(Minghui.org) J'ai eu la chance de commencer à pratiquer le Falun Dafa en septembre 2008. Pendant plus de dix ans de cultivation, j'ai vécu beaucoup de choses miraculeuses et j'aimerais en partager quelques-unes.

La pluie cesse, une motocyclette apparaît

Je me suis rendue dans une région rurale pour distribuer de l'information clarifiantles faits avec deux autres pratiquantes. Sur notre chemin, il s'est soudain mis à pleuvoir. Nous n'avions pas de parapluies et nous n'avons pas pu trouver d'abri. Quand les deux autres m'ont demandé quoi faire, je leur ai dit que, puisque nous aidions à sauver les gens, nous devrions demander l'aide de Maître Li pour arrêter la pluie.

Elles ne m'ont pas crue au début, mais ont souri et voulaient savoir si j'étais sérieuse. Je leur ai demandé de se calmer et d'émettre la pensée droite avec moi tout en demandant l'aide du Maître pour arrêter la pluie. Bien sûr, en quelques minutes, la pluie s'est arrêtée. Elles ont été très surprises !

Un soir, je me suis rendue en moto dans un grand quartier résidentiel pour distribuer des exemplaires des Neuf commentaires sur le Parti communiste. Quand j'ai eu fini, je suis retournée là où j'avais garé ma moto. Je pensais pouvoir y arriver en dix minutes environ, mais je ne l'ai pas trouvée après avoir cherché pendant près d'une heure.

Je me suis alors rendu compte que je n'avais pas demandé d'aide au Maître. Alors je suis restée sur le trottoir et je me suis dit : « Maître, votre disciple ne trouve pas sa moto. S'il vous plaît, montrez-lui par où aller. » Puis j'ai continué à marcher. Bien sûr, quelque chose est apparu dans mon champ de vision. J'ai regardé de plus près et j'ai vu ma moto !

Deux chiens m'aident à livrer des documents clarifiant la vérité

Mme Liu et moi avons distribué des documents de clarification de la vérité dans un quartier résidentiel d'une zone urbaine. Quand nous sommes arrivées à la dernière maison de la rue, un homme passait un coup de fil. Nous avons décidé de laisser cette maison et d'aller dans une autre rue à la place.

À ce moment-là, un chien noir s'est enfui de la maison et a fait peur à Mme Liu, alors elle s'est enfuie. Je me tenais au milieu de la route, essayant de bloquer le chemin du chien. Il est venu me voir et a été très amical. Il a même mis ses pattes de devant sur ma poitrine et a essayé de me lécher le visage.

J'ai soudain réalisé qu'il y avait une raison pour laquelle ce chien était si accueillant. J'ai montré du doigt le chien et je lui ai dit : « Pourrais-tu aller lui dire bonjour, s'il te plaît ? S'il te plaît, ne lui fais plus peur. » Le chien a suivi mes instructions et s'est approché de Mme Liu pour la saluer.

Après ça, je l'ai vite rappelé : « Je n'ai pas eu l'occasion de laisser un document chez toi. Pourrais-tu en apporter un exemplaire à ton propriétaire ? J'espère vraiment que ton propriétaire apprendra la vérité et sera sauvé. »

J'ai pris un dépliant et je l'ai donné au chien. Il m'a regardé et a fait un bruit, comme pour parler. Je me suis penchée pour lui caresser la tête et lui ai dit : « Toi aussi tu es venu avec une mission. Chaque fois que tu rencontreras des pratiquants qui distribuent des dépliants, tu devras les aider. Maintenant, rentre chez toi. »

Alors que le chien rentrait chez lui, il n'arrêtait pas de se retourner et de nous regarder. Cela m'a vraiment touchée.

Un soir, j'ai distribué des dépliants dans un quartier résidentiel haut de gamme. Chaque maison avait sa propre cour arrière entourée d'un mur et équipée de portes de sécurité. À un endroit il y avait trois maisons à l'intérieur de hauts murs avec une porte de sécurité. J'ai donc inséré trois sacs de documents entre les barreaux de la porte de sécurité. Soudain, une ombre sombre est apparue devant moi de l'intérieur de la porte de sécurité. Au clair de lune, j'ai pu voir que c'était un gros chien noir. Il m'a léché les mains et a remué la queue.

J'ai compris que c'était semblable à mon expérience précédente avec un chien, alors je lui ai dit : « Ces documents peuvent sauver des gens. Comme je n'arrive pas à entrer moi-même, pourrais-tu m'aider à en procurer un à chaque ménage ? » Bien sûr, le chien a mis un sac dans sa bouche et l'a déposé dans une maison. Il l'a fait deux autres fois, puis il est revenu et m'a regardé par la porte de sécurité en remuant encore la queue. J'ai mis mes mains dans la porte de sécurité et je lui ai tapoté la tête.

Une évasion miraculeuse grâce à la protection du Maître

J'avais prévu de me rendre dans un quartier résidentiel de la ville pour distribuer des informations sur le Falun Dafa. La zone avait des murs hauts et des caméras vidéo. Le matin, j'ai dit au Maître : « J'aimerais aller dans cette région pour distribuer de l'information, y compris les Neuf Commentaires sur le Parti communiste. Aidez-nous à éliminer tous les facteurs pervers dans cette zone. S'il y a quelque chose d'inhabituel s'il vous plaît, Maître, donnez-moi un indice. »

Après le déjeuner, je suis allée dans une cour pour étudier les enseignements du Fa. Quand j'étais prête à émettre la pensée droite, j'ai entendu un oiseau voler au-dessus de moi. L'oiseau m'a fait caca dessus, et j'ai réalisé que c'était un indice qu'il pourrait y avoir un danger devant moi. Je suis donc rapidement rentrée chez moi.

À la maison, j'ai dit au Maître : « Maître, merci pour le signe. Malgré tout, les êtres qui s'y trouvent attendent d'être sauvés. Donc je veux toujours suivre mon plan d'origine si c'est d'accord. S'il vous plaît, protégez-moi. S'il vous plaît, aidez-moi à rester en sécurité. Si on m'arrête à l'entrée principale, bloquez les gardes de sécurité. » Puis j'ai émis une fois de plus une forte pensée droite.

Je suis arrivée dans le quartier résidentiel dans l'après-midi. En passant par l'entrée, j'ai vu un agent de sécurité. J'ai marché le long de l'extrémité gauche et vers le bâtiment à la toute fin. Puis je suis entrée dans le bâtiment et je suis montée jusqu'au dernier étage. De là, j'ai commencé à descendre en marchant, laissant des brochures à chaque appartement.

Quand je suis arrivée au cinquième étage, j'étais sur le point d'accrocher un sac en plastique à une poignée de porte quand la porte s'est soudainement ouverte, et j'étais face à face avec un homme âgé. Il m'a regardée d'un air désagréable et m'a demandé ce qu'il y avait dans le sac. J'ai répondu en souriant que j'étais là pour porter chance.

Il m'a jeté un regard sale et a grogné : « Quelle bonne fortune ? Elle a été envoyée par un Bouddha ? »

J'ai répondu : « Il s'agit de l'école de Bouddha. Si vous le lisez, vous verrez ce que je veux dire. Les divinités assureront votre sécurité. »

Il a dit qu'il vérifierait plus tard puis il est parti, alors je l'ai suivi vers le bas des escaliers.

Quand j'étais prête à quitter la communauté, j'ai vu une femme dans la trentaine près de l'entrée principale. Elle parlait à un agent de sécurité qui lui a dit qu'ils cherchaient un vieil homme vêtu d'une veste avec un sac de voyage sur l'épaule. La femme a dit qu'elle avait prévu deux gardes à l'entrée.

Après avoir réalisé qu'ils parlaient de moi, j'ai rapidement mis mon sac dans un endroit sûr, puis j'ai retourné ma veste. Je n'arrêtais pas d'émettre la pensée droite pour demander au Maître de me protéger. En passant devant les deux agents de sécurité, j'ai fait semblant de ne rien savoir. Ils m'ont regardé sans la moindre suspicion et ont continué à bavarder.

Je me suis détendue en passant par l'entrée principale. Alors que j'étais sur le point d'atteindre la porte automatique, un garde devant le bureau de la sécurité m'a dit de m'arrêter, pendant que l'autre gardien criait : « Stop ! » Mais ils ne pouvaient bouger ni leurs mains ni leurs pieds.

Je ne les ai pas regardés et j'ai continué à marcher jusqu'à l'entrée. Puis j'ai descendu une petite rue latérale. Même à dix mètres de là, je les entendais encore crier : « Stop ! » Pourtant, personne n'est sorti par l'entrée. J'ai vite quitté la zone.

De retour chez moi, j'ai brûlé de l'encens devant le portrait du Maître et je l'ai remercié pour son aide. J'ai vu le Maître me sourire.

Traduit de l'anglais au Canada