(Minghui.org) J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en juin 1998. Cela fait vingt ans maintenant. Au cours de la persécution perverse, j'ai eu beaucoup d'épreuves et de tribulations sur mon chemin de cultivation. Cependant, j'ai senti la protection et la miséricorde du Maître et j'ai fait l'expérience du pouvoir de Dafa.
À maintes reprises, le Maître nous a rappelé : « … Vous devez beaucoup étudier le Fa » (Expliquer le contenu de Dafa) et avant la persécution, « ... vous pouvez prendre la Loi pour maître » (Enseignement de Fa à Sydney).
En suivant les enseignements du Maître, en plus de l'étude du Fa en groupe, après avoir fini ce que je devais faire au travail et à la maison, j'étudiais le Fa par moi-même. Au début, j'étais focalisée sur la quantité : j'étudiais trois leçons du Zhuan Falun par jour, puis Hong Yin et d'autres articles. Plus tard, j'ai décidé de mémoriser le Fa afin de pouvoir m'en souvenir pour me guider afin d'éviter de faire des erreurs et d'aller dans la mauvaise direction quand j'étais confrontée aux épreuves et tribulations.
Particulièrement pendant la persécution, le Maître a dit :
« Le Fa peut briser tous les attachements, le Fa peut briser toutes les perversités, le Fa peut briser tous les mensonges, le Fa peut affermir la pensée droite. » (Points essentiels pour avancer avec diligence (II))
J'ai commencé à mémoriser le Fa et par conséquent, j'ai eu une forte pensée droite et la détermination à cultiver. Peu importe combien la persécution était étendue et brutale, je n'ai pas hésité et j'ai fait ce que j'étais censée faire. J'aimerais donner trois exemples.
Le contrôleur de train ne m'a pas demandé ma carte d'identité
En 2009, j'étais dans un train pour aller voir ma mère. J'ai rencontré une enseignante d'école secondaire qui allait voir son fils à Pékin. J'ai parlé du Falun Gong avec elle. Elle a dit que les pratiquants de Falun Gong de son école avaient fait l'objet de persécutions et que quelques-uns avaient perdu leur emploi. Sur la base des Neuf commentaires sur le Parti communiste, je lui ai dit comment le Parti communiste chinois (PCC) a tué un nombre incalculable de citoyens lors des différentes campagnes et la vérité sur le massacre de Tiananmen de 1989. J'ai essayé d'invoquer son sens de la justice et de conscience. À la fin, elle a accepté de démissionner du PCC. Bien que nous ayons parlé très doucement, les gens assis tout près ont pu nous entendre très clairement.
Quand le train s'approchait de Pékin, le contrôleur a crié : « Sortez vos cartes d'identité pour l'inspection. » Je me suis rappelé ce que Maître Li a dit :
« En aucune circonstance on ne doit coopérer aux exigences, ni aux ordres, ni aux instigations de la perversité. Si tout le monde agit ainsi, l'environnement ne sera plus le même. » (Points essentiels pour avancer avec diligence (II))
J'ai décidé de ne pas sortir ma carte d'identité. À ce moment-là, un autre passager a commencé à argumenter avec le contrôleur qui a dit : « J'exécute les ordres. Essayez de désobéir pour voir ! » Je me suis dit que je n'entrerais pas en confrontation avec lui, mais que je raisonnerais avec gentillesse.
À ce moment-là, le contrôleur était dans notre compartiment. Il a demandé la carte d'identité de l'enseignante. Elle a dit qu'elle était dans sa valise en haut et que c'était difficile d'y accéder, mais le contrôleur a insisté pour la voir. Ils ont demandé à un jeune homme de descendre la valise. Puis le contrôleur a vérifié la carte d'identité des jeunes gens au niveau moyen et supérieur du train et il est parti comme s'il ne m'avait pas vue. L'enseignante était perplexe. « Pourquoi n'a-t-il pas vérifié la vôtre ? » a-t-elle demandé. Je savais que c'était parce que ma pensée droite était dans le Fa et que le Maître m'avait protégée. Je l'ai vu de mes propres yeux. Merci Maître.
J'ai quitté le poste de police dans les 24 heures
En septembre 2017, avant la 19e session plénière du PCC, les compagnons de cultivation m'ont avertie que la perversité était contre nous et que je ne devais pas prendre de documents expliquant les faits avec moi quand je sortais. Ils ont dit que c'était difficile de parler aux gens, mais qu'à la place, il suffisait d'étudier le Fa chez soi. Je n'ai pas suivi leur conseil. Depuis 2007, quand j'ai commencé à parler aux gens face à face, dix ans s'étaient écoulés sans que j'aie de problèmes avec les « dates sensibles ». Mais il s'est avéré que dès que je mentionnais le fait de démissionner du PCC, les gens partaient. J'étais un peu inquiète.
Un jour vers la fin septembre, j'ai parlé à quelqu'un de la province du Liaoning. Il n'a pas voulu écouter, il a diffamé le Falun Dafa et a chanté les louanges du PCC. Je lui ai dit que ce qu'il disait n'était pas bon et je suis partie. Je ne savais pas que des agents en civil étaient aux alentours à cause de la sécurité accrue. L'homme m'a signalée et peu après, j'ai été entourée par un groupe d'agents de police. Ils ont fouillé mon sac, ont trouvé des exemplaires de brochures et m'ont emmenée au poste de police local.
Je savais que je devais avoir la forte pensée droite pour me sortir de là. C'était un test pour moi. Je savais que le Maître était à mes côtés et je n'avais pas peur. J'ai fait ce que j'étais censée faire : je n'ai pas répondu à leurs questions et leur ai simplement expliqué les faits. Je leur ai dit ce qui était arrivé à ceux qui ont mené la persécution contre le Falun Gong, y compris la chute de hauts responsables comme Zhou Yongkang, Bo Xilai et Li Dongsheng. J'ai dit à la police qu'ils étaient responsables de leurs actes et qu'ils devraient aussi penser à leur propre famille. S'ils traitaient les pratiquants de Dafa avec gentillesse, ils seraient récompensés. Quand j'ai parlé, je n'étais pas émue et il semble que mes mots ont eu un bon effet. Un des gardes qui me surveillait a accepté de démissionner du PCC.
Un des agents a trouvé ma carte de transit et avec ça, il a trouvé mon numéro d'identification et le nom de mon employeur avant que je sois retraitée, ainsi que mon adresse. Puis ils m'ont prise avec eux pour aller fouiller mon domicile. Une des agentes était particulièrement vicieuse. Elle était très forte et brusque, et elle me tenait par le cou ; je pouvais à peine respirer. Ils ont mis tout sens dessus dessous chez moi. À la fin, ils ont enlevé le portrait du Maître et tous mes livres de Dafa. J'avais le cœur brisé. Je me sentais mal de ne pas les avoir protégés. J'étais une disciple indigne.
Après cela, la police m'a forcée à aller avec eux dans un centre de traitement des dossiers. Sur le chemin, je me suis rappelé le poème du Maître de Hong Yin II :
« Ne soyez pas tristes
Votre corps se trouve en prison, ne soyez pas tristes
Avec des pensées droites et des comportements droits, la Loi est là
Réfléchissez calmement, combien d’attachements avez-vous encore
En abandonnant la mentalité humaine, la perversité sera vaincue naturellement »
Puis j'ai entendu l'agente de police parler à son fils sur son téléphone portable. Elle était contrariée par ses notes. Alors je lui ai fait savoir que si elle n'était pas impliquée dans la persécution du Falun Gong, les notes de son fils seraient bien meilleures. Elle était très fâchée d'entendre cela. Elle m'a accusée de la « maudire » et a continué à blâmer Dafa et les disciples de Dafa. Quand elle a terminé, je lui ai dit en souriant : « Vous vous trompez. Je ne vous souhaite que du bien. » Elle a été visiblement soulagée.
Je suis restée seule dans le centre de traitement des dossiers. Je n'ai pas dormi. À la place, j'ai émis la pensée droite, récité le Fa, regardé à l'intérieur et j'ai trouvé beaucoup d'attachements, surtout mon attitude moralisante, l'égoïsme, la jalousie, le ressentiment, etc. Je n'avais pas regardé réellement à l'intérieur depuis longtemps. J'avais trop d'attachements humains et ma cultivation était superficielle. Je ne regardais pas souvent à l'intérieur ou ne corrigeais pas en profondeur chacune de mes pensées. Je n'étais pas attentive quand j'étudiais ou mémorisais le Fa. J'étais aussi complaisante, je pensais que je n'avais pas peur et je refusais d'écouter les conseils des autres, je pensais aussi que j'en savais plus que les autres. J'avais également des traces de la culture du PCC. Tout cela a contribué à ce que la perversité profite de mes failles, ma tribulation a causé des soucis à mes enfants, aussi bien que des pertes dans la cause de sauver les êtres. Je me suis sentie très coupable à ce sujet.
J'ai émis la pensée droite sans arrêt pour éliminer mes attachements, mes conceptions humaines et tous les éléments pervers qui persécutaient Dafa et les disciples de Dafa dans le champ entourant le centre de traitement des dossiers. Le lendemain matin, trois agents sont venus rassembler tous les objets qu'ils avaient pris chez moi et m'ont fait signer un document, ce que j'ai fait, car c'étaient mes affaires. Ils étaient très contents, pensant qu'avec cette preuve, ils pourraient me poursuivre en justice et obtenir leur récompense financière. À la fin, cependant, je n'ai pas passé l'examen physique et le centre de détention a refusé de me garder là-bas. On m'a laissée partir. Je savais que c'était le Maître qui me protégeait et me sauvait. Ma gratitude envers le Maître est au-delà des mots.
Mais les trois agents ne pouvaient pas comprendre. Comment cela avait-il pu échouer ? Ils étaient choqués, car ils attendaient une grosse récompense financière pour m'avoir attrapée. Comment pouvaient-ils comprendre le pouvoir de Bouddha ? Comment pouvaient-ils comprendre l'omnipotence et la compassion du Maître ? Le Maître ne protège pas seulement les disciples de Dafa, mais aussi les agents de police afin qu'ils ne commettent pas plus de crimes et reçoivent la rétribution.
Je suis rentrée chez moi 24 heures après la bataille entre le bien et le mal. J'ai appris plus tard que dès que ma fille a découvert que j'avais été arrêtée illégalement et que je faisais face à une détention ou une condamnation, elle a demandé aux compagnons de cultivation d'émettre souvent et intensivement la pensée droite. Ils ont cru que j'allais passer le test. Ils n'ont pas ajouté de pensées négatives, mais ils ont simplement émis la pensée droite. C'était un miracle que j'aie pu rentrer chez moi dans les 24 heures pendant la période dite « sensible » à Pékin. Cela prouve que face aux tribulations, la clé réside dans le fait que les pratiquants agissent comme un seul corps avec une pensée droite forte.
Le Maître m'a sauvée au seuil de la mort
En 2018, pendant la fête des lanternes, mes enfants sont venus à la maison pour le repas de famille traditionnel. Après qu'ils sont partis, j'ai eu mal à l'estomac et j'ai vomi. Puis j'ai bu un peu de lait et j'ai vomi encore plus. Je vomissais toutes les heures, même quand je ne buvais que de l'eau. Cela s'est passé après que j'ai émis la pensée droite à minuit. À 3 h, quand je me suis levée pour faire les exercices, je suis tombée et j'avais des crampes partout. J'ai crié : « Maître, sauvez-moi s'il vous plaît ! » « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». À ce moment, j'avais la langue qui pendait et j'ai déféqué et j'avais aussi des matières collantes qui sortaient de ma bouche. Je savais que c'étaient des signes de mort imminente. Les forces anciennes perverses voulaient prendre ma vie. J'ai refusé d'accepter cela. Comme mes crampes se calmaient un peu, je me suis démenée pour appeler un compagnon de cultivation afin qu'il émette la pensée droite pour moi. De plus, j'ai continué à crier : « Maître, je vous en prie, sauvez-moi ! Maître, je vous en prie, sauvez-moi ! » « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ».
À 18 h, une compagne de cultivation a appelé pour demander comment j'allais. Je lui ai dit que je vomissais toujours et que j'avais encore des crampes. Elle a décidé d'appeler les autres pour intensifier leur pensée droite pour moi. Elle est même venue chez moi malgré le fait que j'étais sous surveillance. Bien que j'aie vomi parfois, ce n'était jamais comme ça. Cette fois, c'était mauvais, en vomissant, avec la diarrhée, les crampes et les douleurs, cela ressemblait à ce que ma mère avait vécu. Ma compagne de cultivation m'a rappelé de ne pas penser dans ce sens et de seulement émettre la pensée droite pure, d'avoir confiance dans le Maître et Dafa, et de regarder à l'intérieur.
J'ai fait ainsi et mes compagnons de cultivation ont aussi émis la pensée droite pour moi. J'ai pu sentir le champ d'énergie et le pouvoir pendant que j'étais renforcée par le Maître. Le Maître m'a ramenée du seuil de la mort. Je suis si reconnaissante pour le salut du Maître et le soutien des compagnons de cultivation. Je ressens la grandeur de former un seul corps.
Plus tard, on a trouvé que j'avais bu du lait mauvais que ma fille avait commandé en ligne. Elle s'est plainte à la compagnie et leur a dit qu'ils ne devraient pas faire ce qui leur plaisait juste pour le profit. Elle leur a dit aussi que je n'étais pas décédée parce que le Maître m'avait protégée.
Quand mon mari est décédé, il y a vingt ans, j'étais sur le point de m'effondrer mentalement et physiquement à cause du travail acharné que j'avais fait pour prendre soin de lui. Après que j'ai obtenu le Fa, j'ai compris le but de la vie. Bien que je n'aie pas été diligente, le Maître m'a soutenue pendant chaque épreuve et tribulation. Je ne peux exprimer assez ma gratitude envers le Maître. Je dois être diligente et me cultiver solidement, avoir confiance dans le Maître et dans Dafa, bien faire les trois choses pour sauver plus de personnes, pour être digne du salut bienveillant du Maître.
Rappelons-nous :
« La source de tous les Fa
Zhen Shan Ren – trois mots sacrés avec la puissance illimitée du Fa
Falun Dafa Hao – prononcés sincèrement, tous les désastres se transforment en un clin d'œil » (« Couplet [Duilian] », Hong Yin (IV))
Veuillez indiquer gentiment tout point non conforme au Fa.
Merci compagnons de cultivation. Merci Maître.
Traduit de l'anglais
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