(Minghui.org) Lorsque je me rappelle mon chemin de cultivation, je me rends compte que ces dernières années, je n'ai pas beaucoup progressé, car je n’avais pas une compréhension profonde de la cultivation. À bien des égards, j'ai été comme une « personne moyenne » dans ma cultivation.
Pendant longtemps, j'ai été comme ce que dit le Maître :
« Les pratiquants ordinaires font partie des “personnes moyennes qui entendent parler du Tao”, il leur est égal de pratiquer ou non ; de telles personnes ne pourront probablement pas y arriver. » (Neuvième Leçon, Zhuan Falun)
Comme je n'avais pas été assidu pendant longtemps, je réalise maintenant que je ne ressentais pas d'état de calme plus profond lorsque je méditais.
Le Maître a dit :
« Plus tard, en réécoutant cet enregistrement, vous pourrez sans cesse vous élever. En l’écoutant sans cesse, vous aurez toujours une nouvelle compréhension et de nouveaux bienfaits ; c’est même encore davantage le cas quand vous lisez ce livre. » (Troisième Leçon, Zhuan Falun)
Pendant longtemps, j'ai eu l'impression que je n'arrivais pas à « sans cesse m'élever » ni à avoir « de nouveaux bienfaits ». Alors pourquoi ai-je été comme un pratiquant moyen pendant si longtemps ? Était-ce parce que ma confiance et ma compréhension étaient trop superficielles ?
Le Maître a dit :
« Pendant le Xiulian, au lieu de vous élever véritablement et réellement pour subir un grand changement intrinsèque, vous comptez sur ma force, profitez des puissants facteurs externes, ce qui ne pourra jamais transformer votre nature humaine en nature de Bouddha. Si vous pouviez tous connaître la Loi au fond de votre cœur, ce serait la manifestation de la Loi à la puissance sans limites - la réapparition de la puissante Loi de Bouddha dans le monde humain ! » (« Les mots avertisseurs », Points essentiels pour avancer avec diligence)
« Quand le Maître n’est pas là, on n’a plus d’intérêt pour se cultiver, il semble qu’on se cultive pour le Maître, qu’on soit venu sur un coup de tête, voilà un grand défaut des hommes moyens. » (« Fermeté », Points essentiels pour avancer avec diligence)
S'appuyer trop sur les autres et les facteurs externes
J'ai compris que ma confiance dans le Maître et Dafa était limitée, parce que je me fiais trop aux autres et aux facteurs externes. Lorsque j'ai lu les Neuf commentaires sur le Parti communiste, je pense avoir trouvé certaines des raisons de ma faiblesse. J'avais été profondément influencé par la pensée socialiste dans mon enfance. Ma famille, comme beaucoup d'autres familles en Suède dans les années 70 et 80, n'a pas pu résister à ce puissant courant du socialisme et au déclin de la moralité qui l'accompagnait. Cela a érodé ma capacité à faire vraiment confiance, à prêter attention et à être responsable de mes actes, ce que l'on développe normalement dans une famille qui a des valeurs et des croyances traditionnelles. À cause du socialisme, cette confiance a été remplacée par un faux type de confiance et d'attention auquel on peut être accroché, que ce soit au jardin d'enfants, à l'école, dans les clubs, sur le lieu de travail et, de nos jours, sur Internet. Grâce au socialisme et à la soi-disant liberté qu'il prône, j'avais perdu la culture authentique enseignée par la famille, la sagesse des grands-parents et la croyance dans les valeurs supérieures et le divin.
À l'école, je me sentais souvent perdu. On ne nous enseignait rien sur les vraies valeurs ou le but de la vie. On nous enseignait que la culture et les croyances traditionnelles étaient primitives et sous-développées et que les humains n'étaient qu'une sorte de singe avec des instincts et des besoins.
L'idéologie enseignée à l'école m'avait fait penser que la plupart des choses n'étaient que relatives et sans signification. De plus, je pensais qu'il suffisait de passer des tests et d'avoir de bonnes notes pour que tout aille bien. On ne nous enseignait rien de valable ou de durable. Cela a fait de moi une personne passive, et j'ai appris à faire simplement ce qu'on attendait de moi. Et quand j'avais mal à l'âme, j'essayais de m'échapper par tout ce qui était offert dans la société libre d'aujourd'hui, ce qui ne faisait que me rendre plus dépendant de toutes ces choses et des autres pour me sentir heureux et satisfait.
Lorsque j'ai lu le Zhuan Falun et les Neuf Commentaires, j'ai réalisé que, grâce au socialisme, nous avions perdu la confiance construite dans une famille et les valeurs supérieures qui y étaient associées. Et avec cela, nous avons perdu la capacité d'assumer une véritable responsabilité pour nos propres vies. Il s'ensuit un sentiment d'insignifiance. Avec plus d'impôts, plus de soutien social, plus de liberté de choix et plus d'encouragement à s'identifier au groupe, on nous fait croire que nous avons été libérés. En réalité, nous nous retrouvons avec moins de confiance, une mentalité de victime, des sentiments de jalousie et un sentiment d'injustice, un besoin de se plaindre et des conflits difficiles à résoudre.
Dans une société basée sur le socialisme et le communisme, la confiance est détruite et avec elle, notre véritable nature humaine.
Le Maître a dit :
« … les élèves ne pourraient pas obtenir les connaissances s’ils n’avaient pas la superstition de l’école et du professeur ; les enfants ne pourraient pas être bien formés s’ils n’avaient pas la superstition de leurs parents ; les gens ne pourraient pas bien faire leur travail s’ils n’avaient pas la superstition de leur cause ; l’humanité n’aurait pas de critère moral si elle n’avait pas de croyance ; alors l’homme n’aurait plus de bonté dans le cœur et serait habité par l’esprit pervers. » (« Ce qu'est la superstition », Points essentiels pour avancer avec diligence)
Ce qui me rendait surtout heureux, c'était de faire du sport et de participer à des compétitions de toutes sortes. Cependant, c'était surtout pour impressionner les autres. D'après ce que j'ai compris, il s'agissait d'une recherche des valeurs authentiques et de la confiance que j'avais perdues à cause des effets du socialisme sur notre famille, mais le type de valeurs que je pensais pouvoir obtenir des autres m'a conduit sur le mauvais chemin.
Entrer dans l'environnement de cultivation
Lorsque je suis entré dans l'environnement de cultivation, j'ai d'abord été diligent et j'ai vécu plusieurs choses étonnantes. Avec le temps, les souvenirs de ces choses ont disparu et j'ai agi de plus en plus comme un pratiquant moyen. Le besoin de confirmation que les autres m'appréciaient existait toujours, et il m'a fallu de nombreuses années pour réaliser à quel point il était profond. Par exemple, j'étais souvent heureux et satisfait lorsque je montrais les exercices aux autres ou lorsque je participais à l'étude du Fa collective ou aux activités, ou même lorsque je clarifiais la vérité. Bien souvent, ces choses n'étaient pas faites par mon vrai moi mais par mon ego, qui cherchait une confirmation.
J'ai aussi souvent pratiqué, lu et émis la pensée droite après avoir ressenti une pression extérieure ou m'être senti forcé de l'intérieur, et non pas après avoir vraiment compris et apprécié la cultivation elle-même. Par exemple, lorsque je ressentais cela, je ne me sentais pas très bien physiquement ou je me sentais inutile. Ou bien, quand je voyais les autres être diligents ou quand je lisais quelque chose dans le Fa qui me faisait réaliser que je n'étais pas si bon, alors je me réveillais temporairement et j'essayais d'être plus diligent, mais je ne le faisais toujours pas avec toute mon attention. Je ne me mesurais également qu'à ce que je pensais être « suffisamment bon » lorsque je me comparais aux autres. Pendant longtemps, ce qui était « suffisant », c'était de lire et de faire les exercices entre trois et quatre fois par semaine, de participer à des activités collectives locales quand je le pouvais, et de participer à différents projets que je trouvais gratifiants.
Cependant, après de nombreuses années de cultivation, j'ai compris que je faisais beaucoup de choses superficiellement pour me sentir valorisé par les autres dans le cadre d'un groupe. En réalité, lorsque je pratiquais et lisais seul, ou même en groupe, je me sentais fatigué et passif. Puis, dès que je sentais que les autres attendaient quelque chose de moi ou que je n'étais pas assez bon, je faisais des choses en surface. Mais combien de fois ai-je vraiment regardé vers l'intérieur ? Chaque fois que je regardais vers l'intérieur, c'était souvent avec une intention, je voulais avoir un aperçu à la surface, dire aux autres ce que j'avais réalisé, et frimer pour que mon ego soit confirmé. Ces fois-là, je n'ai rien gagné et j'ai même reculé dans la cultivation.
Un avertissement
Un avertissement pour moi l'année dernière est venu après l'article du Maître sur les pandémies dans lequel il mettait en garde les pratiquants qui n'étaient pas diligents. Quelques semaines après le premier confinement en Suisse, j'ai vécu un épisode difficile de nettoyage du karma. Je n'avais pas ressenti quelque chose d'aussi dur depuis de nombreuses années.
Tout a commencé avec ma femme, qui travaille dans le secteur des soins. Un jour, elle est rentrée à la maison et a dit qu'ils avaient un cas suspect de virus et qu'elle devait elle-même faire un test parce qu'elle ne se sentait pas bien. Dès qu'elle a dit cela, j'ai senti que ma gorge était irritée. J'ai essayé de ne pas y prêter attention, mais l'irritation a continué. Quelques jours plus tard, j'ai eu mal à la gorge et une sensation de brûlure dans les poumons. J'avais également des douleurs dans d'autres parties de mon corps et j'ai eu de la fièvre. Mon niveau était bas, ce dont je me suis rendu compte quand, au lieu de penser que c'était une bonne chose, j'ai eu peur et j'ai pensé que j'avais attrapé le virus et que j'étais maintenant malade.
Après plusieurs jours supplémentaires de symptômes, un couple de pratiquants nous a rendu visite, car nous n'étions plus autorisés à nous réunir en groupe. Après avoir étudié le Fa, je me suis senti très faible et j'ai dit que j'avais besoin de me reposer. Après un quart d'heure de repos, j'ai pensé : « Ce n'est pas bien ; je dois le surpasser et vraiment voir cela comme un test et quelque chose de bon. » Je me suis levé et j'ai fait le premier exercice malgré la douleur dans tout mon corps. Après cela, tout est devenu plus facile et j'ai pu rejoindre les autres. Le lendemain, je me sentais toujours bien, et pour la première fois depuis longtemps, j'ai eu l'impression d'avoir vraiment passé un test plus sérieux où mes peurs étaient mises à l'épreuve et où j'avais eu l'occasion de renforcer ma confiance dans la cultivation en affrontant mes peurs. Mais il m'avait fallu plusieurs jours avant de me réveiller et de comprendre à quel point c'était sérieux. Cela montrait vraiment dans quel état de faiblesse je me trouvais. Je m'étais accroché à ces symptômes et j'avais cru que j'étais malade. Je l'avais considéré comme une personne ordinaire.
En lisant le Fa, je me suis rendu compte que je m'accrochais à l'état de maladie et que je ne réalisais pas que notre corps physique n'est qu'une petite couche de tous nos corps. Le Maître a dit :
« Je réponds que cela n’a pas d’importance car votre corps dans l’autre espace n’a pas été opéré, et que c’est justement ce corps-là qui entre en jeu dans la pratique de gong. » (Septième Leçon, Zhuan Falun)
Dans mon esprit, j'étais coincé dans le corps de ce niveau physique. Alors comment pouvais-je développer une énergie de niveau supérieur ? J'ai réalisé que, pendant longtemps, je m'étais comporté comme un pratiquant moyen et que ma confiance dans le Maître et le Fa n'avait pas été assez forte.
J'ai finalement compris que pour cultiver véritablement, je devais avoir beaucoup plus confiance dans le Fa et renforcer ma volonté et ma croyance par une cultivation laborieuse, ce qui signifiait lire assidûment, faire les exercices et émettre la pensée droite, et, bien sûr, regarder sérieusement vers l'intérieur. Je me suis maintenant rendu compte que je ne peux rien obtenir gratuitement, comme le socialisme me l'a fait croire. Si je veux progresser dans la cultivation, je dois donner plus de moi-même et assumer la responsabilité de ma vie, de ma cultivation et de tout ce que je fais et pense.
2019 : Une nouvelle chance de devenir plus diligent
À la fin de l'année 2019, j'ai été invité à travailler pour Epoch Times. Après environ un mois de formation, j'ai commencé à travailler six heures les après-midi de semaine, les soirs et les nuits. Au début, c'était très difficile, car j'avais pris l'habitude de faire les choses à mon propre rythme et j'étais devenu assez à l'aise. Comme je l'ai déjà dit, je n'avais été qu'un pratiquant moyen, et ma nouvelle routine a été difficile à vivre pour ma famille. Mes peurs ont également commencé à m'inquiéter, j'avais peur de faire des erreurs, de ne pas être assez bon et de perdre la face. J'ai eu beaucoup de mal à m'en défaire. J'étais souvent nerveux, mais j'essayais de rester calme en apparence. C'était particulièrement difficile lorsque les clients critiquaient Epoch Times.
Une fois par semaine, nous devons également assister à une réunion du personnel, ce qui, pour nous en Europe, se passe entre deux et quatre heures du matin. Souvent, je ne dormais que quelques heures et, chaque fois, il me fallait quelques jours avant de me sentir bien dans ma tête et dans mon corps. En tant que pratiquant travaillant pour Epoch Times, les exigences sont également élevées, et nous devons de préférence écrire pour que tout le monde puisse voir nos progrès quotidiens dans la lecture, les exercices et l'émission de la pensée droite. Il s'agit bien sûr d'une démarche volontaire, mais pour moi, c'était un test, car mon attachement à la compétition et à l'exhibition a fait surface. Comme j'avais souvent du mal à dormir suffisamment, je pensais que je perdais la face. Ma capacité à gérer la fatigue, mon attachement au confort et ma paresse ont également été mis à rude épreuve.
Les choses à la maison étaient parfois aussi assez difficiles. Nous vivons dans un appartement de cinq pièces sans bureau, je dois donc travailler dans le salon. Pour ne pas déranger ma femme et ma fille le soir et la nuit, j'ai installé chaque soir une boîte insonorisée avec des planches, des oreillers et des couvertures. Ma femme entendait toujours les appels le soir et la nuit, et se plaignait. Je devais aussi réconforter et prendre soin de ma fille lorsqu'elle se réveillait au milieu de la nuit. Il fait parfois assez chaud dans la boîte, et je transpire. La plupart du temps, je m'assois en position de demi-lotus parce que l'espace est si petit.
Tout cela, ainsi que la fatigue des soirées et des nuits, me mettait sous pression. Parfois, je m'énervais, je me mettais en colère et je répliquais. Des pensées égoïstes surgissaient, du genre : « Je fais quelque chose d'important, pourquoi ne me laisses-tu pas travailler ? » Dans ces moments-là, j'oubliais de regarder vers l'intérieur et de penser à la situation de ma femme et de ma fille. Ma femme travaille dans un centre de soins pour personnes atteintes de démence et doit se lever tôt le matin. C'est physiquement et mentalement très éprouvant. Elle assume également une lourde charge, car l'éthique de travail y est souvent médiocre et les autres ne font pas leur travail de manière responsable.
Au début, je compensais souvent mes attachements blessés en dormant plus, en mangeant plus, en consommant plus de sucreries, de gâteaux et de chocolats, ou en passant plus de temps sur Internet et sur les réseaux sociaux. Lorsque je succombais à ces tentations, je me sentais ensuite encore plus fatigué et j'étais même confronté à des épreuves en rêve. J'avais du mal à me réveiller le matin. J'ai également remarqué que je devenais souvent très heureux lorsque j'avais des conversations positives et inquiet lorsque j'avais des conversations difficiles. Derrière cela se cachait, une fois de plus, la peur de l'échec.
Même si, par la suite, je devenais plus assidu dans la lecture et la pratique des exercices, je n'avais toujours pas atteint le niveau d'un véritable pratiquant. Souvent, je ne réussissais pas à regarder en moi et à considérer la souffrance comme une joie. Je lisais aussi souvent le Fa comme un intellectuel - avec un attachement à acquérir de nouvelles connaissances et à obtenir ensuite la confirmation de ces connaissances par d'autres.
Lentement mais sûrement, j'ai réalisé et surmonté ces épreuves et progressivement, ma compassion est également devenue plus stable à la maison et au travail. J'ai également été en mesure de mieux soutenir ma famille. En faisant plus d'exercices, en lisant plus et en émettant plus la pensée droite, j'ai l'impression d'avoir fait des progrès et d'avoir éliminé beaucoup de karma.
Maintenant, nous avons plus d'harmonie dans notre famille. J'ai également appris à mieux supporter la souffrance avec un esprit calme et je peux méditer et faire le deuxième exercice plus longtemps. Avant, comme mon esprit n'était pas vraiment assez calme, mon corps n'était en fait pas assez détendu pour développer une énergie plus élevée.
Le Maître a dit :
« Le mieux est de ne penser à rien. Car durant l’étape où on pratique le gong au niveau inférieur, on doit établir certaines bases et ces bases jouent un rôle très important, puisque l’activité de la pensée chez l’homme a certains effets. Réfléchissez un peu, si vous ajoutez cela à votre gong, comment les choses qui résulteront de vos exercices pourront-elles être bonnes ? » (Cinquième Leçon, Zhuan Falun)
J'ai compris que cette « base » et cet état de « ne penser à rien » ne sont atteints que lorsque je suis capable d'avoir un état de confiance profonde, sans intention, mais avec une forte volonté. Que chaque souffrance que je traverse est en réalité le plus grand cadeau pour renforcer ma confiance dans le Fa, pour comprendre que chaque sentiment ou pensée qui veut une confirmation pour se sentir valorisé est un test pour voir si je peux abandonner la peur et plutôt trouver la vraie valeur et devenir plus compatissant.
Le Maître a dit :
« Et cultiver Bouddha est précisément pour éliminer votre nature de démon et fortifier votre nature de Bouddha. » (« La nature de Bouddha et la nature de démon », Points essentiels pour avancer avec diligence)
« La nature de Bouddha de l’homme est le Shan (bonté) qui se manifeste par le Cibei (compassion), quand on fait quelque chose on tient d'abord compte d'autrui, on est capable d'endurer les souffrances. » (« La nature de Bouddha et la nature de démon », Points essentiels pour avancer avec diligence)
Je comprends maintenant que lorsque je me tourne vers l'intérieur et que je regarde les choses avec compassion, je peux dissoudre ma nature démoniaque, car l'énergie et les particules de compassion sont plus puissantes que tout le reste. Ce n'est que si j'ai de la compassion dans mon esprit que je peux me sauver et sauver les autres et que je peux dissoudre le karma qui fait obstacle à la vérité.
Lorsque je comprends et que je ressens plus de respect pour le Fa et la vie, je peux mieux apprécier l'innocence et la confiance que nous avions lorsque nous étions enfants. Cette confiance innocente ne peut être nourrie et renforcée que par une attention sincère dans une famille aux convictions justes. Cette confiance innocente est quelque chose que l'univers lui-même possède, et retrouver cette nature en moi - et la renforcer en me libérant de plus en plus de mes attachements - est ma façon de revenir à mon véritable moi. Le Maître peut nous montrer la porte mais nous devons la franchir par nous-mêmes, car personne ne peut cultiver pour quelqu'un d'autre.
Merci, vénérable Maître et compagnons de cultivation.
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Traduit de l'anglais
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