(Minghui.org) Le Parti communiste chinois (PCC) a lancé la campagne « Plan Zéro » pour harceler les pratiquants de Falun Dafa, en essayant de forcer ceux figurant sur la liste noire du gouvernement à renoncer à leur croyance. Au cours des deux dernières années, la police et le comité de quartier m’ont harcelé à plusieurs reprises. Avec la protection et les conseils bienveillants de Maître Li, le fondateur du Falun Dafa, je me suis débarrassé de nombreux attachements, je me suis rectifié et j’ai fait preuve de bonté envers ces personnes. Comme j’ai changé mes conceptions et satisfait aux exigences de Dafa, le Maître m’a aidé à résoudre mes tribulations.
J’ai plus de 70 ans et j’ai commencé à cultiver Dafa en 1997. Je n’ai pas bien réussi à clarifier la vérité auprès de la police et d’autres personnes qui travaillent pour le PCC, parce que j’avais de forts attachements de ressentiment et de peur. Je pensais qu’ils étaient si profondément empoisonnés par les mensonges et la propagande du Parti qu’ils ne pouvaient pas être sauvés, et que cela pourrait aggraver la persécution contre moi si je leur parlais du Falun Dafa, sans parler d’essayer de les sauver. Beaucoup d’entre eux n’étaient cependant pas ignorants des faits et savaient très bien que le Parti était mauvais, mais ils le suivaient quand même par intérêt personnel. Ils savaient distinguer le bien du mal, mais choisissaient quand même de faire de mauvaises choses.
Chaque fois que les autorités venaient me harceler, je le supportais parce que je sentais que je ne pouvais rien faire d’autre. Plus le harcèlement était fréquent, plus mon ressentiment et ma peur devenaient forts.
Je réalise maintenant que le ressentiment et la peur étaient les principales raisons pour lesquelles je suis devenu une cible de la campagne « Plan zéro ». Après avoir étudié le Fa du Maître au sujet de cette question et lu des articles de partage des pratiquants sur Minghui.org, j’en suis venu à comprendre que la police et les autres sont aussi tous des parents du Maître, ainsi que nos parents. Nous ne devons pas avoir peur d’eux, mais plutôt les sauver.
Cependant, à cause de ma peur, je poussais ces gens du côté opposé. Les forces anciennes ont exploité mes lacunes et ont envoyé la police pour m’arrêter. Un pratiquant doit se débarrasser de son ressentiment. Nous cultivons Authenticité-Bienveillance-Tolérance et nous devons être bons avec les autres et les aider.
Une fois que j’ai compris cela, j’ai élevé mon xinxing. Le Maître m’a enlevé l’attachement au ressentiment et à la peur et m’a laissé avec un cœur bienveillant. Alors j’ai pu parler de Dafa à ces personnes et aider à les sauver lorsqu’elles sont venues plus tard me harceler.
Une dizaine d’agents sont venus chez moi et ont saccagé mon domicile. Ils m’ont retenu au salon. J’ai pensé : « Ils sont ici pour connaître le Falun Dafa. Mon cœur s’est calmé. J’ai prié le Maître de les sauver et de dissoudre les facteurs des forces anciennes qui interféraient avec eux. Dès ce moment, j’ai senti que je voulais vraiment du bien à ces policiers.
Étrangement, aucun d’entre eux n’a parlé pendant que j’émettais la pensée droite. J’ai pensé qu’ils étaient tous partis, mais lorsque j’ai ouvert les yeux, ils étaient toujours là. J’ai commencé à leur parler de Dafa. Je leur ai dit que pratiquer le Falun Dafa est légal et je leur ai parlé de la mise en scène des auto-immolations de la place Tiananmen.
Je leur ai dit que tout ce que font les pratiquants est légal, et ce qu’ils font aux pratiquants est illégal. Ils n’étaient pas en uniforme de police, ne portaient pas de badges et ne voulaient pas me dire leurs noms. Cela montrait qu’ils savaient qu’ils étaient entrain de faire quelque chose de mal.
Ils m’ont emmené au poste de police et m’ont interrogé. J’ai simplement émis la pensée droite, et j’ai continué à leur parler de Dafa et n’ai pas répondu à leurs questions. Je leur ai dit en souriant : « Je fais cela pour votre salut, pour ne pas vous laisser commettre de crimes. Persécuter les pratiquants, c’est persécuter la Loi de Bouddha. C’est un immense crime qui vous causera du tort à vous et à votre famille. » Je suis sûr qu’ils ont senti ma sincérité, car ils ont arrêté de m’interroger et m’ont libéré la nuit même.
J’ai regardé à l’intérieur pour savoir pourquoi ils voulaient m’interroger. En plus de mes attachements au ressentiment et à la peur, je ne cultivais pas solidement et ne cultivais pas ma parole. Je croyais être supérieur aux autres et n’acceptais pas la critique. Lorsque je rencontrais des problèmes, je regardais à l’extérieur.
Dans cette campagne « Plan Zéro », j’ai senti que le Maître tenait tout le temps ma main, me donnant l’impulsion de changer mes conceptions. J’ai vraiment réalisé que la relation entre la police et nous n’était pas celle des persécuteurs et des victimes, mis plutôt celle de ces êtres à sauver et de leur sauveur. Les policiers sont ceux qui ont été trompés par le PCC et qui ont donc participé à la persécution. Nous devons les sauver avec un cœur bienveillant, plutôt que d’avoir du ressentiment à leur égard.
Le Maître a dit :
« Les disciples de Dafa sont déjà devenus le seul et unique espoir pour que les êtres soient sauvés » (« La pensée droite », Points essentiels pour avancer avec diligence III)
Les forces anciennes ont voulu utiliser la campagne « Plan Zéro » comme excuse pour persécuter les pratiquants. Le Maître a saisi cette opportunité pour que les pratiquants s’élèvent. Les pratiquants aident la police et d’autres travaillant pour le PCC à savoir qu’il est légal de pratiquer le Falun Dafa, ainsi ils choisiront de ne pas persécuter les pratiquants. De cette façon, ils ont la chance d’être sauvés. Si nous ne leur clarifions pas les faits sur le Falun Dafa, ils pourraient être éliminés avec le PCC.
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Traduit de l’anglais