(Minghui.org) Lors de la dernière session du « Sommet mondial sur la prévention et la lutte contre le prélèvement forcé d'organes forcés » le 26 septembre 2021, les cinq organisations non gouvernementales organisatrices, des États-Unis, d'Europe et d'Asie, ont adopté la « Déclaration universelle sur la prévention et la lutte contre le prélèvement forcé d'organes », appelant toutes les organisations et les individus dans le monde à se joindre à l'effort pour mettre fin aux prélèvements d'organes à vif par le Parti communiste chinois (PCC).
Logo du « Sommet mondial sur la prévention et la lutte contre le prélèvement forcé d'organes »
Arthur L. Caplan, directeur de la Division d'éthique médicale de la faculté de médecine Grossman de l'université de New York et chercheur renommé en matière d'éthique dans le domaine de la médecine de transplantation, a déclaré lors du sommet que la Déclaration s'appuyait sur la « Déclaration universelle des droits de l'homme » et la « Convention pour la protection des droits de l'homme et de la dignité de l'être humain ».
La Déclaration appelle tous les gouvernements à combattre et à prévenir le prélèvement forcé d'organes, « en prévoyant la criminalisation de certains actes et en facilitant, tant au niveau national qu'international, la poursuite pénale du prélèvement forcé d'organes ».
Le Dr Caplan a insisté sur le fait que le don d'organes doit toujours être un don et ne doit pas être contraint. Il doit respecter le choix de l'individu, sa protection et son bien-être.
Il a ajouté que la Déclaration exhortait les gouvernements à prendre les mesures législatives nécessaires pour lutter contre l’acquisition illégale d'organes et les greffes, et pour empêcher les patients de se rendre en Chine pour recevoir des greffes d'organes ; les pouvoirs judiciaire, législatif et exécutif de chaque gouvernement devraient travailler ensemble pour lutter contre le crime de prélèvements d'organes à vif ; et au niveau international, différents pays devraient travailler ensemble pour recueillir des preuves et partager l’information sur leurs recherches et enquêtes, afin de mettre fin au prélèvement illégal d'organes vivants et au trafic d'organes et de tissus humains.
Le Président de CAP Liberté de conscience : La Déclaration d'importance primordiale pour protéger les êtres humains
Thierry Valle, président de CAP Liberté de conscience en France, a déclaré que leur organisation a été alertée lorsque le régime communiste chinois a commencé à persécuter le Falun Gong en 1999 et qu'elle a depuis suivi de près le développement de la persécution.
Il a dit : « Le prélèvement forcé d'organes est un crime consistant à prélever de force des organes sur des prisonniers d'opinion non consentants à des fins de transplantation ou d'autres procédures médicales. (Cela) viole les valeurs éthiques universelles et les principes moraux de la vie et de la dignité humaine. »
Il estime que la nouvelle Déclaration « réunira la communauté internationale autour d'une charte fondatrice pour la protection des êtres humains afin que cessent de tels crimes contre la dignité humaine ».
« Votre participation à ce Congrès mondial est importante, car ensemble nous pouvons faire la différence », a-t-il dit.
Le fondateur de DAFOH : La Déclaration, une initiative qui « s'attaque à la pratique abominable du prélèvement forcé d'organes »
Torsten Trey, fondateur et directeur général de Doctors Against Live Organ Harvesting (DAFOH), a déclaré que plusieurs enquêtes et rapports indépendants, ainsi que le jugement du China Tribunal à Londres ont « montré au-delà de tout doute raisonnable, que la pratique des prélèvements forcés d'organes sur des personnes vivantes a eu lieu et continue de se produire en Chine ».
Le Dr Trey a dit que selon des témoignages crédibles et des entretiens téléphoniques avec le personnel médical des hôpitaux chinois, les principales victimes de ce crime sont les pratiquants de Falun Gong, qui sont persécutés par le Parti communiste chinois depuis plus de deux décennies.
« Bien que les preuves soient irréfutables, il faut se demander pourquoi la communauté internationale n'a pas pu arrêter ces crimes contre l'humanité ? » a-t-il demandé.
Malgré le fait que d'innombrables pratiquants ont été assassinés pour leurs organes, « il semble que la communauté mondiale, en gardant le silence, n'a pas honoré ou respecté la Déclaration universelle des droits de l'homme ».
Il estime que la nouvelle Déclaration contre le prélèvement d'organes n'est pas seulement un pas vers l'amélioration de la situation des droits de l'homme en Chine, mais aussi une initiative visant à mettre fin à ces crimes pendant qu'ils se produisent encore.
Le Président de l'Association japonaise de recherche sur le tourisme de transplantation : Dites « non » au Parti communiste chinois
Kentaro Inagaki, président de l’Association japonaise de recherche sur le tourisme de transplantation, a déclaré que le monde souffrait du virus du PCC, qui s'est transformé en pandémie en raison de la nature du Parti communiste chinois de dissimuler la vérité. Malgré la gravité de la situation dans le monde, le PCC a poursuivi sa quête d'hégémonie.
Tout en condamnant le PCC pour sa volonté d'hégémonie, la communauté internationale a également commencé à prêter plus attention à ses violations des droits de l'homme dans le pays. Le problème le plus grave est le prélèvement d'organes sur les pratiquants de Falun Gong et les Ouïghours, qui ont été tués pour ne pas s'être alignés sur l'idéologie du PCC.
« C'est sans précédent dans l'histoire de l'humanité. Cette atrocité doit être arrêtée le plus tôt possible », a-t-il dit.
« J'espère que cette Déclaration universelle aidera la communauté internationale à dire NON à cette pratique barbare et sans précédent de prélèvement d'organes par le PCC, et à l'horreur du PCC, qui promeut le totalitarisme pour permettre cette pratique », a-t-il conclu.
Le président de KAEOT appelle à plus de coopération internationale pour mettre fin aux atrocités du PCC
Lee Seungwon, président de l'Association coréenne pour des transplantations d'organes éthiques (KAEOT), a déclaré que depuis 2006, le monde entier s'intéresse aux prélèvements d'organes humains incroyablement maléfiques effectués en Chine. Malheureusement, depuis 2000, d'innombrables Coréens ont reçu des transplantations d'organes en Chine, le plus souvent par des voies illégales.
« C'est une honte que la Corée, une nation qui pratique la démocratie et la justice légale, acquière une réputation si honteuse », a-t-il dit.
Il a dit que KAEOT avait soumis une liste de médecins chinois impliqués dans le crime de transplantation d'organes au gouvernement coréen l'année dernière et exhorté le gouvernement à interdire aux médecins d'entrer en Corée.
« Je crois que toute la détermination et les actions pour arrêter ça sont une preuve de la conscience humaine. La société des soins de santé, le droit, la politique et les organisations civiles du monde entier doivent travailler ensemble pour rectifier les choses », a-t-il déclaré.
Le Secrétaire général de l'Association internationale de soins des transplantations d’organes de Taïwan (TAICOT) : « La Déclaration, un tournant important pour l'humanité »
Huang Chien-feng, secrétaire général de l'Association internationale de soins des transplantations d'organes de Taïwan (TAICOT), estime que le lancement de cette déclaration sera un autre tournant important dans l'histoire de l'humanité.
En tant que médecin de sanatorium, il a dit que dès 2006, on avait découvert que de nombreux patients se rendaient en Chine continentale pour des greffes d'organes. À leur retour à Taïwan, beaucoup ont souffert de divers problèmes de santé et certains ont été confrontés à des problèmes mentaux. Après quelques recherches, lui et ses collègues ont découvert que chaque année, plus de 100 patients allaient de Taïwan en Chine pour des greffes d'organes, et les organes provenaient principalement de prisonniers d'opinion, la plupart étant des pratiquants de Falun Gong.
« Ils sont tués pour leurs organes par le Parti communiste chinois. Des millions de personnes sont toujours en danger », a déclaré le Dr Huang.
Il a ajouté que la communauté médicale de Taïwan a donc pris des mesures pour éduquer le public sur le crime de prélèvements d'organes. Le gouvernement de Taïwan a également adopté un projet de loi pour empêcher les Taïwanais de se rendre en Chine pour des greffes d'organes, ce qui a considérablement réduit le nombre de voyages pour les greffes d'organes. « Cela a été un développement majeur », a-t-il déclaré.
Plus tard, ils ont également découvert que le trafic d'organes est un problème mondial, et que de nombreuses personnes d'autres régions du monde continuent à se rendre en Chine pour des greffes illégales, facilitant le crime contre l'humanité, ce qui les a incités à se joindre à l'effort mondial pour lutter contre le meurtre de personnes innocentes.
La Déclaration peut être consultée sur son site officiel https://ud-cp-foh.info. Les supporters peuvent signer la pétition sur le site.
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Traduit de l'anglais
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