(Minghui.org) De nombreuses personnes en Chine ont été infectées par la COVID depuis le début décembre 2022 et mes proches ne font pas exception. Voici quelques histoires.

Mon mari

Mon mari n’est pas un pratiquant de Falun Gong. Cependant, au cours des deux dernières décennies, il a énormément souffert de la persécution dont j’ai été victime pour avoir maintenu ma croyance dans le Falun Gong. Néanmoins, il m’a toujours soutenue. Lorsque la police et les fonctionnaires locaux venaient me harceler, il se tenait devant pour me protéger ; lorsque j’avais besoin de transmettre des documents sur le Falun Gong à d’autres pratiquants, il était là pour m’aider. Mais quand j’ai essayé de lui donner une amulette avec les phrases du Falun Gong pour qu’il la porte, il a toujours secoué la tête.

Mon mari et ses frères et sœurs sont restés à tour de rôle chez leur père âgé pour s’occuper de lui. Lorsque c’était son tour il y a quelques semaines, je lui ai proposé de l’aider, mais il a refusé. « Tu es plus occupée que la plupart des gens que je connais », a-t-il répondu avec un sourire. « Je peux m’en occuper moi-même. » Néanmoins, je suis allée lui rendre visite, ainsi qu’à son père, une semaine avant le Nouvel An chinois.

À cette époque, le nombre d’infections montait déjà en flèche et les gens étaient très inquiets. Son père était dans un état stable et il pouvait même s’occuper de lui-même. J’ai à nouveau tendu à mon mari une amulette avec les mots « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Cette fois, il l’a acceptée sans hésitation. Après l’avoir examinée en détail, il l’a soigneusement mise dans sa poche.

Presque tous les habitants du quartier de son père qu’il connaissait avaient été testés positifs, et certains étaient gravement malades. Quelques habitants âgés étaient déjà décédés. Seuls mon mari et son père allaient bien. Dans le passé, il croyait que la politique du Parti communiste chinois (PCC) dite « politique de zéro-COVID » permettrait de vaincre le virus, mais la réalité lui a appris que tout ce que faisait le PCC visait à contrôler les gens et que le régime ne se souciait pas du tout de la vie des gens. Ayant vu comme le Falun Gong m’avait changée en mieux au fil des ans, il savait qu’il ne pouvait que faire confiance au Falun Gong pour le protéger.

Deux belles-sœurs

Mon mari a deux sœurs, Fang et Fen.

Fang vit dans une capitale provinciale du sud de la Chine. Après que sa fille a été infectée, Fang et son mari ont également été testés positifs. Fang a eu les pires symptômes. Elle a souffert d’une fièvre de 40 °C pendant trois jours et aucun médicament n’a aidé. Elle a dû rester au lit pendant une semaine et souffrait beaucoup. Il y a quelques jours, Fang a été infectée pour la deuxième fois et, une fois encore, la maladie était très grave. Fang n’a pas accepté le document de Falun Gong et m’a découragée d’en parler aux autres membres de la famille. Elle est membre du PCC, mais ne voulait pas démissionner de l’organisation bien que je lui aie dit combien le régime est nuisible. Je savais que je devais faire mieux pour l’aider.

Fen vit à Wuhan, dans la province du Hubei, et sa famille de sept personnes a miraculeusement survécu à la pandémie au cours des trois dernières années. Malgré sa maladie sous-jacente et sa santé fragile, elle n’a présenté que des symptômes très légers après avoir été infectée. Lorsque je lui ai expliqué dans le passé que le Falun Gong aide à améliorer l’esprit et le corps, elle était réceptive, même si elle ne le pratiquait pas elle-même. Lorsque j’étais détenue pour ma croyance, Fen et toute sa famille sont venues me rendre visite.

L’été dernier, lorsque c’était au tour de Fen de s’occuper de son père, elle a accepté que je lui fournisse plus de documents de Dafa et nous avons discuté davantage. Fen a reconnu que la propagande du PCC n’était que mensonges. Son enfant travaillait à l’étranger depuis trois ans et était également en bonne santé.

Mes trois cousins

Deux de mes cousins, Yan et Yong, ont déjà la soixantaine. Vivant dans la campagne du nord de la Chine, ils ont une santé fragile. Il y a plusieurs années, je leur ai parlé de ce qu’est le Falun Gong et de la façon dont le PCC a brutalement persécuté les pratiquants pour leur croyance. Ils ont été réceptifs à cela et ont accepté de démissionner de leur adhésion aux organisations du PCC.

Lorsque la vague de COVID a frappé en décembre, tous les habitants du village de mes cousins ont été infectés. Yan a eu une faible fièvre pendant un jour avant que la situation ne s’améliore. Sa fille, étudiante au collège dans le sud-ouest de la Chine, avait également renoncé à son adhésion aux organisations du PCC. Elle a également eu une légère fièvre, mais après avoir pris deux pilules, elle allait parfaitement bien le lendemain matin.

Le cousin Yong s’est senti mal à l’aise pendant seulement deux heures. Il m’a dit qu’il croyait au dicton chinois selon lequel « le bien est récompensé par le bien, et le mal par le mal ». Sa famille gardait toujours des documents de Falun Gong (calendriers, amulettes, fichiers audio, etc.) de moi et d’autres pratiquants, et les chérissait beaucoup.

La famille de Ying, ma troisième cousine, a des histoires variées. Ying et son fils me soutiennent tous deux dans la pratique du Falun Gong. Une fois, son fils m’a demandé les fichiers audio des conférences sur le Falun Gong et il a écouté les neuf conférences en entier. Ying et son fils ont tous deux eu des symptômes très légers, qui n’ont duré qu’un jour.

La fille de Ying, Yun, est plus jeune que son frère et est toujours en bonne santé. Lorsque je lui ai rendu visite en décembre, elle a refusé d’accepter les documents de vérité et a secoué la tête. Après que nous avons parlé un moment, elle ne m’a plus fait taire. Mais je savais qu’elle avait fait cela pour ne pas me blesser. Lors de la nouvelle vague de COVID, elle a subi les pires symptômes et a été malade pendant plus de trois semaines. Elle a essayé toutes sortes de médicaments, mais la fièvre continuait. Elle est devenue frustrée et s’est plainte que rien ne fonctionnait pour elle.

Mes cinq amies

Trois de mes camarades d’université, Mei, Min et Ming, ont déjà plus de 70 ans. Mei et Min ont des maladies sous-jacentes et je ne les ai pas vues depuis près de 40 ans. Lorsqu’elles sont venues en visite dans ma ville en octobre dernier, je les ai invitées à dîner avec Ming. En me voyant marcher avec agilité et énergie, elles m’ont demandé quel était mon secret pour rester en forme. J’ai été honnête et j’ai raconté comme le Falun Gong m’avait donné une bonne santé et amélioré mon caractère. Deux d’entre elles ont accepté de démissionner du PCC et une autre a dit qu’elle allait y réfléchir.

Lorsque la dernière vague de COVID a frappé en décembre dernier, je les ai appelées toutes les trois, leur rappelant de garder à l’esprit les phrases « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Elles et leurs familles n’ont pas été infectées.

Hai et Ling sont un couple. Ils avaient tous les deux des maladies sous-jacentes. Ling est l’une de mes meilleures amies. Hai est têtu et se disputait souvent avec moi lorsque je lui expliquais le Falun Gong dans le passé. Mais plus tard, il est devenu plus réceptif tandis que Ling a accepté de démissionner des organisations du PCC. Tous deux étaient en bonne santé lors de la dernière vague.

Leur fils Jian ne m’a pas écoutée, peu importe comment je lui expliquais la vérité, il ne faisait que répéter la théorie athée du PCC. Récemment, il a eu de la fièvre et est resté dans le coma pendant une semaine. Je me suis sentie mal quand j’ai entendu cela et j’ai souhaité lui avoir mieux clarifié la vérité dans le passé.

Cette pandémie nous a enseigné de nombreuses leçons. Au moment critique de la vie et de la mort, tout le monde est à la merci du divin, qu’il s’agisse des riches ou des pauvres. Si le virus cible le PCC, n’importe lequel de ses membres ou de ses partisans pourrait être en danger. Rejeter le cruel PCC et embrasser les valeurs traditionnelles pourrait nous mettre à l’abri.

Traduit de l’anglais