Cinq heures durant, j’ai clarifié la vérité dans un poste de police

(Minghui.org) Depuis 1997, je pratique et cultive le Falun Dafa. J’aimerais partager quelques-unes de mes expériences de cultivation de ces deux dernières années.

Mes états mental et physique se sont améliorés quand j’ai suivi le Maître et le Fa

L’année dernière, je me suis trouvé devant un énorme « test », mais j’ai continué à faire les trois choses que Maître Li (le fondateur du Falun Dafa) requiert de nous, malgré de grandes souffrances. À la suite de cela, mon esprit et mon corps se sont améliorés et l’environnement autour de moi a aussi changé positivement.

Lors du Nouvel An chinois, tout d’un coup, je ne pouvais plus rester debout ni allongé à cause d’une douleur atroce. Je pouvais seulement m’asseoir. J’ai donc fait le cinquième exercice, la méditation assise du Falun Dafa. Pendant deux jours et deux nuits, j’ai émis la pensée droite, médité et étudié le Fa. Je ne pouvais pas dormir parce que tout mon corps me faisait mal et c’était particulièrement intense au niveau de mes fesses et de mes jambes.

Faire la méditation assise était extrêmement douloureux. Je me suis souvenu des paroles du Maître :

« C’est difficile à endurer, mais on peut l’endurer, c’est difficile à faire, mais on peut le faire. » (Neuvième Leçon, Zhuan Falun)

Je suis resté assis pendant deux jours et deux nuits entiers, et j’ai enduré. Ensuite, j’ai pu me coucher pendant quelque temps. Mais je n’ai pas beaucoup dormi puisque je voulais continuer à faire le cinquième exercice, étudier le Fa et émettre la pensée droite.

Quand j’ai pu me lever, j’ai fait la première, la troisième et la quatrième série d’exercices. La douleur que j’ai ressentie était si intense que j’ai transpiré à un point tel que mes sous-vêtements sont devenus moites. Quand j’ai fait le deuxième exercice, j’ai eu l’impression que mes fesses étaient comme une pierre tombant vers le bas. J’avais très mal et je pouvais à peine le supporter. Pourtant, je savais que ce n’était qu’une illusion. Je ne reconnaissais pas ce que je ressentais. Au fond de mon cœur, j’ai déclaré : « Ce n’est pas douloureux du tout ! Aucune douleur ! Aucune douleur ! » Ensuite, j’ai entendu trois bruits très forts et j’ai vu que trois morceaux d’une substance grisâtre de la forme de mes fesses sont tombés par terre. En un instant, toute la douleur à cet endroit était partie. J’ai remercié le Maître dans mon cœur. Je savais que le Maître m’avait enlevé les mauvaises matières.

Pourtant, mes jambes étaient encore extrêmement douloureuses. Chaque pas me faisait mal. Monter ou descendre les escaliers était particulièrement inconfortable. Malgré la douleur, je suis quand même sorti pour clarifier la vérité et distribuer les documents dans les quartiers résidentiels voisins. Au début, je haletais à chaque pas et marchais lentement, alors je ne sortais que la nuit pour distribuer des dépliants. Chaque fois que je rencontrais des escaliers, il fallait que je me tienne à la rampe pour me soutenir.

Chaque nuit, quand je rentrais, mes vêtements étaient trempés de sueur. Petit à petit, mes jambes sont devenues de plus en plus légères. J’ai pu couvrir tout mon quartier résidentiel, ainsi que les quartiers environnants. Ensuite, je suis allé dans des quartiers un peu plus éloignés pendant la journée et j’ai parlé aux gens du Falun Dafa et de la persécution. J’ai aussi aidé quelques personnes à démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations pour la jeunesse.

Grâce au Maître qui m’a rendu plus fort, j’ai pu traverser ce que je crois être une démonstration illusoire du karma de maladie. Mon corps et mon esprit se sont améliorés, ainsi que l’environnement autour de moi.

Cinq heures durant, parler de Dafa avec des policiers

En mai 2020, je me suis rendu dans un faubourg qui était à 30 km de chez moi pour y parler avec les gens du Falun Dafa. Un policier en civil m’a demandé un dépliant. Je lui en ai donné un et je lui ai dit la raison pour laquelle il devrait démissionner du PCC et la façon de le faire. Peu de temps après, un groupe de policiers est arrivé et ils m’ont traîné jusqu’au poste de police. J’ai crié de toutes mes forces : « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! »

J’ai crié parce que je voulais que le Maître m’aide à ne pas laisser ces policiers commettre des crimes contre Dafa, et je voulais aussi faire connaître la vérité aux passants.

Au poste de police, on m’a poussé sur une chaise, menotté et interrogé. Les policiers m’ont posé des questions à tour de rôle sur mon âge, mon nom et d’autres informations personnelles. J’ai dit à un policier : « Ce que vous faites est un interrogatoire illégal. Ce que vous faites est illégal. Vous devriez penser à vous-même et à votre famille et, au contraire, accumuler de la vertu. Le Falun Dafa est une grande voie de cultivation de l’école de Bouddha. Je vous parle des faits afin que vous ne soyez pas affecté quand la grande catastrophe arrivera. Vous me traitez comme une mauvaise personne. J’ai presque 80 ans. Ne ressentez-vous pas de la culpabilité dans votre cœur ? Je vois que vous enregistrez l’ensemble du processus aujourd’hui. La vidéo sera la preuve de vos crimes à l’avenir. »

Le policier a pris mes empreintes digitales, m’a fait une prise de sang et m’a pris en photo.

Je leur ai clarifié la vérité pendant les cinq heures qu’il a fallu pour que l’ensemble du processus se déroule. Pour finir, un policier m’a dit : « Vous pouvez partir. » Ensuite, je suis sorti du poste de police. Plus tard, j’ai réalisé qu’ils avaient appris un grand nombre de choses qu’ils devaient savoir.

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Traduit de l’anglais