Des pratiquants du comté d'Orange, New York, partagent leurs expériences de cultivation et pratique

(Minghui.org) Des centaines de pratiquants de Falun Dafa du comté d'Orange, New York, se sont réunis dans un centre pour personnes âgées le 26 janvier pour célébrer le Nouvel An chinois. Plus d'une dizaine de personnes ont partagé ce qu'elles ont vécu et appris dans leur cultivation et pratique en travaillant sur divers projets de Dafa.

Une pratiquante de longue date : Abandonnez les idées préconçues et laissez le pouvoir du pratiquant se manifester

Une pratiquante qui a commencé à cultiver et pratiquer avant le début de la persécution a expliqué comment elle avait éliminé ses conceptions et assumait davantage de responsabilités.

On lui a dit en juillet 2018 que le chantier de construction de la Northern Academy avait besoin de plus de main d'œuvre. Mais elle était déjà impliquée dans d'autres projets et occupée à faire les exercices, émettre la pensée droite, réciter les enseignements du Fa et parler du Falun Gong (aussi appelé Falun Dafa). De plus, elle n'avait jamais fait de travail physique auparavant et elle aimait être soignée de sa personne – c'était même une sorte de maniaque de la propreté. Elle se demandait si elle pourrait le supporter. Mais comme la coordonnatrice du chantier a dit qu'ils étaient extrêmement à court de personnel, elle a décidé d'essayer.

Dès son arrivée sur le chantier, elle a compris l'importance du travail à faire. Elle a décidé que c'était sa mission de faire tout ce qui lui serait assigné. Un pratiquant montrait à un autre comment utiliser un pistolet à clous. En regardant, elle s'est dit qu'elle n'aimerait pas utiliser un pistolet à clous, car il était très bruyant et que l'utilisateur devait être fort pour le maintenir en place et l'empêcher de reculer. Elle pensait que ce serait trop effrayant pour elle.

C'est alors que le pratiquant qui avait donné la formation lui a demandé de le faire : « Tu es grande et forte. Tu devrais le faire. » Elle a pris le pistolet à clous contre son gré et a suivi attentivement les instructions. Elle a tenu le pistolet, fermé les yeux et poussé de toutes ses forces. Poing ! Un clou a été mis en place. Les pratiquants à proximité ont regardé le clou et lui ont dit : « Bon travail ! Continue comme ça ! »

Elle a accepté à contrecœur de clouer avec le pistolet à clous. Elle savait que le Maître avait pris des dispositions pour l'aider à éliminer son attachement à être difficile. Une fois qu'elle a pu se défaire de son attachement, la journée s'est bien passée sous les bons soins du Maître. Elle s'est émerveillée devant les capacités des pratiquants et s'est ensuite rendu compte qu'elle avait accompli un exploit – une tâche qu'elle n'aurait pas été en mesure d'accomplir dans le passé.

Une autre fois, elle a peint trois pièces et une partie d'un couloir en seulement deux heures et demie. Elle ne pouvait pas croire qu'elle était capable de faire un si gros travail ! Ses expériences d'aide aux travaux de construction à l'école l'ont aidée à se défaire de l'idée que le travail physique était « sale ». Elle a réalisé : « C'est le pouvoir du Fa. »

Une jeune pratiquante : Cultiver le cœur et pratiquer les exercices l'a aidée à devenir une meilleure musicienne

Une étudiante qui se spécialise en musique et joue de l'alto au Fei Tian College de Middletown a partagé ses expériences de se débarrasser de la jalousie et de son esprit de compétition.

Un après-midi, alors qu'elle se rendait en classe, elle a entendu une camarade de classe jouer de son instrument à merveille. Elle s'est dit : « Pourquoi ne puis-je pas jouer comme ça ? » Elle a immédiatement commencé à être jalouse parce qu'elle pensait que l'autre élève jouait mieux qu'elle. Préoccupée par ces pensées, elle a trébuché et a laissé tomber son alto. Sur le chemin vers la classe, elle a commencé à se rendre compte que la chute était un rappel du Maître de se débarrasser de la jalousie et d'arrêter de se comparer aux autres. Le Maître a dit dans le Zhuan Falun :

« Ces deux conceptions différentes peuvent produire des effets différents. Cela peut déclencher la jalousie des gens ; si quelqu’un réussit, les autres se sentent perturbés au lieu d’être contents pour lui. »

Elle a réalisé qu'elle avait un attachement à se faire valoir. Quand elle est arrivée en classe, elle a ouvert l'étui et a vu que l'alto n'avait pas été endommagé. Elle a dit que depuis cet incident, il lui est plus facile de détecter ses attachements et de s'en défaire, même si la jalousie et l'esprit de compétition refont surface de temps à autre.

Cette pratiquante a également remarqué que les exercices de Falun Gong pouvaient beaucoup l'aider dans la pratique de l'alto. Elle ne faisait les exercices que pendant trente minutes quand elle était à l'école secondaire. Mais après son arrivée à l'université, elle a pu les faire pendant une heure grâce à l'environnement du groupe. Elle a découvert que si elle négligeait de faire les exercices pendant deux jours, sa productivité diminuait considérablement et ses séances de pratique de l'alto n'étaient pas productives. Elle s'endormait même dans la salle de répétition pendant plus d'une heure. Mais dès qu'elle a recommencé à faire les exercices, elle a constaté que la pratique de l'alto devenait plus efficace et que sa concentration était meilleure. Elle a également réussi à renoncer à l'attachement à sauver la face et a été capable de maîtriser plus de compétences techniques en moins de temps. Elle est immensément reconnaissante au Maître de l'avoir aidée à réaliser et déraciner ses attachements.

Une pratiquante âgée : Parler du Falun Dafa dans un magasin de détail haut de gamme

Une pratiquante âgée a partagé ses expériences de parler du Falun Dafa et de sauver des Chinois dans un magasin de détail haut de gamme près de chez elle.

Un jour, cette pratiquante était dans un magasin et a rencontré un Chinois plus âgé qui avait l'air poli et bien habillé. Quand elle lui a parlé du Falun Gong, il a d'abord dit que le Falun Gong faisait de la politique. Mais elle lui a dit que le Falun Gong n'était pas impliqué dans la politique et que c'est une pratique de méditation traditionnelle qui suit le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Elle lui a parlé de la persécution et du fait que les pratiquants de Falun Gong sont soumis à des prélèvements forcés d'organes. Elle l'a encouragé à démissionner du PCC après avoir souligné la perversité du communisme. L'homme a été touché. Il lui a dit qu'il avait été le traducteur allemand de Zhu Rongji (ancien Premier ministre de la République populaire de Chine de 1998 à 2003). Il a dit qu'il n'avait jamais entendu ce qu'elle lui avait dit, mais qu'il était convaincu. Il a accepté de démissionner des Jeunes Pionniers, une organisation du PCC pour les enfants. La pratiquante lui a donné un pseudonyme, « Yong Hang » (voyage éternel) pour protéger son identité lors de sa démission du PCC. L'homme a souri et a dit : « Yong Hang – c'est un bon nom ! » La pratiquante a dit qu'elle pensait que le Maître l'avait aidée à sauver cette personne.

Elle a dit que ses attachements avaient également été exposés en d'autres occasions. Par une journée chaude, elle était dans une voiture avec d'autres pratiquantes. Quand elle s'est plainte de la chaleur, la conductrice a dit : « Ton inconfort n'est rien en comparaison de la souffrance des pratiquants dans les prisons chinoises. » Elle s'est tout de suite rendu compte qu'elle était attachée au confort et qu'elle ne pensait pas aux pratiquants en Chine qui subissent beaucoup de pression.

Un pratiquant nouvellement arrivé aux États-Unis : Cultiver et s'élever à travers les conflits

Un pratiquant qui est arrivé aux États-Unis il y a à peine six mois a partagé son expérience d'un conflit avec un autre pratiquant.

Il a demandé à un compagnon de cultivation de lui faire une faveur. Il a demandé à nouveau quelques jours plus tard, mais cela n'avait pas été fait. Alors il a pensé : « Peut-être que mon étude du Fa et ma cultivation et pratique ne sont pas à la hauteur. » Il était un peu inquiet. Quelques jours plus tard, il a de nouveau demandé, mais cela n'avait toujours pas été fait.

Il a commencé à avoir des pensées négatives et à se plaindre de ce pratiquant à qui il avait demandé de lui faire une faveur. Il voulait argumenter avec le pratiquant, mais au même moment, il s'est souvenu de ce qu'a dit le Maître dans Enseignement de Fa à la conférence de Fa de Singapour :

« La méthode la plus rapide que je vous ai donnée pour vous élever, c’est de vous laisser exposer vos insuffisances au milieu des conflits entre vous. Mais vous repoussez cela chaque fois que vous êtes en conflit avec les autres et vous pointez les insuffisances des autres sans regarder en vous-mêmes. Comment pouvez-vous alors cultiver ? Tandis que c'est justement pour moi la meilleure façon de vous faire vous élever. C'est pour ça que votre conception doit absolument changer. »

Il a commencé à regarder à l'intérieur et s'est rendu compte que le Maître essayait d'améliorer sa capacité à endurer ce conflit. Il a éliminé alors les mauvaises pensées et émotions tout en disant au Maître que ces pensées n'étaient pas les siennes. Il a remercié le Maître pour l'arrangement. Il s'est alors soudain senti très à l'aise et confortable. Lorsque notre xinxing répond aux exigences, le Maître va tout arranger dans les autres dimensions. Le même jour, l'autre pratiquant a fait ce qu'il lui avait demandé. Il a vraiment connu le bonheur de se cultiver en présence d'un conflit.

Une pratiquante de longue date : Croire dans le Maître et le Fa – une pensée peut faire un miracle

Une pratiquante de longue date a partagé quelque chose qui s'est produit au travail.

Elle avait déjà eu deux accidents de voiture dans le passé, dont l'un aurait laissé une personne ordinaire paralysée. Dans son cas, cela n'a comprimé que ses vertèbres, la laissant légèrement plus petite et avec un dos légèrement bossu.

En préparation d'une célébration du Festival de la Lune qui avait pour but d'aider la population locale à se familiariser avec le Falun Gong, son collègue lui a demandé de l'aider à décharger du ciment d'une camionnette sur un chariot. Les sacs pesaient 36 kg chacun, ce qui était très lourd pour elle.

Pour empêcher la poussière de ciment de s'accumuler sur elle, elle a placé le chariot juste derrière la camionnette et a guidé le sac pendant qu'il glissait vers le bas sur le chariot. Mais alors qu'elle tenait le chariot, le poids s'est déplacé ; les poignées de métal ont rebondi et l'ont heurtée en arrière, juste à l'endroit où ses vertèbres étaient comprimées.

La douleur était intense et tout son corps s'est raidi. Pendant un moment, elle ne pouvait plus bouger et a commencé à avoir des pensées négatives. Mais alors sa pensée droite a fait surface : « Je suis une pratiquante ; je vais bien. Le Maître a dit que le bien ou le mal vient de la première pensée d'une personne, et que des pensées différentes entraînent des conséquences différentes. » Elle a décidé qu'elle irait bien.

Le collègue qui poussait les sacs de ciment a eu peur et lui a demandé comment elle allait. Elle a répondu : « Je vais bien. » Mais la douleur était si forte qu'elle ne pouvait même pas bouger les jambes. Un autre pratiquant est venu, l'a saisie par le bras et l'a entraînée.

Après seulement six ou sept pas, elle se sentait extrêmement à l'aise, un sentiment qu'elle ne pouvait pas décrire. Elle a senti alors sa colonne vertébrale se redresser, et elle savait que le Maître avait enlevé le karma et transformé le malheur en bonne fortune.

Elle a réalisé que tant que nous maintenons une pensée droite et que nous répondons à tout par une pensée droite, le Maître veillera sur nous et résoudra tout pour nous. Comme le dit le Maître :

« Si les disciples sont emplis de pensées droites

Le Maître a le pouvoir de changer la décision du Ciel »

(« La grâce entre Maître et disciples », Hong Yin II)

Traduit de l'anglais au Canada