(Minghui.org) La conférence de partage d’expériences de cultivation du Falun Dafa 2022 pour les pays nordiques a eu lieu le 6 novembre 2022 à l’hôtel Elite de Park Avenue à Göteborg, en Suède.

Des pratiquants de Suède, du Danemark, de Finlande, de Norvège et du Royaume-Uni ont participé à la conférence. Quinze pratiquants sont montés sur scène pour prendre la parole et raconter comme ils ont fait passer les autres en premier et élevé leur caractère en participant à divers projets et dans leur vie quotidienne. Parmi eux, on retrouvait des pratiquants qui cumulaient vingt-sept ans de pratique et d’autres seulement deux ans.

Le 6 novembre 2022, une conférence organisée par les pratiquants a eu lieu à Göteborg en Suède.

Les pratiquants partagent leurs expériences de cultivation et pratique.

Parler du Falun Dafa à des collègues chinois

Avant de prendre sa retraite, M. Choo, un pratiquant suédois, travaillait dans une grande entreprise et avait des collègues ou des visiteurs de Chine. Dans son partage, il a expliqué qu’il voulait leur parler du Falun Dafa et de la persécution du Parti communiste chinois (PCC). Mais il sentait que c’était difficile parce que la plupart des Chinois ont subi un lavage de cerveau à cause des calomnies et de la propagande du PCC à l’encontre du Falun Dafa. M. Choo et les autres pratiquants qui travaillaient pour l’entreprise ont discuté de la situation et ont décidé de commencer par changer les incompréhensions de leurs collègues.

Lui et les autres pratiquants ont approché leurs collègues de manière proactive, ils ont interagi avec eux conformément à une bonne éthique professionnelle et aux normes sociales du travail, et les ont aidés lorsqu’ils rencontraient des difficultés. Petit à petit, leurs collègues chinois ont appris l’existence du Falun Dafa, se sont sentis à l’aise avec les pratiquants et ont accepté de les approcher. Ils ont également voulu en savoir plus sur le Falun Dafa et ont pris l’initiative de rechercher des informations sur la persécution. Lorsque Shen Yun s’est produit en Suède, certains d’entre eux sont allés à Stockholm pour assister aux représentations.

Il a dit que les collègues chinois qui ont appris l’existence du Falun Dafa ont changé d’opinion. L’un d’eux a dit : « J’avais des opinions négatives sur le Falun Dafa, mais après avoir appris à vous connaître, j’ai complètement changé. » Un autre a dit qu’il avait regardé sur Internet une analyse vidéo de la fausse histoire des auto-immolations à Tiananmen mis en scène par le PCC. Un autre encore a dit : « C’est touchant que les Suédois puissent comprendre et pratiquer le Falun Dafa. »

Être responsable en travaillant pour Epoch Times

Sissel, venant de Norvège, pratique le Falun Dafa depuis de nombreuses années. On lui a récemment demandé d’aider à relire des articles pour Epoch Times norvégien. Au début, elle trouvait que la charge de travail était exigeante, chronophage et trop difficile.

Elle n’aime pas particulièrement offenser les gens, mais elle doit parfois renvoyer des articles de mauvaise qualité aux traducteurs. Elle a dit : « J’étais bouleversée quand cela arrivait, car je n’aime pas offenser les gens. Je veux être aimée et je n’aime pas faire des choses qui rendent les gens malheureux. »

Sissel a essayé de changer sa conception et d’abandonner cet attachement humain. Elle a réalisé que les êtres devaient être mis à la place centrale. Elle a dit : « Dans l’optique de sauver les gens, même si nous ne sommes pas des professionnels, nous devons quand même faire de notre mieux pour faire du bon travail. En lisant les articles, je dois me concentrer sur leur effet et non sur le risque d’offenser quelqu’un. Ces articles sont destinés à réveiller les gens. En les lisant, les lecteurs gagneront en confiance et en crédibilité envers Epoch Times. »

Identifier les attachements tout en participant à l’exposition artistique

Janett, de Suède, a commencé à pratiquer le Falun Dafa il y a deux ans. Dans les premiers jours après le début de sa pratique, elle a dit que l’exposition l’Art de Zhen Shan Ren (Authenticité-Bienveillance-Tolérance) l’avait émue. Elle a été attirée par les informations reflétées dans les peintures, et a donc eu le souhait de rejoindre le groupe responsable de l’exposition artistique.

Plus d’un an plus tard, elle a rejoint le projet d’exposition artistique. Janett était ravie que son souhait se réalise. En même temps, elle était mal à l’aise parce qu’elle avait peur de ne pas en savoir assez sur l’œuvre d’art pour informer les visiteurs et d’être gênée si elle ne le faisait pas bien.

Au début, elle se cachait dans les coulisses et n’osait pas sortir pour guider les visiteurs, jusqu’à ce qu’un compagnon de cultivation la pousse en avant, ce qui l’a obligée à faire une percée. Elle a découvert que ces obstacles venaient en fait d’elle-même.

Janett a également commencé à changer son état d’esprit. Elle a abandonné la pensée que se lever tôt pour faire les exercices affecterait son travail en raison du manque de sommeil. Elle a décidé de renforcer sa volonté et d’éliminer les obstacles qu’elle avait elle-même fixés.

Elle a dit : « Maintenant, je pratique les exercices et je lis le Fa tous les jours. Je commence généralement à 4 h 20 du matin. Ensuite, deux autres pratiquants et moi lisons le Fa. Le plus important pour moi est de pratiquer les exercices et d’étudier le Fa tous les jours, ce qui est très différent de ce que j’avais l’habitude de faire. »

Les participants se comparent dans l’étude et la cultivation pour avancer avec diligence

Les expériences de cultivation partagées par d’autres pratiquants ont donné aux participants l’occasion de comparer leur façon de lire le Fa et leur façon de se cultiver. Tous ont dit qu’ils espéraient profiter du temps limité pour pratiquer avec diligence.

Ravichandra Kollu pratique depuis deux ans et demi. En 2018, après avoir lu le Zhuan Falun, le livre principal du Falun Gong, il a commencé à pratiquer. Kollu a déclaré qu’écouter les partages des autres pratiquants pendant la conférence l’a inspiré. Il a également parlé de son récent relâchement dans la cultivation et le fait d’assister à la conférence l’a motivé à s’améliorer.

Emily, venant de Finlande, a dit : « La conférence est une bonne occasion pour tout le monde de s’élever dans sa cultivation. »

Robert, venant de Norvège, a dit qu’il avait été inspiré par un pratiquant qui disait s’entendre avec des collègues déraisonnables, en passant de la patience avec les attachements humains à l’indifférence totale, pour finalement créer un environnement de travail paisible.

Il a dit : « J’ai rencontré une situation similaire dans mon travail. Face à un supérieur pointilleux, j’ai réalisé que je devais regarder à l’intérieur. J’ai remarqué que j’avais beaucoup d’attachements. Comme je me souciais de ma réputation, je voulais toujours être impeccable. L’idée de fournir un travail parfait m’angoissait. Depuis que j’ai abandonné ces obsessions, je peux toujours faire de mon mieux pour que le travail soit bien fait. Comme mon supérieur est devenu moins pointilleux, notre relation est devenue plus paisible. »

Robert compte travailler dur sur sa cultivation à l’avenir : « Je vais prendre de bonnes habitudes, établir un horaire, me lever tôt pour pratiquer les exercices, et faire que chaque jour soit plus efficace. Je vais abandonner mon attachement au confort et à l’inertie. »

Traduit de l’anglais