Israël : Célébration de la Journée mondiale du Falun Dafa sur le Boulevard Rothschild à Tel Aviv

(Minghui.org) Le vendredi 13 mai 2022, les pratiquants de Falun Dafa d’Israël ont investi le boulevard Rothschild à Tel Aviv pour célébrer la Journée mondiale du Falun Dafa et marquer le 30^e anniversaire de la présentation du Falun Dafa au public.

La pratique des exercices sur le boulevard Rothschild

Le Falun Dafa est une méthode pour le corps et l’esprit comprenant de la méditation et des exercices, et aussi de cultiver son esprit selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Des millions de gens de par le monde qui le pratique sont devenus de meilleures personnes, plus attentionnées et plus respectueuses. Il n’y a qu’en Chine que ses pratiquants sont violemment persécutés. Ils sont arrêtés, incarcérés et leurs organes sont prélevés pour l’industrie des greffes de la Chine.

Le soleil semblait ajouter au rayonnement du groupe de pratiquants. Des fleurs jaunes s’épanouissant semblait honorer l’occasion. Les passants ont admiré la beauté et l’atmosphère paisible créées autour des pratiquants ainsi que la jolie musique. Beaucoup se sont arrêtés pour prendre des photos.

Les pratiquants ont distribué des brochures aux passants et les gens ont signé une pétition pour mettre fin à la persécution.

Les pratiquants éveillent les consciences

Les gens signent une pétition pour faire cesser la persécution

Reconnaissance officielle

M. Mossi Raz membre de la Knesset a fait parvenir un message de félicitations pour honorer cet évènement :

« Pendant de nombreuses années, le monde est resté silencieux face aux violations des droits de l’homme en Chine en général et en particulier concernant les violations des droits de l’homme à l’encontre des pratiquants de Falun Gong. Ces violations sont des crimes impardonnables.

« Nous demandons au gouvernement chinois de mettre fin à la persécution criminelle des pratiquants du Falun Gong... d’autoriser la liberté de croyance et de culte, et de garantir les droits de l’homme aux pratiquants de Falun Gong qui se battent pour leur liberté.

« Ces dernières années, nous avons entendu parler de l’horrible prélèvement d’organes. C’est l’un des crimes les plus graves de l’histoire ... Nous demandons au gouvernement chinois de mettre fin aux prélèvements d’organes, de cesser la persécution du Falun Gong, de libérer tous ses membres des prisons et d’autoriser la liberté de parole et d’action. »

Irit Kohn, ancien chef du Service international du Bureau du procureur d’État, a dit :

« Je suis un procureur à la retraite. J’ai été à la tête du Service international du Bureau du procureur d’État, et j’ai été le président d’une organisation internationale d’avocats juifs et d’avocats des droits de l’homme. C’est là que j’ai entendu parler des prélèvements d’organes sur des personnes vivantes et de la persécution en Chine pour la première fois.

« J’ai fait partie d’une délégation israélienne lors d’une conférence internationale d’avocats, qui a eu lieu en Chine. Nous étions au courant à propos des procès, des exécutions et des meurtres qui ont eu lieu sur la place Tiananmen. Nous avons été explicitement enjoints à ne pas discuter de ce que nous savions sur les violations des droits de l’homme en Chine. Lors de la conférence, nos homologues chinois ont évoqué l’ancien passé culturel partagé par les Chinois et le peuple Juif, mais à chaque vote au sein de l’ONU, la Chine a voté contre l’État d’Israël.

« Je n’avais jamais entendu parler des prélèvements d’organes jusqu’à ce jour. C’est horrible. Vous faites un travail remarquable et devriez soulever cette question partout où c’est possible, parce que prélever des organes d’une manière aussi systématique tout en faisant fortune est une violation de tout premier ordre des droits de l’homme. »

Des pratiquants partagent leur histoire

Nurit Anati, pratiquante de Falun Dafa, a dit : « J’ai commencé à pratiquer en 2013. J’étais alors en pleine crise physique et émotionnelle. J’avais une mystérieuse maladie que les médecins n’ont pas pu diagnostiquer. Je n’ai pas pu sortir de mon lit pendant plusieurs mois. Tous les examens, tous les traitements et suppléments que je prenais n’ont rien arrangé. J’étais désespérée. Et par-dessus tout cela, je ne pouvais pas faire face à la souffrance que je rencontrais dans mon travail et avec le fait que le monde est plein de souffrances.

« J’ai grandi dans une famille athée et n’arrivais pas à réconcilier l’athéisme et mon sentiment qu’il y avait quelque chose au-delà de ce que l’on peut voir. Un ami m’a parlé du Falun Dafa et m’a enseigné les exercices, et c’est ainsi que j’ai commencé. Après deux semaines, j’étais sur pied et suis retournée travailler.

« Tous les aspects de ma crise ont été résolus, et il m’a été donné la force de faire face à la souffrance. Je sais aujourd’hui ce que signifie la vie, et je parviens à combler le fossé entre ma compréhension scientifique du monde et ma connaissance qu’il existe une réalité au-delà. Je n’ai plus de conflit interne.

« Il a toujours été évident pour moi que le but dans la vie est d’être une personne meilleure. C’est plus simple que je ne le pensais : Authenticité-Bienveillance-Tolérance est ma boussole. »

Nurit pratiquant l’exercice de méditation

Daniela, une soldate, a pris une photo et a dit :

« Cela semble vraiment très beau et intéressant. »

Elle a appris que l’on peut apprendre le Falun Dafa gratuitement en Israël.

Shmuel, un employé dans la restauration a dit : « Je veux devenir pratiquant. J’admire le Falun Dafa. Il s’agit de reconnaître ce que nous avons à faire pour éviter d’être happés par les préoccupations de la vie. »

Shmuel veut pratiquer.

Polina, une pratiquante qui a participé à l’organisation de l’activité, a dit : « Au début, je ne savais pas comment appliquer le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance.

« Quatorze ans ont passé depuis que j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa. La pratique m’a donné un moyen de me développer et de grandir en tant que personne. J’ai toujours aspiré à être une meilleure personne, mais je ne savais pas comment faire. Ce n’est que quand j’ai commencé à pratiquer que j’ai réalisé en profondeur ce que “bon” veut dire. Authenticité-Bienveillance-Tolérance sont des mots magiques qui m’accompagnent et emplissent ma vie d’une signification renouvelée chaque jour. Même ma mère dit que je suis devenue plus patiente. »

Traduit de l’anglais