(Minghui.org) Alors que la persécution du Falun Gong se poursuit toujours après vingt-deux ans, certains policiers en Chine ont commencé à protéger secrètement les pratiquants et à les libérer peu après leur arrestation. C'est le cas de Mme Feng Cuirong, une habitante de la ville de Qixai, dans la province du Shandong, après avoir été arrêtée le 13 mai 2021 parce qu'elle parlait aux gens du Falun Gong.

Sur le chemin du poste de police de Tangjiapo, Mme Feng n'a cessé de répéter aux policiers que le Falun Gong était persécuté et qu'il n'y avait jamais eu de base légale pour cette persécution. Elle a exhorté les policiers à ne pas prendre part à la persécution, sinon ils seraient tenus pour responsables à l'avenir.

La police a demandé à Mme Feng de signer son mandat d'arrêt, mais elle a refusé de le faire, de peur que cela ne devienne une preuve permettant à la police de la persécuter à l'avenir.

La police a chargé trois personnes de surveiller Mme Feng au poste de police. Dans l'après-midi, elles se sont plaintes à la police de leur faire perdre leur temps, et la police les a laissées partir. À peu près au même moment, le frère et le fils de Mme Feng sont venus au poste de police pour demander sa libération.

Ne s'attendant pas à ce qu'elle soit libérée, Mme Feng a demandé à sa famille de rentrer chez elle. À sa grande surprise, le policier lui a dit : « Je ne peux pas les laisser partir seuls. Vous devez aller avec eux. »

Mme Feng est donc rentrée chez elle avec les membres de sa famille.

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Traduit de l'anglais