(Minghui.org) Bonjour Maître ! Bonjour, compagnons de cultivation !

À l’occasion du 20e Fahui de Minghui organisé par le site web Minghui, j’aimerais vous parler de mon expérience de nier la persécution de la « libération sous caution » avec la pensée droite. J’espère que mon expérience pourra inspirer d’autres pratiquants à renforcer leur pensée droite, à refuser la persécution et à bien faire les trois choses. Ce n’est qu’ainsi que nous pourrons être à la hauteur de la compassion illimitée du Maître.

L’été dernier, des policiers ont soudain fait irruption chez nous. Ils nous ont arrêtés, mon mari et moi, et ont saccagé notre maison. Les policiers ont confisqué nos livres de Falun Dafa, nos ordinateurs et nos effets personnels. Pendant que nous étions détenus au poste de police, j’ai refusé de répondre à leurs questions ou de signer des documents. La police nous a sommés de payer une caution de 10 000 yuans et nous avons été relâchés.

La soudaineté de ce qui s’est passé m’a prise au dépourvu. Je pensais avoir fait les trois choses avec diligence et je n’avais jamais cessé de clarifier la vérité en face à face. Je suis calme et rationnelle et j’ai une bonne réputation parmi mes compagnons de cultivation. Alors, pourquoi les forces anciennes m’avaient-elles prise pour cible ? J’étais perplexe et ne savais pas comment gérer la situation. J’étais cependant assurée d’une chose : il devait y avoir un problème dans la cultivation de mon xinxing.

L’importance de dénoncer la persécution

Le jour de mon arrestation, ma fille, qui est aussi pratiquante, était au travail lorsque ma sœur lui a conseillé instamment de ne pas rentrer à la maison. Elle s’est dit : « C’est un test. En tant que disciple de Dafa, je bénéficie de la protection de Maître Li (le fondateur de Dafa). Qu’ai-je à craindre ? » Ma fille a rendu visite à des pratiquants locaux qui l’ont encouragée à signaler immédiatement mon cas au site web Minghui.

Comprenant que le mal est dissous lorsqu’il est exposé, j’ai écrit les détails de mon cas lorsque je suis rentrée chez moi. J’ai inclus des informations sur les agents de police impliqués dans ma persécution, y compris leurs positions spécifiques et leurs numéros de téléphone portable, que j’ai rapidement envoyées au site web Minghui.

Mon cas a été publié sur Minghui le lendemain. Des pratiquants en dehors de la Chine ont immédiatement commencé à appeler les policiers concernés pour leur demander de cesser de me persécuter. Cette réaction proactive a dissuadé les malfaiteurs et a permis à ces agents de police d’apprendre les faits concernant le Falun Dafa.

Un policier m’a dit plus tard que les efforts des pratiquants étrangers avaient joué un rôle important. Il a dit : « Chaque jour, des gens de l’étranger nous téléphonaient. » Encouragée par cela, j’ai approché les agents de police pour demander la restitution de mes effets personnels. À chaque fois, j’ai insisté sur le fait qu’ils se faisaient du tort à eux-mêmes en participant à la persécution. Leur attitude à mon égard a progressivement changé. Ces changements étaient sans aucun doute le résultat des efforts des pratiquants à l’étranger.

Regarder à l’intérieur, émettre la pensée droite et étudier le Fa

J’ai commencé à regarder à l’intérieur, à examiner mes paroles et mes actes. Y avait-il des failles dans ma cultivation ? J’ai été surprise par ce que j’ai découvert. J’avais des attachements profondément cachés à la rancœur, à la jalousie et à la compétitivité. Ces attachements ne faisaient généralement pas surface lorsque j’étais avec d’autres pratiquants, mais ils étaient pleinement exposés à la maison. En raison du mauvais caractère de mon mari, je me sentais souvent gênée en public. J’avais donc du ressentiment et je me plaignais de lui.

Je savais que je devais éliminer ces attachements, mais il m’était difficile de le faire. Je ne pouvais pas pardonner à mon mari. Je pensais que si je ne pratiquais pas le Falun Dafa, j’aurais divorcé il y a des années. Aujourd’hui, je ne faisais que le tolérer. Même si je ne montrais pas ouvertement mon mécontentement, au fond de moi, je le méprisais. Je méprisais ses mauvaises habitudes et j’avais l’impression qu’il ne se cultivait pas vraiment. J’évitais de lui parler.

Je me suis rendu compte qu’en fait, je ne m’étais pas cultivée et que j’avais manqué de nombreuses occasions d’élever mon caractère. J’ai parlé de mon attachement lorsque des pratiquants m’ont rendu visite. Comme je voulais sincèrement m’améliorer, j’ai senti la barrière glacée dans mon cœur fondre et je me suis sentie soulagée. Les autres pratiquants m’ont dit qu’ils avaient senti mon désir sincère de changer. Tout le monde a été heureux pour moi.

À la maison, avec mon mari et ma fille, nous avons eu une discussion sincère. J’ai dit que cet incident n’était pas accidentel. Il devait y avoir des domaines où nous n’étions pas à la hauteur et où nous devions nous améliorer. Le Maître a fait en sorte que nous cultivions tous les trois ensemble, mais au lieu de former un seul corps, nous avions des reproches les uns envers les autres et nous nous accusions mutuellement. Nous étions persécutés à cause de nos lacunes.

Je me suis sincèrement excusée auprès de mon mari. Ma fille a aussi réalisé qu’elle était dépendante de moi et m’a dit qu’elle était attachée à moi. Lorsqu’il y avait un conflit entre son père et moi, elle se rangeait toujours de mon côté. Plus elle mesurait le bien et le mal d’un point de vue humain, plus elle blâmait son père. Un jour, elle a fait un rêve : nous volions dans le ciel, chacun tenant le bras d’un garçon tout en essayant de monter. Le garçon était assez lourd et notre effort commun ne suffisait pas à nous soulever.

Nous avons réalisé que le Maître nous donnait un indice, à savoir que nous formions tous les trois un seul corps. Nous devrions nous aider mutuellement à nous élever plutôt que de nous concentrer sur nos lacunes respectives. La cultivation consiste à s’élever et à rectifier ses propres lacunes.

Mon mari n’a pas mentionné la manière dont il allait regarder à l’intérieur, mais il a dit être d’accord avec ce que ma fille et moi avions partagé.

Nous nous sommes mis d’accord sur le fait qu’en tant que famille, nous chéririons notre relation arrangée par le Maître. Nous avons promis de nous le rappeler les uns aux autres et de nous aider mutuellement. Si l’un d’entre nous constate des insuffisances chez l’autre, il les signalera rapidement. Par la suite, nous avons formé un seul corps et mon mari a commencé à cultiver avec diligence.

J’ai compris que nous n’avions pas réussi parce que nous ne nous étions pas concentrés sur l’étude du Fa. Le Maître a souligné à maintes reprises l’importance de l’étude du Fa. Par conséquent, nous avons commencé à lire le Fa de tout cœur.

Ma fille lisait le Zhuan Falun avec nous après le travail. Pendant la journée, mon mari et moi lisions le Fa. Nous avons aussi mémorisé le Fa. Grâce à cette étude intensive du Fa, nous avons vraiment absorbé le Fa dans nos cœurs et fait l’expérience de la magnificence et de la beauté du Fa.

Mon mari et moi avons aussi prolongé la période pendant laquelle nous émettions la pensée droite. Nous avons commencé par émettre la pensée droite pendant quinze minutes quatre fois par jour. Ensuite, nous émettions la pensée droite pendant plus d’une demi-heure, toutes les heures. Lorsque ma fille rentrait à la maison le soir, nous émettions ensemble la pensée droite.

Au début, nos cœurs n’étaient pas stables et nous pensions à notre cas. Nous étions très nerveux et nous ressentions beaucoup de pression.

Dans mon esprit, j’ai dit à la police : « Vos vies sont données par Dafa, et vous êtes venus sur terre pour vous assimiler à Dafa. Cependant, vous avez été manipulés par la perversité pour participer à la persécution des disciples de Dafa, de sorte qu’il n’y a pas d’avenir pour vous et vos êtres. S’il vous plaît, arrêtez immédiatement la persécution et traitez bien les disciples de Dafa, afin que vous puissiez choisir un avenir lumineux pour vous et vos êtres. » Je communiquais avec eux de cette manière de temps en temps. Mon cœur s’est calmé et j’ai eu moins peur. J’ai senti que la persécution était loin de nous et j’ai décidé d’expliquer la vérité à la police.

Lorsqu’un policier est venu chez moi pour demander des photos de mon mari et moi, nous lui avons expliqué les faits concernant Dafa. Il a dit que nous étions des gens bien et qu’eux, ils n’étaient impliqués dans la persécution que sous la pression de leurs supérieurs. Il n’a plus demandé nos photos. Plus tard, j’ai rencontré sa femme et je lui ai parlé de la persécution. Elle m’a dit que son mari avait fait l’éloge de notre famille pour notre gentillesse. Il lui avait dit que nous étions des gens instruits et que notre maison était organisée et propre. Le couple a accepté de démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations pour la jeunesse.

Rédiger des lettres de clarification de la vérité

Le Maître a dit :

« Là où un problème apparaît, là il est nécessaire que vous alliez clarifier la vérité, apporter le salut. Il ne faut pas quand on rencontre un problème, le contourner. » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Loi de Washington DC », Enseignement du Fa dans les conférences II)

Je pense qu’une lettre de clarification de la vérité peut contenir beaucoup d’informations, c’est pourquoi nous avons décidé d’écrire une lettre de clarification de la vérité à la personne chargée de notre dossier. Ma fille a écrit une lettre au policier adjoint chargé de notre dossier, intitulée : « Mots sincères à un oncle ».

Ma fille a écrit : « Bonjour, mon oncle ! Malgré les circonstances peu amicales dans lesquelles tu as rencontré mes parents, le fait que tu sois entré dans notre maison a été très important ! C’est pourquoi je souhaite partager avec toi quelques pensées sincères. Sais-tu pourquoi nous pratiquons le Falun Dafa ? Je me souviens très bien que lorsque j’étais enfant, mes parents se disputaient souvent. Mon père avait mauvais caractère et lorsqu’il se mettait en colère, il était intimidant. Il agressait verbalement ma mère et après, elle pleurait en silence. Comme j’étais jeune, je ne savais pas comment consoler ma mère. Tout ce que je pouvais faire, c’était de lui tendre un mouchoir pour qu’elle essuie ses larmes. Chaque fois que je voyais ma mère pleurer, cela m’étouffait et je me sentais insupportablement triste. Une fois, après une violente dispute entre mes parents, ma mère a fait ses bagages, prête à quitter la maison. J’étais si angoissée que je me suis agenouillée par terre, pleurant et suppliant ma mère de ne pas partir. J’ai supplié mes parents de ne pas divorcer. »

Ma fille poursuivait sa lettre en expliquant que notre famille était devenue harmonieuse quand mon mari et moi avons commencé à pratiquer le Falun Dafa. Nous nous étions tous immergés dans la joie de pratiquer le Falun Dafa. Cependant, la persécution du PCC avait tout fait voler en éclats. J’avais été condamnée à trois ans de prison. À l’époque, ma fille n’était qu’une adolescente et avait dû endurer de grandes souffrances. Pendant le procès illégal, dans le froid de l’hiver, ma fille était accroupie à l’extérieur du tribunal, seule et en pleurs.

Ma fille a ajouté : « Pendant les trois années où je n’ai pas vu ma mère, en tant que jeune fille, elle me manquait tous les jours. Je m’inquiétais constamment pour elle. Pendant mille quatre-vingt-quinze jours sans l’amour de ma mère, j’ai compté chaque jour, me languissant du jour où elle reviendrait à la maison. Je crois que vous comprenez mes sentiments. Ma mère a été gavée dans le centre de détention. Cependant, malgré ses souffrances, elle traitait tout le monde avec gentillesse. Une fois, l’adjoint l’a giflée, mais elle ne l’a pas détesté. Le lendemain, cette personne a menacé de la frapper à nouveau, et ma mère a dit calmement qu’il devait se sentir mal après l’avoir battue. Après avoir entendu cela, il a été momentanément stupéfait et s’est éloigné. Il n’a plus jamais battu ma mère. Pensez-vous qu’une bonne personne comme ma mère devrait être persécutée ? En fait, chaque pratiquant de Falun Dafa est une bonne personne. Ma mère a toujours été mon modèle. Si elle est ainsi, c’est parce qu’elle n’oublie pas les enseignements de Maître Li Hongzhi. »

Ma fille a exprimé son point de vue sur la police : « Il y a vingt ans, je détestais ceux qui persécutaient ma mère. Mais le Maître nous a dit que les pratiquants n’ont pas d’ennemis. La persécution sévère que mes parents et moi-même avons subie au fil des ans parce que nous étions de bonnes personnes, ainsi que la pression professionnelle à laquelle vous et d’autres agents de police êtes confrontés aujourd’hui, sont toutes causées par le PCC. Vous êtes aussi des victimes. »

Ma fille a conclu : « J’espère sincèrement que vous pourrez lever la caution pour mes parents et que vous ne laisserez pas de bonnes personnes comme mes parents souffrir à nouveau ! Dans la mesure de vos capacités, vous pouvez protéger les bonnes personnes et accumuler de la vertu pour vous et votre famille. »

Après que ma fille a écrit la lettre, je l’ai lue à des compagnons de cultivation. Ils m’ont dit qu’elle était très touchante. Je l’ai remise à l’agent chargé du dossier. Lorsque je suis entrée dans son bureau, il m’a montré une pile de lettres sur son bureau : « Ce sont des lettres que votre groupe m’a envoyées à moi spécifiquement. » Je lui ai dit : « Ma fille a aussi écrit une lettre. Voulez-vous la lire ? » Il l’a lue et a souri.

Après avoir lu la lettre, il a dit : « Comportez-vous bien vous-même. Si vous le faites, je vous rendrai les 10 000 yuans au bout d’un an ; sinon, je vous enverrai en prison. »

Mon mari et moi étions ceux qui étaient persécutés, j’ai compris que je ne devais pas me contenter de la lettre sincère de ma fille. J’ai écrit à la police, en détaillant les avantages de la pratique du Falun Dafa et la persécution que j’avais subie.

Je leur ai parlé de la persécution brutale que j’avais subie en prison. Les gardiennes de prison m’avaient accrochée à une porte en fer, elles m’avaient battue et menottée pendant de nombreux jours. En hiver, j’étais menottée vingt-quatre heures sur vingt-quatre dans une petite cellule glaciale sans literie. Je ne pouvais ni m’allonger ni dormir et je souffrais atrocement. Après avoir été torturée pendant un mois, je ne pouvais plus marcher correctement. Plus tard, j’ai de nouveau été enfermée dans une petite cellule, dépouillée de mes sous-vêtements, vêtue seulement d’un short et d’une chemise en coton dont les boutons avaient été enlevés. Par la suite, j’ai été suspendue et menottée à un lit, ou forcée à rester debout pendant dix-huit jours. À une autre occasion, j’ai été suspendue et menottée pendant deux jours et deux nuits. J’ai été libérée lorsque mes pieds et mes mollets étaient enflés, et que j’étais fiévreuse et sur le point de m’évanouir.

Mon objectif premier était de dénoncer les méfaits du PCC, en mettant particulièrement l’accent sur le rôle des agents de police dans l’arrestation des pratiquants, qui a conduit à la mort tragique de nombreux pratiquants.

Dans la lettre, je les ai exhortés à cesser de persécuter les pratiquants. J’ai interrogé les policiers sur le fait qu’ils suivaient des ordres illégaux en persécutant des personnes honnêtes. Je les ai mis en garde contre le fait d’être manipulés pour persécuter des pratiquants, car en fin de compte, ils seraient ceux qu’on blâmerait. J’ai insisté sur le fait que si le PCC persécutait le Falun Gong aujourd’hui, ce pourrait être eux ou quelqu’un d’autre demain.

J’ai remis ma lettre aux agents de police, pour découvrir que le policier à l’origine de mon dossier l’avait transmis à quelqu’un d’autre. Sans me décourager, je suis rentrée chez moi, j’ai écrit une autre lettre au nouveau policier et je la lui ai remise en mains propres. La réaction du nouveau capitaine a été positive.

Les lettres de clarification de la vérité envoyées par des pratiquants de différentes villes ont été utiles. Des pratiquants d’autres villes ont envoyé des lettres aux policiers concernés. Le contenu de ces lettres provenait du site web Minghui et couvrait un large éventail de sujets. Certaines lettres soulignaient que la persécution des pratiquants de Dafa était contraire à la loi. D’autres faisaient appel à la conscience morale des personnes concernées. Il y avait aussi des articles soulignant les avantages de traiter les pratiquants de Dafa avec gentillesse et les punitions encourues par les personnes impliquées dans la persécution. L’intention générale était de les dissuader de poursuivre la persécution.

Le responsable du dossier m’a montré quelques-unes des lettres. Leur lecture m’a fait chaud au cœur.

Les pratiquants locaux et ceux d’autres régions m’ont soutenue en émettant la pensée droite lorsque je suis allée rendre visite à la police. Grâce à leur aide, je suis rentrée chez moi saine et sauve à chaque fois.

Présentation de la demande de levée de la caution et fermeture du dossier

Le système juridique du PCC fonctionne de manière anarchique. En tant que personnels chargés de l’application de la loi, ils exploitent la méconnaissance des pratiquants en matière de droit et utilisent toutes les failles juridiques pour nous persécuter. Il était essentiel d’exposer les mensonges du PCC d’un point de vue juridique, en faisant prendre conscience au personnel chargé de l’application de la loi que les véritables contrevenants étaient eux-mêmes et qu’ils allaient devoir rendre des comptes à l’avenir.

Quand j’ai voulu demander la levée de la caution et la fermeture de mon dossier, certains compagnons de cultivation ont craint que cela n’entraîne des représailles plus sévères. Moi aussi j’avais peur. Confrontée à l’interférence de la peur, j’ai mesuré la situation avec Dafa. J’ai compris qu’il était important de clarifier la vérité pour ce groupe particulier et que je devais bien le faire.

J’ai trouvé un modèle de demande, je l’ai rédigé en fonction de ma situation et j’ai demandé l’aide d’un pratiquant expert. Après avoir finalisé le projet, je l’ai partagé avec les autres pratiquants. Ils m’ont dit qu’il était rationnel et puissant. Avec leurs encouragements, j’ai remis une copie au responsable du dossier. J’en ai envoyé une autre au directeur par courrier, car je ne pouvais pas le rencontrer en personne.

J’ai dit ce qu’il fallait dire, j’ai fait ce qu’il fallait faire et j’ai reçu toute l’aide que les pratiquants pouvaient offrir. L’étape suivante consistait à émettre la pensée droite pour nier la persécution, à me défaire de mes attachements et à faire confiance aux arrangements du Maître. J’ai continué à clarifier la vérité.

Après avoir été libérée sous caution, bien que je n’aie pas pu complètement surmonter ma peur, je savais que je ne devais pas cesser de clarifier la vérité, car sauver les gens est ma mission.

Une semaine plus tard, j’ai recommencé à sortir pour dire la vérité en personne en face à face. Tout au long de l’année de ma libération sous caution, j’ai continué à utiliser mon téléphone portable et d’autres moyens pour clarifier la vérité, en plus de sortir et de parler aux gens du Falun Dafa en personne.

À l’approche de la date limite de ma libération sous caution, mon cœur a parfois vacillé. J’ai dit au Maître : « Maître, vous êtes responsable de tout. »

Le dernier jour, j’ai rêvé que mon voyage de cultivation et pratique se terminait et que tout le monde se rassemblait sur la place. Deux non-pratiquants me suivaient, et un compagnon de cultivation a dit que nous avions sauvé ces deux agents de police chargés de notre cas.

Nous avons attendu que la caution soit levée, mais rien ne s’est passé. Un policier a dit à mes proches que nous n’étions pas coopératifs et on nous a demandé d’aller au poste de police.

Réalisant que la persécution imposée devait cesser, je me suis sentie détachée de l’affaire. Nous n’avions besoin de personne pour nous dire que notre « libération sous caution » était levée. Nous ne sommes donc pas allés au poste de police. J’ai continué à sortir tous les jours pour clarifier la vérité et assumer mes responsabilités. Quelques mois plus tard, la soi-disant libération sous caution a été officiellement levée, et nous avons réussi à rejeter la persécution du PCC.

Conclusion

D’après les rapports publiés sur le site web Minghui, de nombreux pratiquants sont toujours placés sous le régime de la « libération sous caution ». Je comprends qu’ils puissent ressentir de l’angoisse et de l’inquiétude. Bien que nous ne soyons pas en mesure d’éliminer instantanément tous nos attachements, nous devons rester fermes dans notre croyance. Souvenez-vous, nous sommes des disciples de Dafa et nous sommes guidés par le Maître. Suivre les enseignements du Maître est la clé pour nier la persécution perverse et se frayer un chemin à travers cela en douceur.

Souvenez-vous toujours que notre mission est de sauver les gens. Commencez par clarifier la vérité auprès des agents de police directement impliqués dans la persécution, et approchez-les avec compassion. Le fait que nous donnions la priorité au salut des gens, en particulier à ceux qui sont directement impliqués dans la persécution, démontre la vertu des disciples de Dafa. Avec une telle pureté, qui oserait nous faire du mal ? La persécution perverse se désintégrera naturellement.

Merci, Maître ! Merci, compagnons de cultivation !

Traduit de l’anglais