(Minghui.org) Ma santé a commencé à se détériorer en 1985. Cela s’est aggravé de plus en plus et j’ai envisagé de mettre fin à mes jours. Je n’avais jamais imaginé me rétablir, mais tout a changé en 1998.
Pratiquer le Falun Dafa – mes débuts
J’ai donné naissance à ma fille en 1985 et j’ai eu des séquelles post-partum. J’avais l’impression de porter en permanence une grosse pierre froide et je ne pouvais pas redresser mon dos. J’étais sensible à toute forme de froid. Je ne pouvais rien toucher de froid, et le moindre souffle de vent frais provoquait une poussée d’urticaire sur ma peau exposée. C’était pire en hiver. Chaque fois que je devais sortir, je devais me couvrir entièrement, ne laissant que mes yeux exposés qui devenaient enflés. J’ai essayé plusieurs médicaments, mais rien n’a fonctionné.
En décembre 1988, j’ai développé une myocardite virale aiguë qui a persisté. Mon cœur battait normalement de 40-50 pulsations par minute, mais il augmentait soudainement jusqu’à 80-90 battements par minute, avec ou sans stimulation externe. Dans ces moments-là, je ne pouvais plus bouger. La maladie cardiaque a aggravé ma maladie existante. Je ne pouvais ni manger ni dormir. La douleur était insupportable. J’ai essayé de nombreux médicaments qui ne fonctionnaient qu’un jour ou deux et avaient de nombreux effets secondaires. J’ai dû arrêter de prendre des médicaments. J’ai pensé mettre fin à mes jours, mais je devais prendre soin de mon jeune enfant. Je vivais dans le désespoir.
Les choses ont changé dix ans plus tard
Un matin d’octobre 1998, mon mari revenait d’une promenade matinale. Il m’a dit qu’il avait vu de nombreuses personnes pratiquer le Falun Dafa dans le parc et m’a suggéré d’essayer. J’avais déjà essayé le qigong, mais cela ne m’avait pas aidée, alors j’ai dit non.
Mon mari n’a pas abandonné. Il en a reparlé un autre jour : « S’il te plaît, essaie. Le point d’exercices collectifs est près de chez nous. » Mon fils de quatre ans a dit : « Maman, essaie. Le Falun Dafa est bon. Je suis en train de l’apprendre. » Je lui ai souri, mais je ne l’ai pas pris au sérieux.
Quelques jours plus tard, ma directrice m’a invitée à regarder chez elle une vidéo des conférences du Maître du Falun Dafa. J’ai accepté. J’ai été stupéfaite par les enseignements de Maître Li, et j’ai réalisé qu’il ne s’agissait pas d’un qigong ordinaire, mais d’une véritable méthode de cultivation et pratique ! Une fois la vidéo terminée, je suis rentrée à la maison avec mon fils et il a dit à sa sœur : « La maison (de la directrice) est pleine de lumières dansantes, va voir ! » Plus tard, nous avons appris que les « lumières dansantes » étaient des Faluns qui tournaient.
J’ai dès lors commencé à pratiquer le Falun Dafa, en commençant par être une bonne personne selon le principe « Authenticité-Bienveillance-Tolérance », en lisant le Zhuan Falun et en faisant les exercices tous les jours. J’ai bientôt pu marcher plus vite, manger davantage et bien dormir la nuit. Toutes mes maladies ont disparu. J’ai vraiment fait l’expérience merveilleuse d’être sans maladie. Le Falun Dafa est formidable ! Le Maître est extraordinaire !
Le doigt repousse
Dans l’après-midi du 28 mai 2012, alors que je préparais un repas dans la cuisine, j’étais occupée à couper des aliments lorsque j’ai accidentellement coupé le bout de mon index gauche. Je ne m’en suis pas rendu compte tout de suite, car je n’ai pas ressenti de douleur et je n’ai pas vu de sang. Cependant, j’ai vu l’os exposé de mon doigt.
J’ai retrouvé le morceau coupé et je l’ai replacé sur mon doigt en me disant : « C’est une partie de mon doigt, et il doit rester là. » J’ai alors ressenti une douleur et mon doigt s’est mis à saigner. J’ai serré les dents. Instantanément, la douleur a disparu ! J’ai réalisé que c’était le Maître qui avait pris la douleur sur lui. J’étais immensément reconnaissante ! Je savais que le Maître était à mes côtés et qu’il n’y avait rien à craindre. Je ne suis pas allée à l’hôpital.
Le lendemain, je suis allée travailler avec l’index enveloppé dans un bandage. Trois jours plus tard, dans l’après-midi, j’ai touché accidentellement mon index. J’ai su que la partie coupée du doigt était à nouveau attachée. C’était miraculeux. Une opération n’aurait pas sauvé mon doigt. Je n’ai rien fait d’autre que de replacer la partie coupée sur mon doigt. Mon index a guéri sans qu’il y ait la moindre trace de dommage.
Lorsque j’en ai parlé à un ami qui était chef du service d’anesthésiologie d’un l’hôpital, il m’a dit : « Même si tu étais venue à l’hôpital, nous n’aurions rien pu faire pour sauver ton doigt. »
Traduit de l’anglais
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