(Minghui.org) J’ai 57 ans et je suis retraitée. J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1997. J’ai été licenciée par mon employeur en 1997. Pour pouvoir subvenir aux besoins de ma famille, j’ai accepté un emploi de femme de ménage et de gardienne d’enfants, j’ai exploité une petite entreprise et j’ai élevé des cochons.
J’ai compris que quoi que je fasse, je ne dois jamais oublier que je suis une pratiquante de Falun Dafa. Je cultive et je m’applique à être gentille, tout en gardant à l’esprit ma mission de sauver les êtres. Depuis que j’ai pris ma retraite, j’aide mes beaux-parents âgés, et j’ai décidé de partager mes expériences.
Traiter mes beaux-parents âgés avec gentillesse
Mes deux beaux-parents ont 84 ans. Leur maison est assez proche de l’endroit où je vis. Ils ont tous deux une mauvaise vue. Comme ma belle-mère souffre d’une maladie cardiaque, d’une nécrose de la tête fémorale et d’autres maladies, elle doit utiliser un déambulateur ou un fauteuil roulant lorsqu’elle sort. Vu son état, elle ne peut s’occuper d’aucune tâche ménagère.
Avant que je ne commence à les soutenir, c’était toujours mon beau-père qui s’occupait de presque toutes les tâches ménagères. Ma belle-mère a une fille et deux fils plus jeunes. Je suis sa belle-fille la plus âgée. Leurs enfants viennent généralement leur rendre visite une fois par semaine, mais seulement pour bavarder. Ils les aident rarement dans les tâches ménagères, y compris le nettoyage de la maison. Dans les premiers temps, j’étais la seule à rapporter leur linge à la maison pour le laver chaque semaine.
Depuis que j’ai quitté mon travail de femme de ménage en 2016, j’aide mes beaux-parents à nettoyer leur maison, à faire leur lessive, j’emmène ma belle-mère se promener dehors, etc. Après être arrivée chez eux, je nettoie d’abord à fond leur salle de bain. Puis je lave les planchers de toute la maison. Je range également à la bonne place tout ce qui se trouve dans la cuisine, puis je nettoie toute la maison. La sœur et le jeune frère de mon mari ont dit : « C’est fantastique ! Avec cette aide, nous sommes sûrs que notre mère pourra vivre quelques années de plus. » Ils savaient tous que les personnes qui pratiquent le Falun Dafa sont très gentilles et dévouées dans tout ce qu’elles font.
Quand j’ai eu le temps, j’ai appris à ma belle-mère à réciter les phrases de bon augure : « Falun Dafa est bon ! » « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! » Elle n’est jamais allée à l’école et elle est analphabète, j’ai dû les lui apprendre mot à mot, et je lui ai dit qu’en répétant ça, cela pourrait lui sauver la vie et assurer sa sécurité.
Je lui achète toujours des vêtements. Lorsque je cuisine pour ma fille, je lui en garde souvent une partie, car elle n’aime pas ce que mon beau-père lui prépare.
Auparavant, elle devait être hospitalisée une ou deux fois par année. Mais, depuis que j’ai commencé à m’occuper d’elle et de mon beau-père, elle n’a plus besoin d’aller à l’hôpital. Ils sont toujours de bonne humeur, et par conséquent, en meilleure santé.
Ma belle-mère est constipée et avec l’aide de médicaments, elle ne défèque qu’une fois par semaine. Elle laisse des traces sur le siège des toilettes, le mur, les draps de son lit et ses vêtements. Je dois toujours regarder autour de moi pour m’assurer que je nettoie tout. Quand ils ont besoin de quelque chose, je l’achète pour eux, sans en parler à personne.
Mes beaux-parents vivent au premier étage et ont chacun leur propre chambre. Un soir, après que ma belle-mère s’est levée au milieu de la nuit, elle n’a pas pu se tenir debout. Elle est tombée par terre et n’a pas pu se relever à cause de ses problèmes aux jambes. Elle a crié pour demander de l’aide, mais même en criant fort, mon beau-père ne l’a pas entendue. Elle est donc restée sur le sol toute la nuit. Le lendemain matin, on l’a trouvée et on l’a aidée à se lever, mais ensuite, elle a refusé de se lever de son lit.
Deux jours plus tard, un parent lui a rendu visite, il s’est assis à son chevet et a parlé avec elle. Lorsque je me suis approchée de ma belle-mère, j’ai vu que son visage était pâle et que ses lèvres commençaient à trembler. J’ai dit : « Oh mon Dieu ! Maman fait une crise cardiaque ! » En entendant cela, mon beau-frère lui a apporté des médicaments. Il a sorti quelques pilules et les a rapidement mises dans sa bouche. Mais elle a commencé à trembler. Son état devenait de plus en plus grave.
Je n’ai pas eu peur du tout, j’ai tenu sa main et j’ai continué à réciter les deux phrases que je lui avais apprises. Pendant que je faisais cela, elle a soudainement ouvert les yeux et a commencé à regarder ma bouche. Puis elle a crié à haute voix : « Falun Dafa est bon ! » Mais elle ne s’est pas souvenue des autres mots ! Cela a fait rire mon beau-frère et son fils. Le lendemain, elle allait bien et était revenue à la normale.
La fille de mes beaux-parents a changé en mieux
Mon beau-père avait beaucoup de ressentiment envers sa fille, et vice versa. Une fois, il s’est plaint à moi de sa fille, et il m’a dit tout ce qu’il n’aimait pas chez elle. Au fur et à mesure qu’il s’éternisait, il devenait de plus en plus contrarié. J’ai tenté à plusieurs reprises de le persuader de ne pas s’énerver, en lui disant que ce n’était pas bon pour sa santé. Je lui ai aussi dit que le fait d’appartenir à la même famille était une relation prédestinée et que nous devions la chérir.
Sa fille est une employée de la fonction publique à la retraite. Elle est très éloquente et n’arrête pas de parler une fois qu’elle a commencé. Elle sait tout sur tout. Mais dès qu’il est question de mon beau-père, son tempérament s’enflamme. Chaque fois qu’elle apporte quelque chose à ma belle-famille, mon beau-père trouve toujours quelque chose à redire et dit que ce n’est pas bon.
Lorsque ma belle-mère prend une douche, elle a besoin du soutien de deux personnes, et ma belle-sœur vient toujours l’aider. Elle se plaint à chaque fois de mon beau-père, en disant qu’autrefois, il avait l’habitude de corriger les gens au travail en tant que manager, et qu’il fait de même à la maison. Ma belle-mère lui a dit un jour : « Pourquoi te plains-tu toujours de ton père ? Bien que ton père ait un mauvais caractère, ta belle-sœur ne se fâche jamais et ne se plaint jamais de lui. » Je lui ai aussi dit : « Combien d’années vont-ils vivre ? Chérissons le temps pendant qu’ils sont encore là. »
Une fois, alors que nous aidions toutes les deux ma belle-mère à prendre une douche, elle m’a demandé : « Traiter les personnes âgées avec gentillesse et être gentil permettra d’accumuler de la vertu et de la fortune, de sorte que nos descendants auront une bonne fortune. Est-ce que c’est ce qui est écrit dans vos livres de Dafa ? » J’ai répondu : « Notre Dafa nous demande de ne pas nous battre, de ne pas jurer et de ne pas dire du mal des gens, afin de ne pas perdre notre vertu. La bonne fortune et les biens d’une personne sont payés par la vertu. Les maladies ou les calamités sont dues au fait que l’on a commis de mauvaises actions dans le passé. »
J’ai remarqué récemment qu’elle a commencé à apporter à ses parents des raviolis chinois faits maison, alors qu’elle ne savait pas les cuisiner auparavant. Elle a aussi acheté de gros radis rouges pour mon beau-père, qui sont ses légumes préférés. En outre, elle a cessé de se disputer avec lui et d’être pointilleuse quand elle le rencontre. De plus, elle a pris les vêtements sales de sa mère après l’avoir aidée à prendre sa douche, et les a lavés chez elle. Mes actions l’ont vraiment touchée, car elle a changé et sait maintenant comment se soucier des autres.
« Elle est une belle-fille si merveilleuse, ce qui est très difficile à trouver ! »
Une fois, ma belle-mère s’est assise dehors et, en discutant avec des tantes, celles-ci lui ont dit qu’elle avait de la chance d’avoir une belle-fille aussi merveilleuse. Je m’occupe de ma belle-mère depuis cinq ans, et j’ai rarement vu les belles-filles de ces tantes leur rendre visite, et encore moins s’occuper d’elles. Ainsi, elles envient toutes ma belle-mère parce qu’elle a « une belle-fille si merveilleuse ».
C’est un vieux quartier résidentiel. Les gens qui vivent ici sont retraités de la même entreprise, et ce sont tous des septuagénaires ou des octogénaires. À cet âge, ils ont vraiment besoin de personnes pour s’occuper d’eux. J’ai clarifié les faits concernant le Falun Dafa à de nombreuses personnes âgées qui vivent ici. Parfois, lorsque je ne les vois pas, mais qu’elles me voient, elles me saluent en premier.
Un couple de septuagénaires vit juste en face de l’appartement de ma belle-mère. Aucun de mes beaux-parents n’aime se mêler à eux. La femme est diabétique, et ses deux pieds et ses deux jambes suppurent et développent des plaies. Elle a subi une mastectomie l’année dernière. Leurs pensions suffisent tout juste à couvrir ses frais médicaux. Par conséquent, ils mènent une vie difficile. Ils ont deux fils. L’aîné souffre d’une maladie mentale et ne peut pas prendre soin de lui-même. Malgré le fait qu’elle est déjà malade, elle doit prendre soin de son fils aîné et de la famille. Lorsque je travaille dans la cuisine et que je la vois marcher avec son déambulateur pour accrocher des vêtements, j’arrête ce que je fais et je vais l’aider. Cela l’a touchée et elle fait mon éloge à tous ceux qu’elle rencontre.
Une fois, je lui ai clarifié les faits. Je lui ai demandé de réciter les deux phrases de bon augure et de démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations pour la jeunesse. Je lui ai dit qu’en faisant cela, elle pourrait assurer sa sécurité et se rétablir rapidement. Elle a accepté avec plaisir. Après un certain temps, quand elle m’a vue, elle m’a dit : « Vous m’avez dit de réciter les phrases tous les jours. Maintenant, mes blessures ont commencé à guérir, et je suis de meilleure humeur qu’avant. » J’ai senti qu’elle avait plus de force.
Mme et M. Wang vivent au quatrième étage. Mme Wang a 87 ans, et M. Wang a 91 ans. M. Wang n’est pas en bonne santé et il est souvent hospitalisé. Comme il était cadre, ses frais médicaux sont couverts par son entreprise. Mme Wang fait de l’hypertension. Lorsque je la vois porter ses achats à l’étage avec beaucoup de difficultés, j’arrête immédiatement ce que je fais et je l’aide à porter ses courses au quatrième étage, tout en lui demandant de prendre son temps et de marcher lentement. Une fois, elle m’a vue, mais elle ne s’est pas arrêtée pour m’attendre. Je l’ai donc rattrapée et lui ai demandé : « Mme Wang, où allez-vous aujourd’hui ? » Elle a répondu : « Je ne veux pas vous déranger. Ce serait trop d’ennuis pour vous. » J’ai dit : « Je vais bien. Ça ne me prend pas beaucoup de temps pour monter, mais à vous, cela vous prend beaucoup de temps. »
Une fois, en rentrant chez moi, j’ai vu que M Wang m’attendait à l’intersection. Il a dit que comme j’aidais souvent Mme Wang, il estimait qu’ils me devaient beaucoup. Puis, il a sorti 300 yuans de sa poche pour me les donner. J’ai dit : « Comment puis-je prendre cela ? C’est ce que je suis censée faire. On devrait s’entraider, c’est comme ça. » Il m’a répondu : « Si vous ne le prenez pas, alors je ne veux plus vous parler. » Mais j’ai fermement refusé.
J’ai déjà clarifié les faits à M. Wang et lui ai donné un exemplaire des Neuf commentaires sur le Parti communiste. Mon beau-père et lui travaillaient dans la même usine. Il était le secrétaire du comité du PCC, j’ai donc pensé qu’il devait être membre du Parti. Alors, j’ai profité de cette occasion pour lui clarifier à nouveau les faits. Comme précédemment, il a essayé de m’empêcher de parler du PCC. Comme il connaissait aussi des choses louches sur le PCC, je pouvais sentir qu’il était plutôt effrayé. Je savais aussi qu’il y a aussi une chose que je devais absolument faire, c’était de lui clarifier la vérité davantage, car je ne voulais pas l’abandonner. J’ai décidé que j’essaierais de le sauver à nouveau plus tard.
L’ancien président de l’usine et sa femme vivent au deuxième étage. M. Liu a 87 ans, tandis que Mme Liu a 89 ans. Mme Liu achète plus de 136 kilos de choux chinois chaque année. Je les aide toujours à sortir le chou pour le faire sécher au soleil, avant de l’apporter dans leur appartement. J’ai aidé M. Liu à démissionner du PCC et de ses organisations pour la jeunesse. Je lui ai aussi donné plusieurs fois des documents de clarification de la vérité. Je sens qu’il a vraiment compris la vérité au plus profond de lui-même. Chaque fois qu’il me voit, même de loin, il me salue.
Les feuilles mortes tombent constamment dans le couloir du rez-de-chaussée. Je dois les balayer presque tous les jours. Quand l’habitant du quatrième étage a vu cela, il a raconté à ma belle-mère ce que je faisais. Une fois, je balayais le sol. Aussitôt qu’il m’a vue, il a levé son pouce et a dit : « Vous êtes impressionnante ! » Je lui ai alors demandé s’il avait déjà entendu parler de démissionner du PCC. Il m’a répondu que son collègue l’avait déjà aidé à le faire. Il a dit : « J’admire vraiment les pratiquants de Falun Gong. Vous êtes très gentils. Vous pouvez endurer les difficultés tout en étant très discrets. »
Un jour, en me rendant chez ma belle-mère, j’ai vu une dame qui tenait quelques choux chinois d’une main, tout en tenant plus de cinq kilos de porc et de côtes de porc de l’autre main. Quand j’ai vu qu’elle avait du mal à les soulever, je suis allée vers elle et je l’ai aidée. Elle a été très touchée. Je lui ai demandé : « À quoi servent ces provisions ? » Elle m’a répondu : « Mes parents âgés ont du mal à descendre pour faire leurs courses. Je dois travailler, alors il m’est difficile de toujours aller les voir. Maintenant, j’ai trouvé le temps d’y aller pour leur apporter ces provisions. Je vais devoir courir au travail après cela. » Je lui ai donné un coup de main pour porter ses courses à la station de bus voisine. Comme elle avait peu de temps, je n’ai pas pu lui expliquer les faits, mais je lui ai dit de se souvenir des deux phrases de bon augure. Elle m’a dit qu’elle allait le faire et elle m’a remerciée.
Un matin, en mettant mes ordures dans la poubelle, j’ai vu qu’il y avait des ordures à côté de la poubelle. Je me suis penchée pour ramasser les ordures et les mettre dans la poubelle. Puis j’ai enfourché mon vélo, prête à partir. À ce moment-là, une dame âgée est arrivée derrière moi, en me félicitant d’être une personne formidable. Elle a poursuivi avec beaucoup d’émotion : « Bon travail ! » Je lui ai alors dit : « S’il vous plaît, rappelez-vous : “Falun Dafa est bon !” “Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon !” C’est la loi du Bouddha ; je cultive la bouddhéité. » Cette petite affaire de ramassage d’ordures n’est rien. Mais on peut imaginer qu’à notre époque où la moralité est aussi basse, il n’y a presque plus personne prêt à le faire. »
Un jour, alors que je quittais la maison de ma belle-mère et que j’étais en vélo électrique, j’ai vu des cyclistes quitter la piste cyclable pour s’engager sur la route principale. J’ai alors vu qu’il y avait un obstacle sur la piste cyclable. Je me suis arrêtée rapidement, j’ai ramassé l’objet et je l’ai jeté dans la poubelle. Les gens ont recommencé à utiliser la piste cyclable. Pour avoir fait une chose aussi insignifiante, les passants m’ont tranquillement jeté un regard admiratif. Puis j’ai repris mon vélo et je suis partie.
Une autre fois, alors que je lavais du linge dans la cuisine, j’ai entendu des dames de l’extérieur dire qu’il y avait un tas de crottes de chien sous la pompe à eau et que personne ne voulait y puiser de l’eau. Lorsque j’ai ouvert la moustiquaire et que j’ai regardé dehors, il y avait effectivement quelqu’un qui allait chercher de l’eau. Dès qu’il a vu ce qu’il y avait par terre, il a fait demi-tour et est parti ailleurs. J’ai pris un carton et j’ai ramassé la crotte. En voyant cela, les dames assises à l’entrée de l’immeuble sont restées sans voix. Ma belle-mère était aussi présente. Je les ai entendues me complimenter devant ma belle-mère : « Elle est une belle-fille si merveilleuse, ce qui est très difficile à trouver ! »
J’ai eu une pensée : C’est seulement parce que je pratique Falun Dafa que je peux faire cela. Ainsi, j’ai été capable d’élever mon niveau de cultivation dans Dafa. J’ai vraiment senti que mon xinxing s’était élevé sans que je m’en rende compte.
Ce n’est qu’une petite partie de mon chemin de cultivation. Je n’ai rien fait de sensationnel, et je dois encore m’élever dans de nombreux domaines. Je continuerai à écouter le Maître, c’est certain, et à me mesurer au critère de Dafa. Pour conclure, j’espère que mes compagnons de cultivation pourront tous faire un pas en avant et faire mieux dans le peu de temps qu’il reste, afin de sauver davantage d’êtres.
Traduit de l’anglais
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