence à pratiquer le Falun Dafa, mon mari souffrait d'une dépression nerveuse et était souvent confus. Un médecin lui a diagnostiqué une schizophrénie et l'a envoyé dans une clinique psychiatrique pendant un mois. Il n'avait pas le droit de boire d'alcool, mais il buvait en cachette. Après avoir bu, il semait le chaos, affectant l'environnement de notre maison. Quand sa maladie s'est aggravée, il m'a empêchée d'aller travailler. En plus de sa consommation excessive d'alcool, on lui a diagnostiqué une nécrose de la tête fémorale. Notre situation empirait avec le temps et j'étais épuisée.

Depuis que j'ai reçu le Fa, je ne suis plus malade et j'ai l'impression que je flotte dans les airs. Sans que nous nous en rendions compte, mon mari a cessé de souffrir de schizophrénie.

En voyant les changements chez moi, il a aussi commencé à pratiquer le Falun Dafa. En mois de six mois à faire les exercices ensemble, il s'est remis de sa nécrose de la tête du fémur.

En étudiant le Fa, j'en suis venue à comprendre les principes du Fa et le vrai sens de la vie. Dans ma vie quotidienne, je suis le principe de Dafa Authenticité-Bienveillance-Tolérance.

Un pratiquant honnête

Ma famille a élevé des porcs avec de la nourriture pour cochons entre 2001 et 2002, et nous avons payé nos dettes après la vente de ces derniers. Une fois, mon mari a payé 900 yuans pour de la nourriture pour porcs. Le commerçant lui a demandé de simplement laisser l'argent et qu'ils régleraient la facture quand il aurait le temps.

Mon mari a laissé l'argent puis est revenu après quelque temps pour régler la facture. Le commerçant lui a dit : « Vous êtes le seul qui est revenu pour payer sa dette. Les autres n'ont pas payé les leurs. J'ai perdu mon livre de compte. Dites-moi combien vous avez payé. » Mon mari a répondu honnêtement : « C'était 900 yuans. »

J'avais l'habitude de clarifier la vérité au marchand. Dix années sont passées et le commerçant nous salue encore quand il nous voit.

Nous nourrissions aussi les porcs avec des galettes de haricots achetées dans un village voisin. L'homme qui nous vendait les galettes de haricots n'est pas venu percevoir son dû pendant trois ans. Plusieurs personnes dans le village nourrissaient alors leurs porcs avec ces galettes de haricots et il percevait son dû à la fin de chaque année. J'ai appris plus tard qu'il avait aussi perdu son livre de compte et j'ai alors demandé à mon mari de lui rendre 180 yuans.

Abandonner l'attachement à la renommée et à la richesse

Dans l'école où je travaille, un titre d'enseignant professionnel est attribué une fois par an. Pour obtenir le titre, plusieurs personnes donnent des cadeaux, invitent les personnes responsables de l'évaluation à dîner et achètent différentes choses. Ils achètent aussi les rapports à soumettre. Je n'ai jamais téléphoné à aucun de ces dirigeants ou enseignants. Plusieurs personnes qui ne peuvent pas se comparer à moi ont obtenu leur titre professionnel.

Je m'inscrivais pour le titre chaque année, mais le résultat était toujours le même. J'étais toujours une des trois à six personnes qui n'étaient pas promues, alors que toutes les autres l'étaient.

Une collègue qui a une bonne relation avec moi m'a dit : « Achète un rapport et soumets-le, juste une fois. » J'ai répondu à ma collègue : « Je ne peux pas soumettre un rapport acheté, car je suis une pratiquante de Dafa. »

Ce n'est qu'en 2013, quand tous mes points ont été rendus publics, que j'ai obtenu le titre professionnel. Mais je n'ai pas de regret parce que j'ai fait ce que les pratiquants de Dafa doivent faire.

Refléter la valeur de Dafa

Parmi les élèves à qui j'ai enseigné en 2015, la famille d'un enfant était semblable à la mienne. Alors que son père souffrait d'une maladie mentale, sa mère a divorcé. L'enfant a été pris en charge par son grand-père (il n'avait pas de grand-mère). J'ai eu pitié de lui. Pendant deux années consécutives, je lui ai acheté un manteau et des pantalons isolants pour l'hiver et des vêtements d'été pendant la saison estivale. À cause de cela, son grand-père était si ému qu'il a dit : « Vous êtes meilleure que sa propre mère ! »

En repensant à mon chemin de cultivation au cours des dernières années, je me rappelle toujours que je suis une pratiquante dans mes rapports avec les personnes ordinaires et mes compagnons de cultivation. Quand mes compagnons de cultivation étaient à court d'argent pendant la construction d'une maison, j'ai essayé de leur donner un coup de main.

Le mari de M^me Zhang, qui s'opposait à la pratique du Falun Dafa de sa femme, a changé d'attitude envers la pratique après avoir vu mon attitude et mon comportement. Le mari de cette compagne de pratique a été touché par mon aide lorsqu'ils se construisaient une maison. Son attitude envers son épouse s'est également améliorée.

L'étude régulière du Fa m'a aidée à réaliser que les pratiquants de Dafa doivent toujours suivre les principes de Dafa. Nous ne devrions pas nous contenter de belles paroles et oublier que nous sommes des pratiquants. Nous cultivons et pratiquons dans la société ordinaire. Ainsi, l'attitude d'un pratiquant doit refléter les principes du Falun Dafa dans tous les aspects de la vie quotidienne.

Traduit de l'anglais au Canada