(Minghui.org) Tous les disciples de Falun Dafa authentiques connaissent la compassion illimitée que notre Maître nous témoigne et que nous ne pourrons jamais lui rendre. Je voudrais partager quelques-unes de mes propres expériences miraculeuses pour exprimer ma profonde gratitude.

Le policier a ressenti la douleur quand il m’a battu

Je suis allé à Pékin au cours de l’été 2000 avec quelques autres pratiquants pour demander justice pour le Falun Dafa. Nous avons déployé des banderoles sur la place Tiananmen et crié « Falun Dafa est bon ! » Nous avons rapidement été arrêtés par la police et emmenés au Centre de détention de Pékin.

La police a commencé à m’interroger cette nuit-là et m’a demandé mon nom et mon adresse. J’ai refusé de répondre à leurs questions et j’ai continué à réciter le poème du Maître dans mon cœur :

« Vivre sans désirs,

Mourir sans regrets ;

Balayer les pensées illusoires,

Cultiver pour devenir Bouddha n’est pas difficile. »

(« Rien ne reste », Hong Yin)

Un policier de grande taille a commencé à me gifler férocement, mais j’avais l’impression d’être giflé par un petit enfant. Il m’a de nouveau demandé mon nom et mon adresse, mais je suis resté silencieux. Il s’est alors mis en colère et a recommencé à me gifler. Il m’a frappé si fort que j’ai failli tomber à la renverse, mais je n’ai pas ressenti de douleur. Le policier, quant à lui, s’est effondré sur la chaise sous l’effet de la douleur, il respirait difficilement et son visage était couvert de sueur. Après cela, il n’a plus osé me frapper.

À l’époque, j’ai pensé qu’il s’était effondré parce qu’il était fatigué de me battre. Plus tard, j’ai compris, grâce à l’étude du Fa, qu’il en était ainsi parce que le Maître lui avait transféré la douleur.

Le Maître a récupéré l’argent pour moi

J’ai décidé d’aller à Pékin pour sauvegarder le Fa, mais ma famille avait très peu d’argent, alors ma femme (également pratiquante) a emprunté 300 yuans à un parent pour mes frais de voyage (300 yuans à l’époque suffisaient à faire vivre une famille de paysans pendant un an).

J’ai ouvert la couture du bas de mon pantalon, j’ai plié un billet de 100 yuans et je l’ai mis dans la couture pour un usage ultérieur, et j’ai mis 200 yuans dans ma poche pour les billets de train et d’autres dépenses.

J’ai été arrêté pour avoir déployé une banderole sur la place Tiananmen et emmené au Centre de détention de Pékin. Dès mon arrivée, les policiers m’ont forcé à enlever mes chaussures et à leur remettre les 75 yuans restants dans ma poche.

Après avoir été emmené dans une cellule, un jeune détenu a fouillé mon pantalon et a trouvé le billet de 100 yuans dans la couture du bas. Il a remis l’argent au chef de cellule, avec un sourire satisfait. Le lendemain matin, le chef de cellule a acheté des repas de poulet, de poisson et de viande, et les quatre agresseurs ont fait un festin.

Le centre de détention a décidé de m’envoyer au bureau de liaison de l’Anhui à Pékin trois jours plus tard. En sortant, j’ai récupéré un sac en plastique contenant mes chaussures. Lorsque j’ai ouvert le sac, j’ai eu la surprise de voir mon billet de 100 yuans entre mes chaussures !

Mes yeux se sont immédiatement remplis de larmes, car je savais que le Fashen (corps de Loi) du Maître était juste à côté de moi, m’aidant et m’encourageant à tout moment.

Au fil des années, chaque fois que j’ai raconté cet incident à mes parents et amis, ils m’ont toujours demandé : « Le billet de banque t’a été confisqué et les détenus l'ont dépensé pour acheter de la nourriture. Comment a-t-il pu se retrouver dans ton sac à chaussures ? »

« Notre Maître protège chaque vrai disciple », leur ai-je expliqué.

J’en ai parlé à de nombreux parents, amis et connaissances et ils ont tous été très impressionnés. Certains d’entre eux ont également commencé à pratiquer le Falun Dafa.

La puissance de la pensée droite

Au cours de l’été 2002, des dizaines de pratiquants et moi-même avons été emmenés dans un centre de lavage de cerveau de la ville. Nous avons mémorisé le Fa, pratiqué les exercices et émis la pensée droite pour résister au lavage de cerveau.

Un matin, le secrétaire de la Commission des affaires politiques et juridiques (CAPJ) de notre district est venu me parler seul à seul, dans l’espoir de me forcer à abandonner la pratique du Falun Dafa.

J’ai refusé de répondre à ses questions et j’ai continué à émettre la pensée droite et à le regarder dans les yeux. Dès qu’il a croisé mon regard, il a détourné les yeux, effrayé, et est parti rapidement après avoir prononcé quelques mots.

Lorsque j’ai appris par la police que le secrétaire du CAPJ reviendrait parler à d’autres pratiquants le lendemain après-midi, j’ai raconté aux pratiquants comment je l’avais fixé dans les yeux et émis la pensée droite pour éliminer le mal qui se cachait derrière lui. J’ai suggéré que nous le fixions tous dans les yeux et que nous émettions la pensée droite lorsqu’il viendrait nous parler.

Le lendemain après-midi, nous nous sommes rendus dans la salle de conférence remplie d’agents de police. Le secrétaire du CAPJ était assis sur le podium. Lorsqu’il a vu que tous les pratiquants le regardaient dans les yeux, son visage est devenu sombre de peur et sa voix a tremblé lorsqu’il a crié : « Ne me maudissez pas, vous ne pouvez pas me maudire à mort ! » Il a ensuite baissé la tête et a lu son discours, n’osant plus jamais nous regarder.

Lorsque nous avons quitté la salle, une pratiquante âgée m’a dit : « Je le fixais tellement que j’avais mal aux yeux. » Nous avons ri tous les deux.

Le Maître me sauve du danger

Au printemps 2008, à 3 heures du matin, j’ai pris mon vélo pour livrer des documents de Dafa au domicile d’un pratiquant situé à une dizaine de kilomètres de là. Il faisait très sombre et il n’y avait personne dans les environs. Je pédalais le long d’une route sablonneuse.

J’avais emprunté cette route de nombreuses fois et je la connaissais très bien. Il y avait un pont que je devais traverser. Ce pont avait été construit dans les années 1960. Il n’avait pas de garde-corps et n’était pas assez large pour que deux voitures puissent le traverser en même temps. Après des années de délabrement, un trou de la taille d’un ballon de basket s’était formé sur le pont, à une dizaine de centimètres du bord.

Alors que je pensais être encore à une certaine distance du pont, un gros camion s’est approché de moi dans la direction opposée. J’ai été aveuglé par ses phares puissants, j’ai donc ralenti et j’ai pédalé sur le côté de la route. Lorsque le camion m’a dépassé, j’ai réalisé avec stupeur que j’avais déjà traversé le pont !

Je suis descendu de mon vélo, je l’ai poussé jusqu’au pont et j’ai vu que le grand trou était toujours là. Si la roue avant de mon vélo s’était coincée dans le trou et que j’étais tombé sur la gauche, j’aurais été heurté par le gros camion. Si j’étais tombé sur la droite, je serais tombé dans le fossé profond sous le pont. Mes yeux se sont instantanément remplis de larmes et j’étais si reconnaissant envers le Maître de m’avoir sauvé du danger.

Ces incidents miraculeux ont souvent défilé dans mon esprit, me rappelant de toujours chérir la compassion et la grâce illimitées du Maître. Chaque fois que je pense aux énormes souffrances que le Maître supporte pour nous, les disciples, mes yeux se remplissent de larmes de gratitude.

Je continuerai à bien étudier le Fa, à élever constamment mon xinxing et à faire de mon mieux pour sauver davantage de personnes en clarifiant la vérité. Ce n’est qu’ainsi que je pourrai être digne du salut compatissant du Maître.

Traduit de l’anglais