(Minghui.org) Après les élections générales aux États-Unis, le nombre de décès reliés à la COVID-19 a connu une augmentation significative et cela, partout dans le monde. Le 3 novembre − le jour du scrutin − le nombre total de morts était de 8232 (sans compter la Chine). Le lendemain, ce chiffre est passé à 9235. Depuis, le bilan n'a cessé de grimper, le plus grand nombre ayant été enregistré le 16 décembre, avec 13 696 morts.

Bien que nous ne puissions exclure d'autres facteurs, tels que la sous-déclaration de la Chine, la possibilité de chiffres exagérés aux États-Unis et d'autres problèmes statistiques, nous supposons que ces facteurs ne posent pas de problème majeur dans notre analyse.

Le graphique suivant montre les nouveaux cas hebdomadaires et le nombre de décès aux États-Unis du 14 juillet au 13 décembre 2020, sur la base des données du CDC COVID Data Tracker. Le graphique du haut montre les nouveaux cas et celui du bas le nombre de décès. On peut facilement constater une tendance générale à la hausse après la semaine des élections. Cela nous a amenés à explorer ce qui pourrait être le lien entre la pandémie de COVID-19 et l'élection américaine.

Les nouveaux cas aux États-Unis ont augmenté après la semaine des élections.

Comment le confinement et l'imposition du port du masque ont-ils contribué à la lutte contre la pandémie ?

En plus de la vaccination, les méthodes actuellement acceptées pour contrôler la propagation du virus sont la pratique de la distanciation sociale et le port de masque. On peut supposer, d'un point de vue scientifique, que la réouverture de nombreuses zones a provoqué la récente flambée.

Cependant, selon les données compilées par Yinon Weiss, un entrepreneur, détenteur d'un MBA de Harvard, et vétéran des forces spéciales de l'armée, cela n'est pas nécessairement le cas.

Les trois graphiques suivants publiés sur son compte Twitter ont montré qu'après le confinement et l'imposition du port du masque, le nombre de cas n'a pas toujours diminué comme prévu.

« Connecticut − Cas de COVID-19 par million » : Le nombre de cas au Connecticut a rapidement augmenté après le confinement et l'imposition d'amendes reliées au port du masque. (Crédit image : https://twitter.com/yinonw)

« Massachusetts − Cas de COVID-19 par million »: Le nombre de cas au Massachusetts a augmenté après le confinement ; le nombre a diminué après l'imposition du port du masque, mais il a rapidement grimpé après que le port du masque a été imposé pour les personnes seules. (Crédit image : https://twitter.com/yinonw)

« Californie − Cas de COVID-19 par million de personnes »: Le nombre de cas en Californie a continué à grimper après le confinement et l'imposition du port du masque, puis a augmenté encore plus rapidement après le couvre-feu. (Crédit image : https://twitter.com/yinonw)

D'autre part, la Floride a mis fin à presque toutes les restrictions en septembre, mais le nombre de cas de COVID n'a pas augmenté comme au Connecticut, au Massachusetts et en Californie (voir image ci-dessous).

« La science est-elle vraiment établie ? La Floride supprime presque toutes les restrictions ». Le nombre de cas en Floride a augmenté plus lentement après la levée des restrictions, par rapport au Connecticut, au Massachusetts et à la Californie.

(Crédit d'image : https://twitter.com/yinonw)

Certains ont aussi demandé si l'augmentation des cas était en relation avec la population. Selon le bilan démographique de 2019, la Californie est l'État le plus peuplé, suivi par le Texas et la Floride. On sait que New York, qui est le quatrième État le plus peuplé, a le taux de mortalité par coronavirus le plus élevé de tous les États, malgré les contrôles stricts qu'elle exerce pour lutter contre la pandémie − bien plus élevé même que ceux de la Californie et du Texas. Il semble donc que les cas ne soient pas entièrement liés à la population.

Parmi les États où le nombre de décès par COVID est le plus élevé, c'est à New York que le taux de mortalité est le plus élevé.

Température et climat

Nous savons que la plupart des maladies respiratoires sont plus fréquentes en hiver qu'en été. Comme notre système immunitaire ralentit en hiver et que le virus est plus stable lorsque l'humidité intérieure est plus faible, il est plus probable que les gens tombent malades.

Lorsque la pandémie a commencé en janvier dernier aux États-Unis, certains ont dit qu'elle serait terminée avant l'été, lorsque le système immunitaire des gens serait plus actif et que les températures estivales plus élevées pourraient tuer le virus. Mais il s'est avéré que la pandémie n'a pas disparu avec l'arrivée de l'été.

En revanche, lorsque nous examinons les cas de la Californie, où la variation de température tout au long de l'année est faible par rapport à d'autres endroits, il est intéressant de voir le pic constaté au milieu de l'été, qui n'était pas présent dans le Connecticut ou le Massachusetts.

La Californie a connu une hausse en été et un autre pic en novembre.

Le rapport avec les élections américaines

Alors pourquoi le nombre de morts de la COVID-19 a-t-il soudainement augmenté après les élections américaines ? Y a-t-il un lien entre les deux ?

Dans le graphique ci-dessous, nous avons comparé les nouveaux cas de COVID-19 dans les États rouges (où Trump a gagné) et les États bleus (où Biden a gagné), sans compter les six États pivots : le Nevada, l'Arizona, le Wisconsin, le Michigan, la Pennsylvanie et la Géorgie. Et nous avons fait la constatation intéressante que le taux de croissance des cas de coronavirus dans les États rouges est devenu inférieur à celui des États bleus environ une semaine après le jour de l'élection.

Les nouveaux cas de COVID ont augmenté à un rythme plus lent dans les États rouges que dans les États bleus après les élections américaines.

Comment cela se fait-il ? Peut-être que la sagesse de la culture traditionnelle chinoise pourrait nous éclairer.

Dans les temps anciens, on croyait que les pandémies étaient liées à la dégradation de la moralité des gens. Qu'il s'agisse d’empereurs ou de gens du peuple, ils se repentaient lorsque des catastrophes arrivaient et demandaient l'exonération du ciel.

Cette fois, pendant que le monde entier durement touché par une pandémie sans précédent, cela pourrait être l'occasion pour chacun de nous de faire une pause dans notre vie quotidienne bien remplie, de réfléchir sur nous-mêmes et chercher pour la réponse en nous-mêmes.

Alors que l'équipe juridique de M. Trump tente toujours de faire valoir ses arguments devant les tribunaux, de plus en plus d'éléments de preuve ont fait surface, indiquant une ingérence du Parti communiste chinois dans les élections aux États-Unis. Certains ont affirmé que ces élections ne sont plus une bataille entre deux candidats, mais plutôt un choix entre deux idéologies, c'est-à-dire entre le communisme ou le monde libre.

Épilogue

L'humanité est arrivée à un moment historique. Face à cette pandémie impérieuse et à l'avenir incertain du monde, peut-être que la moralité et la conscience peuvent aider les gens à comprendre ce qui se passe, afin qu'ils puissent poser le geste qui s'impose. C'est le plus fondamental de tous.

La conscience nous est conférée par le ciel et c'est un trait que chacun possède. Il n'est pas nécessaire d'avoir un diplôme ou d'utiliser une méthode scientifique pour développer sa conscience, ce qui n'a rien à voir non plus avec sa couleur, sa richesse ou son statut social. Nous sommes nés avec une conscience. Mais si la conscience d'une personne s'endort, cette personne est perdue, ce qui est très grave. En cas de catastrophe, la conscience est ce qui sauve une personne, tant qu'elle reste éveillée.

Traduit de l'anglais