(Minghui.org) En étudiant récemment les enseignements du Fa, j'ai eu l'intuition que la pensée droite d'un pratiquant semble être liée à l'abandon des attachements.
Maître Li, le fondateur du Falun Dafa, a dit :
« L’homme est juste comme un récipient, qui est tout comme ce dont il est rempli. » (« Se fondre à la Loi », Points essentiels pour avancer avec diligence)
« En tant qu’élève, son cerveau n’étant rempli que de la Grande Loi, cet homme est alors certainement un vrai pratiquant. » (« Se fondre à la Loi », Points essentiels pour avancer avec diligence)
Grâce aux enseignements du Maître, j'ai compris qu'un pratiquant est comme un récipient, du microcosme au macrocosme. Dans cette dimension, on a la nature de Bouddha qui s'assimile aux caractéristiques de l'univers (Authenticité-Bienveillance-Tolérance) ainsi que des facteurs non vertueux qui doivent encore être rectifiés. En tant que pratiquant, on améliore constamment sa nature de Bouddha, en inhibant ou en dissolvant la nature de démon. La cultivation est un processus qui consiste à affaiblir nos attachements et à renforcer notre nature de Bouddha, de sorte que nous devenions plus compatissants et que le récipient contienne une énergie plus pure.
Quand je lis des articles écrits par des compagnons de cultivation, je vois que, ancrés dans leur croyance dans le Maître et le Dafa, ils ont vraiment une pensée droite et font des actions droites. Tout en sauvant des gens, ils font des choses étonnantes pour aider Maître Li, le fondateur de Dafa, dans la rectification de Fa. En comparaison, je sens que je n'ai pas une telle pensée droite et forte. Par exemple, je sais que les pratiquants font la chose la plus droite en sauvant les gens, donc personne ne peut interférer. Mais quand je clarifie la vérité ou distribue des dépliants, des pensées négatives apparaissent dans mon esprit, telles que : « Cette personne va-t-elle me signaler à la police ? Vais-je être repéré maintenant que les dispositifs de surveillance sont partout ? » Je savais que c'était le « faux moi » qui interférait avec mes pensées, mais ces pensées persistaient.
Un jour, je me suis demandé pourquoi ma pensée droite n'était pas assez forte et qu'est-ce qui provoquait cet état mental. À ce moment-là, une substance est apparue dans mon esprit, et cette substance était quelque chose dont je ne pouvais pas me défaire. J'ai compris que la raison pour laquelle ma pensée droite n'était pas forte était que j'accordais de la valeur aux choses ordinaires – juste comme un récipient qui contient tous les facteurs d'une personne. Les pratiquants de Dafa doivent constamment éliminer la nature démoniaque et enrichir la nature de Bouddha dans leur cultivation. Pendant qu'ils éliminent la nature démoniaque, qui est la mauvaise substance, la nature de Bouddha s'enrichira et cela se traduira comme une pensée droite plus forte.
Après avoir compris cela, j'ai creusé pour savoir pourquoi j'étais si attaché aux choses matérielles. J'ai découvert que c'était l'« avidité » qui en était la cause. Cette « avidité » est une manifestation claire de l'attachement à l'intérêt personnel. À cause de cette « avidité », on ne peut pas se satisfaire du statu quo. Poussé par l'attachement à l'intérêt personnel, l'esprit va penser au gain personnel, et cela va augmenter le karma de pensée. À ce moment-là, si l'on ne peut pas continuer l'étude du Fa, ou si l'on ne peut pas élever le xinxing, on sera contrôlé par cette substance négative invisible. Tout comme une personne qui fait un cauchemar, lorsque l'esprit principal se détend, cette substance négative va sortir et causer des problèmes.
Le Maître nous a enseigné le Falun Dafa pour que notre conscience principale puisse obtenir le gong. Si notre conscience principale se relâche, on peut suivre un chemin mauvais. Parfois, je pense : « Je pratique depuis plus de vingt ans et le Fa du Maître est si clair, alors pourquoi est-ce que je prends encore les choses humaines avec tant de sérieux ? » Je sais que je me relâche. Mais pourquoi est-ce que je me relâche ? C'est parce que je n'ai pas vraiment bien étudié le Fa.
Le Maître a dit :
« C’est parce que le Fa est là qu’on peut savoir comment faire encore mieux, c’est parce que le Fa est là qu’on peut ne pas se tromper de chemin, et en même temps, le Fa est aussi en train de vous accomplir vous-mêmes. » (« À la conférence de Fa d’Allemagne »)
Bien étudier le Fa est la clé d'une élévation diligente. Bien étudier le Fa est aussi une manifestation de la croyance dans le Maître et le Fa. Plus on enlève les choses humaines, plus le Fa s'installe et plus les facteurs de la vie s'assimilent au Fa.
[Note de la rédaction : le point de vue exprimé dans cet article représente les opinions de son auteur, dont seul l'auteur est responsable. Les lecteurs sont invités à évaluer par eux-mêmes le bien-fondé de l'article.] (« Cultiver réellement », Hong Yin)
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Traduit de l'anglais
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