(Minghui.org) Je suis une jeune pratiquante de Falun Dafa du nord-est de la Chine. Le bienveillant Maître Li m’a protégée sur mon chemin de cultivation pendant plus d’une décennie. Je suis vraiment reconnaissante de la grâce salvatrice du Maître.
J’ai découvert mon affinité prédestinée avec Dafa à l’école primaire, lorsque j’ai rendu visite à une parente qui était pratiquante. J’étais très pure à cette époque. Nous faisions les exercices ensemble, corrigions les mouvements de l’autre, récitions le Fa et affichions ensemble des documents de clarification de la vérité. J’avais récité environ les deux tiers du Zhuan Falun, mais j’ai arrêté lorsque j’ai dû rentrer chez moi pour célébrer le Nouvel An chinois.
Une chose miraculeuse s’est produite pendant le Nouvel An chinois. La veille du Nouvel An, je me préparais à dîner avec ma famille, et la télévision était allumée. Le programme de célébration du Nouvel An du Parti communiste chinois (PCC) commençait à 20 heures. Je pensais que je pouvais le regarder, mais au bout d’un moment, j’ai regardé à droite de manière inattendue et j’ai vu que le papier sur le mur qui indiquait « bonne fortune » se transformait en un cochon doré.
Le cochon n’arrêtait pas de sauter de haut en bas, il était très beau. Mais dès que j’ai regardé le programme, ce cochon doré avait une expression malheureuse. Je me suis dit : « Bon, je ne vais pas le regarder alors. » Lorsque j’ai regardé à nouveau le cochon, il a souri et a recommencé à sauter de haut en bas. Je me suis demandé si j’étais étourdie, alors j’ai demandé à ma mère qui était également pratiquante : « Maman, regarde les mots “bonne fortune”. Se sont-ils transformés en cochon d’or ? » Ma mère a répondu : « Je ne pense pas. » Plus tard, j’ai vérifié auprès d’autres pratiquants. Aucun d’entre eux n’a vu le cochon doré. Ils m’ont dit que le Maître m’éclairait.
Par la suite, mon père s’est opposé à ce que je pratique le Falun Dafa et m’a battue pour la toute première fois. Je me souviens clairement que lorsqu’il m’a donné un coup de pied, une force le faisait rebondir dès qu’il me touchait. Je ne me sentais pas du tout blessée. Je savais que c’était le Maître qui me protégeait.
J’ai ensuite séjourné chez un autre parent qui était une personne ordinaire. Avec le changement de mon environnement de cultivation, je me suis comportée comme une personne ordinaire. J’ai commencé à sortir avec quelqu’un et je suis devenue dépendante de mon téléphone portable et de la télévision.
Avec l’accord du Maître, je suis retournée vivre chez la parente pratiquante et j’ai étudié dans la même école que sa fille. Pourtant, je n’ai pas profité de cette opportunité. Ma parente m’a également encouragée à faire les exercices et à étudier le Fa. Elle disait que sinon, je le regretterais. Malgré cela, j’étais toujours très paresseuse et obsédée par mon téléphone portable. Cependant, le fait que je savais que Dafa était merveilleux était toujours profondément ancré dans mon cœur.
Ma mère a été arrêtée quand j’étais au lycée
Mon professeur est venu dans la classe alors que je prenais une pause déjeuner à l’école, et m’a interpellée. D’après son regard et son ton, je savais ce qui se passait. Bien sûr, ce qui me préoccupait le plus s’est produit. Le directeur de l’école s’est précipité pour me dire que des membres de la police étaient en route pour me trouver. L’affaire concernait ma mère.
Au bout d’un moment, un autre directeur d’école est passé, demandant à me raccompagner dans la salle de classe pour rassembler mes affaires. Ils avaient l’intention de m’emmener au département de la sécurité intérieure, puis d’aller chez moi. Sous l’impulsion du Maître, j’ai échappé au directeur de l’école et j’ai caché ma clé de maison dans un pot de fleurs dans le couloir.
Je suis ensuite montée dans un véhicule de police à l’extérieur de l’école. Ils m’ont dit de les emmener chez moi. Je savais au fond de moi que je ne ferais pas ça, mais je ne savais pas trop quoi faire à la place. J’ai même pensé à sauter de la voiture. Je les ai dirigés vers un endroit au hasard. Après être sortie de la voiture, tout ce que je leur ai dit, c’est : « Je ne peux vous emmener qu’ici. »
Ces agents de la sécurité intérieure ont été pris au dépourvu, mais l’un d’eux m’a alors grogné : « Je vais arrêter tous les membres de ta famille. » Ils m’ont repoussée dans leur véhicule et m’ont emmenée dans une salle d’interrogatoire au département de police, où ils m’ont fait asseoir sur un tabouret en contreplaqué. Ils ont pris mon sac d’école et l’ont vidé, puis ont réalisé qu’il n’y avait pas de clé de la maison.
Ils m’ont également fait regarder les règlements qu’ils prétendaient que j’avais violés. Je ne sais pas trop pourquoi, mais lorsque je me suis assise sur le tabouret, j’ai soudain eu envie de ne rien dire. En jetant un coup d’œil à l’horloge, j’ai eu cette pensée : je devrais pouvoir partir d’ici après 16 heures. J’ai senti que c’était le Maître qui me donnait le pouvoir, et je n’ai plus pensé à rien.
Peu de temps après, le directeur de l’école a amené le directeur adjoint de l’école pour me voir. Ils m’ont emmenée dans une salle de repos et ont essayé de me réconforter pendant un moment. Je ne sais pas trop pourquoi, mais je me suis accroupie dans un coin et j’ai commencé à pleurer, impuissante. Le directeur adjoint qui avait croisé les bras et était quelque peu indifférent, a alors semblé ne plus pouvoir en supporter davantage, il s’est levé et a dit : « Laissez-moi aller leur parler. » La professeur principale m’a alors accompagnée seule dans la salle.
Le directeur adjoint est ensuite revenu avec un policier, disant que nous pouvions rentrer chez nous. J’ai également remarqué que son front était en sueur et que ses cheveux étaient quelque peu mouillés. Il m’a semblé qu’il avait dû faire de son mieux pour communiquer avec la police.
En partant, la professeur principale m’a tenu fort la main. Quand je suis arrivée devant l’entrée du département de police, je n’ai pas pu retenir mes larmes. Quand elle a vu ça, elle m’a dit : « C’est bon maintenant. » Une autre enseignante nous attendait dans sa voiture à proximité, prête à nous ramener chez nous. Il était environ 16 heures. J’ai remercié le merveilleux et compatissant Maître pour sa protection et son salut.
Exceller à l’université
J’ai été admise avec succès dans une université et j’ai eu les meilleures notes. Lorsque j’ai vérifié mes résultats après les examens à la fin du premier semestre, ma colocataire m’a dit que j’avais obtenu la première place. J’ai plaisanté avec elle : « Quoi ? Du bas de la liste ? » J’avais pensé qu’il suffisait que je réussisse les examens et que j’obtienne mon diplôme, car quelques matières étaient un peu difficiles. Quand j’ai vu mes résultats, je n’ai pas pu le croire ; j’étais la mieux classée. Je savais que c’était le Maître qui m’avait tout donné, car je n’aurais jamais pu obtenir d’aussi bons résultats par mes propres efforts.
Comme j’excellais, j’ai reçu une bourse d’études chaque trimestre. Une fois, j’étais chef d’équipe. Quand la professeur est arrivée en classe, elle a commencé à vérifier nos devoirs. Lorsqu’elle a vérifié l’équipe qui nous précédait, elle n’était pas très heureuse et a fini par les gronder, ce qui m’a rendue assez nerveuse. Mais quand elle est venue vérifier les devoirs de notre équipe, elle était très contente de ce que nous avions fait et nous a permis de partir plus tôt. Je n’étais pas préparée à cela. Ce n’est qu’après qu’elle me l’a confirmé que j’ai quitté la classe. Alors que les autres élèves ne savaient toujours pas comment faire leurs devoirs, notre équipe avait déjà terminé son travail. Ils nous regardaient avec des expressions d’envie et de perplexité.
Un parcours de cultivation à l’étranger
Après avoir obtenu mon diplôme, je n’ai pas immédiatement commencé à chercher un emploi. Je suis plutôt allée étudier les langues, pensant que je voulais partir à l’étranger. Après avoir étudié les langues près de deux ans, je suis partie à l’étranger en 2018. Comme ma famille n’était pas financièrement bien nantie, j’ai emporté beaucoup de nourriture et de produits de première nécessité avec moi. Après mon vol, j’ai pris le métro, puis j’ai marché jusqu’à l’appartement, qui n’était pas si proche du métro. Une fois arrivée, j’étais si fatiguée que je n’avais pas envie de manger.
Lorsque j’allais acheter des produits de première nécessité, je regardais toujours le plan sur mon téléphone portable et j’essayais de me rendre à pied aux supermarchés plutôt que de dépenser de l’argent dans les transports en commun. Je dépensais également très peu en produits d’épicerie. Je menais une vie assez dure. Lorsque je rentrais chez moi tous les soirs, j’étais tellement épuisée que je n’avais pas envie de faire quoi que ce soit d’autre.
La première activité de Dafa de groupe à laquelle j’ai participé a été les exercices collectifs dans un parc. Dès que je me suis assise pour faire la méditation, j’ai eu les larmes aux yeux. Je me sentais si heureuse ! J’ai participé à de nombreuses activités, notamment des défilés, la distribution de dépliants, l’envoi de courts enregistrements vidéo de vœux au Maître et la distribution du journal The Epoch Times. C’était un été très chaud. Lorsque je distribuais les journaux, je les portais sur mon dos et dans mes bras ; j’étais trempée de sueur. Comme j’étais à court d’argent, je ne voulais parfois pas acheter une bouteille d’eau. Ainsi, avant même d’avoir fini de distribuer les dépliants, je me sentais déjà déshydratée. Je devais souvent m’asseoir pour faire une pause avant de continuer.
Lorsque j’étais à l’étranger, pour payer mes frais de scolarité et mes frais de subsistance, j’ai accepté un travail manuel. Il était parfois tôt le matin lorsque je finissais de travailler, et mes jambes étaient extrêmement raides. Malgré cela, cette période a été la plus mémorable et la plus merveilleuse de ma vie. Bien que je doive endurer des difficultés, je pouvais librement faire des choses pour valider Dafa.
Pour diverses raisons, je suis ensuite retournée en Chine. Sous l’impulsion du Maître, j’ai reçu des offres de deux très bonnes entreprises. L’une d’elles était la meilleure entreprise dans mon domaine dans notre région.
Je me suis mise à cultiver avec diligence
Je suis devenue très diligente dans ma cultivation à partir de novembre 2020. Je suis sortie avec un garçon dont les parents étaient pratiquants. Mais il s’est passé quelque chose que j’ai eu du mal à accepter. En y repensant, c’était dû à mon propre attachement, et je n’aurais pas dû lui en vouloir. Cependant, je me sentais très amère et je ne pouvais pas m’en sortir sans l’aide du Maître.
En étudiant continuellement le Fa et en regardant à l’intérieur, je suis progressivement devenue claire et plus ouverte d’esprit. Un jour, j’ai soudain pensé : « J’ai pratiqué Dafa pendant tant d’années et dans tous les moments les plus douloureux et les plus difficiles, le Maître était toujours à mes côtés pour me donner des indications. Même si je ne réussissais pas, le Maître ne m’a jamais abandonnée. Mais comment puis-je continuer à rechercher les bienfaits du Maître et de Dafa ? Je devrais aussi faire quelque chose pour lui rendre la pareille. »
J’ai alors commencé à faire des percées dans ma cultivation. J’ai étudié et récité le Fa, et fait les exercices. Chaque fois que je regardais la vidéo de l’enseignement du Maître en Australie, j’avais les larmes aux yeux. La dernière fois que je l’ai regardée, j’ai vu la partie à la fin où le Maître semblait inquiet, et je me suis sentie très triste. J’ai décidé de faire en sorte que le Maître s’inquiète moins pour moi. Je cultiverai bien mon xinxing en me basant sur les principes du Fa et je me corrigerai afin de faire mieux la prochaine fois.
Je me sentais très amère lorsque je passais des tests de xinxing avec ma famille. Ma mère avait souvent des crises de colère et me disait des choses très sarcastiques et méchantes. Je voulais toujours lui rétorquer. Je me suis rendu compte que j’avais la mentalité de la culture du Parti communiste, qui consiste à vouloir se venger et à faire en sorte que l’autre personne ressente ce que je ressentais. Mais après avoir enduré cette épreuve et regardé à l’intérieur, je suis progressivement devenue plus calme et posée. Avec le temps, je me suis rendu compte que passer une épreuve de xinxing n’était plus si douloureux.
J’ai compris plus tard que je devais toujours garder un cœur reconnaissant, non seulement pour la compassion et la grâce salvatrice du Maître, mais aussi pour le fait que le Maître ne m’a pas abandonnée et m’a donné un corps si sain. Beaucoup de choses sont alors devenues simples, et je pouvais même traiter ma famille avec le sourire.
Avant cela, j’avais l’impression que la chose la plus difficile était de faire les exercices. Je n’avais aucun problème à me coucher tard, mais il m’était plutôt difficile de me lever tôt. Je finissais donc rarement les cinq exercices, sauf lorsque j’étais en congé.
Un autre pratiquant me disait souvent : « Fais les exercices plus assidûment, sinon ton corps ne sera pas complètement transformé en matière de haute énergie, et tu auras du mal à t’élever. » Je ne disais rien, car je savais combien il m’était difficile de me lever le matin. Quand je me levais, il était déjà l’heure d’aller au travail. Après le travail, je me sentais très fatiguée et je n’avais pas envie de bouger ; je ne pensais qu’à m’allonger. Parfois, j’avais l’impression de ne pas être aussi bonne qu’une personne ordinaire à cet égard.
Cependant, depuis le Nouvel An chinois 2021 jusqu’à maintenant, j’ai été stricte avec moi-même et j’essaie de terminer les cinq exercices chaque jour. Parfois, il est presque 1 heure du matin quand je termine. Lorsque j’oublie de faire les exercices, j’en prends note et je me rattrape quand j’ai le temps. Pendant mon temps libre, je peux même en faire davantage, ce qui était absolument impossible auparavant. Malheureusement, je n’ai pu faire le deuxième exercice que pendant une demi-heure, et je n’ai pas pu faire la méditation assise pendant une heure. Mais je vais progressivement faire des percées dans ces domaines.
Le Maître a dit que les vrais pratiquants doivent clarifier la vérité aux autres, alors que j’étais quelqu’un qui n’était pas éloquente et un peu timide. Pourtant, le Maître m’a beaucoup encouragée. Lorsque je sortais pour clarifier la vérité avec les autres pratiquants, il y avait des gens qui venaient vers moi pour me demander leur chemin ou de la monnaie. Quand j’avais envie de leur parler, je le faisais. Si je sentais que mon état de cultivation n’était pas optimal, je demandais de l’aide aux autres pratiquants.
La première personne à qui j’ai expliqué les faits travaillait dans un supermarché et était membre du PCC. Lorsque je lui ai parlé, j’ai clairement senti le Maître ouvrir ma sagesse, car je sentais que ma logique était très claire. Je savais qu’il fallait se soucier de lui et l’encourager de son point de vue. J’ai alors naturellement présenté la vérité de base sur Dafa, la mise en scène de « l’incident d’auto-immolation de la place Tiananmen » et la façon dont les fonctionnaires corrompus du PCC nuisent aux gens. Avant que je ne parte, il a levé le poing et a dit : « Je suis tombé sur quelqu’un de noble. J’étais assis ici, si bouleversé avant que vous n’arriviez. Maintenant, je vais très bien ! Merci ! »
Lorsque j’ai retrouvé les autres pratiquants, j’ai dit : « Oh là là, j’étais si nerveuse. Mes jambes tremblent encore, j’ai failli ne pas pouvoir me lever. Laissez-moi faire une pause. » C’est parce que je n’avais pas clarifié les faits aux gens en face à face depuis un certain temps. En travaillant les uns avec les autres, nous avons clarifié les faits et émis la pensée droite pour aider les gens à comprendre la vérité sur Dafa afin qu’ils aient un futur lumineux.
En repensant à mes dix dernières années de cultivation, j’ai le sentiment de ne pas avoir bien travaillé et d’avoir perdu beaucoup de temps précieux. À l’avenir, quelle que soit la longueur de mon chemin de cultivation, j’espère pouvoir être plus diligente et continuer à faire des percées pour valider Dafa et sauver les êtres plus efficacement, afin de ne pas décevoir le Maître.
Merci de bien vouloir signaler tout ce qui est inapproprié.
Traduit de l’anglais
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