(Minghui.org) À la fin de la vingtaine, j'ai eu la malchance de me faire diagnostiquer une cardiopathie rhumatismale ainsi qu'une myocardite. Je suis allée dans plusieurs hôpitaux renommés pour me faire soigner et j'ai même pris divers médicaments chinois et occidentaux, mais mon état a continué de s'aggraver.

Chaque fois que la température extérieure baissait ou que j'étais stressée, mon état empirait. Mon cœur manquait des battements et cela provoquait des palpitations, affectant à la fois ma circulation sanguine et ma respiration. J'avais un œdème généralisé qui se concentrait sur mes mains, mes pieds et mon visage – ils étaient enflés, luisants et durs au toucher. J'avais de la peine à dormir ; j'étais si faible que je n'arrivais pas à prendre soin de moi.

Mon fils n'avait que cinq ou six ans à l'époque. Mon état de santé l'a obligé à devenir responsable très tôt. Il avait la tâche de m'apporter mes médicaments. Quand je vomissais, il savait qu'il fallait recouvrir les vomissures de poussière pour ensuite les nettoyer. Mon mari a endossé toutes les tâches ménagères. Il travaillait aux champs et prenait soin de moi et de notre fils en même temps. Mon cœur était lourd en le voyant travailler si dur. Je me demandais s'il pouvait tout gérer à lui seul et s'il y avait quelque chose que je pourrais faire pour l'aider.

Ma voisine âgée se souciait beaucoup de moi. Elle souhaitait pouvoir me libérer de toutes mes maladies pour que je sois en bonne santé.

En même temps, je me sentais trop faible pour me battre, remplie de toutes sortes de maladies dans mon corps. J'ai souvent attrapé des rhumes. J'étais gravement anémique et j'avais des douleurs généralisées. Les pronostics de plusieurs hôpitaux étaient inquiétants. J'avais perdu tout espoir.

Un livre guérit ma maladie incurable

Un jour, mon mari m'a dit qu'il avait entendu dire que des personnes se remettaient de maladies graves en pratiquant un qigong. Il voulait que j'essaye, car je n'avais rien à perdre. À cette époque, je ne croyais en rien. Même notre médecine moderne avancée ne pouvait pas soigner ma maladie, alors comment une pratique de qigong pourrait-elle fonctionner ? Il semblait plaisanter, alors je ne l'ai pas pris au sérieux.

Quelques jours plus tard, ma nièce m'a rendu visite. Elle m'a dit que sa mère avait commencé à pratiquer le Falun Dafa, qui favorise la forme physique et la santé. Ma famille m'a également encouragée à aller l'apprendre. Quand je suis arrivée chez ma nièce, j'étais trop faible pour rester assise le dos droit, alors je me suis appuyée contre son lit. Elle m'a dit qu'il y avait un livre que je devrais lire du début à la fin sans manquer de sections ni en sauter. Elle a commencé à me le lire.

J'ai écouté attentivement et j'aimais ce que j'entendais. Après quelques paragraphes, j'ai commencé à lire avec elle. Petit à petit, j'ai pu m'asseoir le dos droit. J'ai réalisé que c'était un livre qui apprenait aux gens à être bons ; c'était un livre qui apportait le salut. J'ai continué à lire. Plus je lisais, plus j'avais envie de rire. Ma nièce m'a même tapotée une fois et m'a demandé d'être sérieuse. Elle ne comprenait pas ce que je trouvais de si drôle. Mais je ne pouvais pas m'en empêcher : c'était une joie que je ressentais au fond de mon cœur.

Nous avons lu jusqu'à 21 heures ce soir-là, je voulais emprunter le livre, mais elle n'en avait qu'un exemplaire. Je suis rentrée chez moi en ayant faim. Mon mari était ravi et a préparé un repas tout de suite. Ce soir-là, j'ai mangé un grand bol de nourriture et je me suis sentie somnolente juste après. Pour la première fois depuis longtemps, j'ai dormi profondément.

Avant de me réveiller, j'ai vu deux grands bouddhas et la Bodhisattva Guanyin apparaître dans le coin supérieur droit de mon lit. La Bodhisattva Guanyin, la déesse de la miséricorde, portait une robe blanche et tenait un vase à la main. Elle a pris une herbe magique de son vase et l'a envoyé dans ma direction. Je me sentais très confortable et je les regardais tranquillement. Mais quand j'ai voulu regarder plus précisément, j'ai cligné des yeux et tout a disparu.

C’est alors que j'ai réalisé quelque chose. Je me suis réveillée et j'ai commencé à chercher le livre que ma nièce m'avait lu, mais il était en rupture de stock. Il a fallu deux semaines pour finalement le recevoir – le Zhuan Falun, le texte principal du Falun Dafa. Une fois que j’ai reçu le livre, je n’ai cessé de le lire. Peu à peu, toutes mes maladies ont disparu. Mon appétit s'est amélioré. Mon énergie est revenue et j'ai pu travailler à nouveau !

Un nettoyage en profondeur

Un jour, alors que je rendais visite à ma mère, j'ai eu les symptômes d'un gros rhume. J'ai eu de la fièvre pendant trois jours. Pourtant recouverte de deux ou trois couettes, j'avais encore froid. Ma mère était effrayée. Elle savait à quel point j'étais malade dans le passé. Elle m'a exhortée à aller à l'hôpital. Je lui ai dit que tout irait bien, que j'avais très soif et que je devais boire du yaourt liquide. J'ai bu trois grandes bouteilles en une nuit. Le cinquième jour, j'ai enfin pu mieux dormir.

Durant cette épreuve, j'ai eu l'impression qu'une incision d'environ treize centimètres de long avait été faite dans ma poitrine. Quand je touchais cette zone avec ma main, c'était douloureux. J'ai aussi senti une main robuste entrer et sortir quelque chose de cet endroit. À ce moment-là, j'ai clairement senti un Falun tournoyer dans ma poitrine.

Peu de temps après, une grosse boule noire et violette est apparue dans mon dos, à peu près de la taille d'une assiette. Ma mère était heureuse de voir cela, car cela signifiait que des substances de nature yin étaient expulsées. Elle a été étonnée de voir l'amélioration considérable de ma santé et comment mon corps a traversé ce processus de nettoyage. Elle a voulu également apprendre le Falun Dafa.

Ma famille et mes proches ont tous été témoins de ces changements grandioses. Ils sont tous très favorables envers cette pratique et m'ont même aidé à distribuer des dépliants de Dafa. Ils ont tous également reçu des bénédictions.

La protection bienveillante du Maître

Un jour, j'ai été heurtée par une moto. L'impact m'a projetée huit mètres en l'air et m'a assommée. Quand je me suis réveillée, j'avais une bosse de la taille d'un œuf à la tempe. J'ai dit au chauffeur que j'allais bien et je leur ai demandé de simplement me ramener à la maison. Ils ont insisté pour m'emmener à l'hôpital, mais j'ai refusé et je suis rentrée chez moi. Avant de partir, je leur ai dit qu'ils ne devaient pas s'inquiéter pour moi : je pratiquais le Falun Dafa, donc tout irait bien.

Mes proches sont venus me voir et m'ont persuadée d'aller à l'hôpital. Ils étaient contrariés parce que j'avais laissé partir le chauffeur. Comme je refusais d'aller à l'hôpital, ils ont fini par s’en aller.

Quand j'ai voulu boire, j'ai découvert que je ne pouvais pas bouger. La douleur était atroce ; mes organes internes étaient en feu. Mon téléphone portable, que je venais d'acheter, a été brisé en morceaux. J'ai fini par aller chez ma sœur, car mon mari et mon fils étaient tous les deux hors de la ville pour le travail. Mon séjour a duré deux semaines. Je ne pouvais boire que des soupes parce que la bosse sur ma tempe m'empêchait d'ouvrir la bouche.

Quand ma mère est venue me rendre visite, j'allais déjà mieux. Je lui ai dit que j'allais bien et que je récitais « Falun Dafa est bon ; Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » tous les jours.

Merci Maître, pour votre grâce salvatrice !

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Traduit de l'anglais