(Minghui.org) En tant que pratiquant de Falun Dafa vivant en Chine, j’ai été contraint de quitter mon domicile pour éviter d’être encore davantage persécuté. Un ami m’a alors recommandé de trouver un emploi de concierge dans son entreprise.
Alors que j’expliquais les faits concernant la persécution à mes collègues, quelqu’un m’a signalé au directeur de l’entreprise. Le directeur m’a dit qu’il était chargé de la persécution des pratiquants de Falun Dafa sur son lieu de travail précédent et qu’il avait coopéré avec la police pour effectuer des rafles au domicile des pratiquants. J’ai émis la pensée droite et lui ai dit quelques vérités sur la méthode. Il n’a rien dit d’autre. Il a ensuite appelé mon ami pour savoir d’où je venais et a demandé si j’étais un pratiquant de Dafa. Mon ami a répondu : « Comment le saurais-je, pourquoi demandez-vous cela ? » Le directeur n’a pas répondu.
Après le travail, je me suis rendu directement chez une pratiquante et lui ai demandé d’émettre la pensée droite avec moi afin d’éliminer tous les facteurs pervers qui interféraient avec le directeur. La pratiquante, qui venait juste de recommencer à cultiver après avoir arrêté pendant un certain temps, m’a dit de le faire par moi-même. J’ai pensé que le Maître avait utilisé la pratiquante pour me rappeler que je ne devais pas compter sur les autres. Auparavant, à cause de ma peur d’être persécuté, chaque fois que j’avais un problème, la première chose que je faisais était de chercher de l’aide auprès des autres. Cette fois-ci, ce n’était pas approprié, car chercher de l’aide à l’extérieur ne permet pas de se cultiver. Il faut se changer soi-même à partir de son essence.
Le Maître a dit :
« Si vous ne changez pas le principe humain qui a été formé dans le for intérieur des gens ordinaires depuis des millénaires, vous ne pourrez vous défaire de la carapace à la surface de l’être humain, ni donc parvenir à la parfaite plénitude. » (« Les mots avertisseurs », Points essentiels pour avancer avec diligence)
Lorsque de réelles difficultés surviennent, je ne peux compter que sur le Maître et Dafa. Après le travail, j’ai copié à la main une partie du Fa, puis j’ai émis la pensée droite pour éliminer les mauvais facteurs qui interfèrent avec le salut des êtres et j’ai continuellement regardé à l’intérieur. J’ai également reconsidéré mes pensées depuis le début de mon travail et j’ai cherché dans mon comportement ce qui n’était pas conforme aux principes de Dafa.
J’ai réalisé que chaque matin, en arrivant au travail, la première personne que je rencontrais était le directeur. Je le saluais avec un sourire et lui étais reconnaissant. J’étais sous le choc. N’est-ce pas le résultat de mon attachement à la complaisance et aux émotions ? Je devrais être reconnaissant envers le Maître. Les autres personnes ne sont pas concernées par Dafa.
Le directeur était très strict, et tout le monde avait peur de lui. Quand j’étais au troisième étage, il me criait souvent dessus depuis le deuxième étage. Je répondais bruyamment, ou parfois je marchais derrière lui et chuchotais « Directeur, vous m’avez appelé, qu’est-ce qu’il y a ? » pour l’embêter délibérément.
J’ai découvert que j’avais la mentalité de me battre comme le préconisait le Parti communiste chinois (PCC). Je savais que je devais corriger mon comportement immédiatement. La fois suivante où le directeur a crié mon nom, je suis descendu et j’ai répondu calmement. Son attitude a changé immédiatement, comme s’il était une autre personne. Il m’a dit : « Il y avait une flaque d’eau sur le sol, mais maintenant elle est partie, donc pas besoin de faire quoi que ce soit. » Après m’être rectifié, il a aussi changé !
J’émettais la pensée droite dans ma chambre du quatrième étage quand un membre du personnel a frappé à la porte. Je lui ai demandé ce qu’il voulait, et il a répondu qu’il ne faisait que passer. Je savais qu’il travaillait au troisième étage, il était donc peu probable qu’il se trouve au quatrième étage sans raison. Je me suis senti effrayé et stressé, et j’ai soupçonné qu’il avait été envoyé pour m’espionner. Bien que rien ne se soit passé, j’ai eu tellement peur que j’ai voulu quitter l’entreprise. Je me suis alors dit : « Si je pars, qu’en sera-t-il des nombreuses personnes qui travaillent ici et qui n’ont pas été sauvées ? Je devrais me calmer et regarder à l’intérieur. » J’ai donc passé le reste de la journée à regarder à l’intérieur de moi afin de trouver mes propres lacunes.
Peut-être que le Maître a vu que j’étais lent à réaliser qu’il avait implanté dans mon esprit l’histoire de « soupçonner mon voisin d’avoir volé une hache » pour souligner que j’avais l’attachement de la suspicion. Une fois que j’ai réalisé cela, le Maître a immédiatement retiré la mauvaise substance. Merci Maître de m’avoir aidé à passer mon épreuve. J’ai instantanément ressenti un soulagement, comme si rien ne s’était passé.
J’ai finalement travaillé plusieurs années dans cette entreprise. Que je clarifie la vérité sur le lieu de travail ou ailleurs, le directeur était toujours heureux de me voir le faire. De nombreux membres du personnel ont appris la vérité et ont été sauvés par la miséricorde compatissante du Maître.
Traduit de l’anglais
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