Des choses incroyables se produisent lorsque nous utilisons la pensée droite pour résister à la persécution

(Minghui.org) Je pratique le Falun Dafa depuis vingt ans et j'ai vécu beaucoup de choses incroyables.

Inverser les rôles avec les persécuteurs

J'ai été illégalement arrêtée et placée dans un centre de lavage de cerveau en septembre 2005. Le deuxième jour de mon séjour au centre de lavage de cerveau, j'ai eu l'idée de ne pas accepter la persécution.

Lorsque j'ai entamé une grève de la faim, les policiers m'ont obligée à m'asseoir en position du double lotus pendant trois heures le matin en position féminine (la jambe droite en premier, puis la jambe gauche au-dessus de la jambe droite), puis trois autres heures dans l’après-midi en position masculine (en commençant par la jambe gauche, puis la jambe droite au-dessus de la jambe gauche).

Le matin, la policière a posé ses pieds sur le dessus de mes jambes afin que je ne puisse plus bouger du tout. Elle était assise sur une chaise et me regardait avec arrogance. Quatre ou cinq personnes se tenaient autour de moi en diffamant Dafa. Je les ai ignorées.

Dans l'après-midi, un agent de police est entré et a posé ses pieds sur les miens pendant encore trois heures.

J'ai réussi à rester calme. Après m'être levée, j'ai pu me déplacer normalement. Ils ont été surpris et ont pensé que j'avais de grandes capacités.

Une semaine plus tard, la policière m'a demandé : « Tu n'avais pas mal aux jambes quand tu étais assise en position du double lotus ? »

J'ai dit : « Je médite pendant une heure chaque jour. Lorsque vous avez mis vos pieds sur les miens, j'ai eu la pensée de transférer tout mon karma dans vos jambes. » Elle a été bouleversée d'apprendre cela et elle est partie immédiatement.

Lorsque le policier est arrivé un peu plus tard, quelqu'un lui a demandé : « Tu te sens mieux ? » J'ai alors réalisé que je ne l'avais pas vu depuis une semaine parce qu'il était malade !

J'ai réalisé que les disciples de Dafa ont pour mission de sauver les êtres et de valider le Fa. Je ne devrais pas reconnaître la persécution. En surface, les disciples de Dafa sont persécutés, mais en réalité les persécuteurs se persécutent eux-mêmes !

Le Maître nous a dit :

« Lorsque la pensée droite des disciples de Dafa est forte, sans peur, on peut réprimer en retour avec la pensée droite les malfaiteurs. Que les mauvais policiers utilisent la matraque électrique ou qu’ils injectent des produits pour vous persécuter, vous pouvez toujours utiliser la pensée droite et faire que le courant électrique et les produits agissent sur ceux qui commettent ces violences. Que vous dressiez la main ou non, il suffit que la pensée droite soit émise. » (« Utiliser la pensée droite pour mettre fin aux actes criminels », Points essentiels pour un avancement diligent III)

Le pouvoir donné aux disciples de Dafa

Le Maître a dit :

« En fait, en ce moment, il est indispensable que les disciples de Dafa fassent des choses divines, car pour eux, la cultivation-pratique personnelle n’est plus en première place. Sauver les êtres et reconstruire le colossal firmament pendant la rectification de la loi, c'est ça le but. » (« Enseignement de la Loi à la conférence de Loi internationale de la région ouest des États-Unis », Enseignement de Fa dans les conférences VII)

J'ai été persécutée et incarcérée à nouveau en 2011. J'ai immédiatement commencé à émettre la pensée droite et j'ai demandé au Maître de protéger les documents de Dafa à la maison que je n'avais pas pu cacher. Les documents étaient sur mon lit.

Ma mère m'a dit plus tard que lorsque la police est venue chez moi, elle s'est rendue directement dans ma chambre. Ma nièce de 6 ans n'avait jamais dormi dans ma chambre auparavant, mais elle a insisté pour y dormir la nuit précédant l'arrivée de la police. Dès qu'ils sont arrivés, elle a saisi le sac de tissu et l'a caché sous la couette. Tous les documents ont été protégés.

Lorsque j'ai été détenue, j'ai émis la pensée droite en demandant au Maître de ne pas laisser la police m'interroger. Lorsqu'un agent de police est entré dans la pièce où j'étais détenue, il n'arrêtait pas d'aller et venir. Tout en faisant les cent pas, il répétait : « Je me sens confus ; pourquoi ne puis-je pas concentrer mes pensées ? »Il est rapidement parti.

Je n'arrêtais pas d'émettre la pensée droite : « Maître, ne les laissez pas m'interroger aujourd'hui. Ma famille va bientôt venir me chercher. » Un autre policier est entré, mais quelqu'un l'a appelé. Deux autres policiers sont arrivés plus tard, mais ils ont aussi été appelés. À la fin, personne ne m'a interrogée cette nuit-là. J'ai été libérée le lendemain et je suis rentrée chez moi.

Je suis reconnaissante pour le pouvoir que le Maître m'a donné.

Traduit de l'anglais au Canada