(Minghui.org)
Maître Li nous a dit :
« Exposer les policiers malveillants et les mauvais individus et rendre publics les méfaits qu’ils ont commis joue un très grand rôle pour secouer et restreindre ces individus malveillants dépourvus de rationalité, en même temps en clarifiant la vérité à la population locale on expose directement la persécution perverse en générant une prise de conscience, c’est aussi un bon moyen pour sauver les gens empoisonnés et dupés par les mensonges. J’espère que tous les disciples de Dafa et les nouveaux élèves en Chine continentale vont faire cela et bien le faire. » (« Commentaire », Points essentiels pour un avancement diligent III)
Le Parti communiste chinois (PCC) a établi un centre illégal de lavage de cerveau dans notre ville. Ils ont utilisé toutes sortes de mesures cruelles et sales pour y persécuter les pratiquants de Falun Dafa. Les pratiquants ont fait de leur mieux et ont bien travaillé ensemble pour exposer la persécution à la population locale. Après six ans, ils ont fermé le centre de lavage de cerveau.
Le centre de lavage de cerveau détenait une pratiquante qui avait été libérée d'un centre de réhabilitation pour toxicomanes. Les autres pratiquants savaient que nous devions dénoncer la conduite des malfaiteurs et dissoudre le centre de lavage de cerveau, mais nous n'avions aucune information sur l'identité des auteurs et sur ce qui se passait à l'intérieur du centre. Nous ne connaissions même pas son emplacement exact. Incertains de ce qu'il fallait faire, tout ce que nous pouvions faire était d'émettre ensemble la pensée droite en un endroit. Il y a eu des jours où nous avons fait cela pendant une heure.
La pratiquante a été libérée au bout d'un mois. Cependant, elle nous a dit que pendant sa détention, elle avait été giflée, obligée de rester debout pendant de longues périodes, menottée, privée de sommeil et forcée de regarder des vidéos diffamant le Falun Dafa pour la forcer à se transformer.
Les malfaiteurs ont arrêté deux autres pratiquants et les ont envoyés au centre de lavage de cerveau peu de temps après. Cette fois-ci, les gardes ont traité les pratiquants de manière encore pire. Ils ont enlevé les vêtements de l'homme et ont utilisé des matraques électriques pour lui administrer des décharges sur tout le corps. Ils se sont assis sur la pratiquante et l'ont frappée et choquée avec des matraques électriques. Plusieurs pratiquants d'autres villes ont également été emmenés là et torturés.
Nous avons recueilli des informations sur les auteurs de ces actes, distribué des tracts et émis la pensée droite. Le centre de lavage de cerveau s'est vidé au bout d'un moment. Les pratiquants étaient très heureux, pensant que le centre était fermé.
Ce à quoi nous ne nous attendions pas est que deux autres pratiquants soient emmenés au centre de lavage de cerveau alors qu'ils avaient été emprisonnés pendant dix ans et qu'ils étaient sur le point d'être libérés. Nous avons senti que nous devions intensifier nos efforts et étendre la couverture pour exposer ce qui se passait.
Nous avons donc réalisé un grand nombre d'affiches et de lettres qui indiquaient l'emplacement du centre de lavage de cerveau, donné le nom des gardiens de l'établissement et décrit les différentes tactiques utilisées pour persécuter les pratiquants. Un ami du directeur du centre de lavage de cerveau l'a appelé et lui a demandé : « Qu'est-ce qui se passe avec toi ? Ton nom est sur les affiches. »
Le directeur a été choqué et a tempéré ses actions. Le centre de lavage de cerveau s'est calmé pendant un certain temps par la suite. Mais le PCC a continué à harceler et à menacer les pratiquants qui avaient été libérés de ce centre. Ils se sont rendus au domicile d'une pratiquante et lui ont demandé si elle les avait dénoncés au site web Minghui.
Quelques pratiquants ont été emmenés au centre de lavage de cerveau quatre ans plus tard. Le directeur a protesté contre notre précédente exposition de ce qui se passait au centre. Il a également battu les membres de la famille qui rendaient visite aux pratiquants qui y étaient détenus.
Après quelques discussions, nous avons estimé que le centre de lavage de cerveau ne devrait pas exister du tout. Il persécutait les pratiquants ainsi que les êtres et devait être dissous immédiatement. Nous avons mis de côté nos propres besoins et avons coopéré de manière inconditionnelle pour le fermer.
Nous avons travaillé ensemble pour former un seul corps et avons pris des mesures agressives contre le centre de lavage de cerveau. Certains d'entre nous ont préparé de nouveaux tracts montrant les tactiques horribles qu'ils utilisaient et les articles de loi qu'ils violaient ; certains ont appelé le directeur du centre sur son téléphone portable. Il a écouté tout ce qui a été dit et a également entendu la moitié du message enregistré sur la traque des persécuteurs qui a été préparé par l'Organisation mondiale pour enquêter sur la persécution du Falun Gong (WOIPFG).
Certains pratiquants se sont postés dans le bâtiment résidentiel de l'autre côté de la route et ont attendu que les malfaiteurs apparaissent aux fenêtres du centre de lavage de cerveau, afin de pouvoir les prendre en photo. Nous avons réussi à prendre une photo de tous les gardes et une image particulièrement nette du directeur du centre.
Les pratiquants ont réalisé un grand nombre d'affiches à partir des photos qu'ils avaient prises. L'une de ces affiches était consacrée au directeur du centre. Elle publiait l'adresse de son domicile, le nom de sa femme et de ses enfants ainsi que leur lieu de travail, et énumérait les atrocités qu'il avait commises. Les affiches pouvaient être vues dans les grandes rues, dans les petites ruelles, sur les bâtiments et les stations de bus. Certaines affiches étaient placées sur le portail de l'immeuble où vivait le directeur. Chaque fois qu'elles étaient arrachées, nous en affichions simplement de nouvelles.
Selon les pratiquants détenus dans le centre de lavage de cerveau à l'époque, les malfaiteurs à l'intérieur étaient incroyablement effrayés. Ils n'osaient pas s'approcher d'une fenêtre de peur d'être photographiés. À la fin, le PCC n'en pouvait plus : il a libéré tous les pratiquants et fermé le centre de lavage de cerveau.
Mais deux ans plus tard, le centre a été rouvert et quelques pratiquants y ont été emmenés. Nous avons discuté de la question et nous nous sommes sentis inquiets, non seulement pour les pratiquants persécutés, mais aussi pour les malfaiteurs qui marchaient sans le savoir, pas à pas, vers le bord d'une falaise.
Le Maître a dit :
« … et en même temps leur disent le lien de causalité que “le bien et le mal ont assurément leur rétribution”. » (« Suggestion », Points essentiels pour avancer avec diligence II)
Après avoir lu les paroles du Maître, un pratiquant a écrit une lettre au directeur du centre de lavage de cerveau, qui reflétait à la fois la compassion et la dignité de Dafa. Puis nous avons fait des affiches pour lui dire de ne pas mettre en jeu sa vie et celle de sa famille.
Le texte énuméré mentionnait également des détails sur Luo Jin, qui a travaillé dur pour diffuser de fausses nouvelles et salir Dafa, ainsi que sur Chen Hong, qui a dirigé la fausse histoire des auto-immolations de Tiananmen. La lettre indiquait que les deux hommes ont reçu une rétribution karmique.
La lettre décrivait ensuite quelques exemples de malfaiteurs locaux et de policiers qui ont reçu un châtiment karmique et qui sont morts. Nous avons conclu en disant que nous espérions sincèrement qu'il changerait de cap et prendrait un chemin sûr pour lui-même. Peu après, le centre de lavage de cerveau a déclaré : « Nous cesserons nos activités après cette session. »
Le centre de lavage de cerveau a été fermé au bout de six ans. C'était juste comme le Maître l'avait dit :
« Les démons ne peuvent jamais dépasser le Tao. » (Cinquième leçon, Zhuan Falun)
Tous les articles, graphiques et contenus publiés sur Minghui.org sont protégés par les droits d'auteur. La reproduction non commerciale est autorisée, mais doit être accompagnée du titre de l’article et d'un lien vers l’article original.
Traduit de l'anglais