(Minghui.org) Au cours de la dernière vague de COVID en Chine, de plus en plus de gens ont pris conscience de la nature vicieuse du Parti communiste chinois (PCC), qui ne se soucie que de conserver son pouvoir et non du bien-être des gens qu’il prétend servir.

Un jour, j’ai croisé une femme de 70 ans qui m’a dit : « Vous savez, 37 personnes de mon quartier résidentiel ont perdu la vie à cause de la COVID au cours des dernières semaines. »

J’ai hoché la tête, en disant que le Parti a tué environ 80 millions de personnes dans ses nombreuses campagnes politiques depuis que le régime a pris le pouvoir en 1949. « Un dicton chinois dit que “le bien est récompensé par le bien et le mal par le mal” », ai-je dit. « Le PCC connaîtra son sort tôt ou tard et nous ne voulons pas sombrer avec le régime. Que diriez-vous de démissionner des organisations du PCC sous le pseudonyme d’An kang (sain et sauf) ? »

Elle a accepté et a ajouté que son petit-fils, étudiant au collège, a déclaré qu’il ne rejoindrait jamais le PCC.

« Il regrette aussi profondément de faire partie de la Ligue de la jeunesse du PCC », a-t-elle ajouté.

En voyant son sourire, je sais qu’elle et son petit-fils savaient que le PCC est mauvais. Je lui ai alors parlé de la persécution du Falun Dafa par le PCC et lui ai conseillé de garder à l’esprit « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ».

« D’accord, nous devons nous efforcer d’être de bonnes personnes », a-t-elle répondu.

Une autre fois, j’ai vu une femme d’une soixantaine d’années assise au bord de la route. Je l’ai saluée et nous avons discuté. Elle s’appelait Wei.

« Cette COVID me tue, elle me prive de mon énergie », m’a-t-elle dit. « D’habitude, je peux porter toutes mes courses à la maison sans problème. Mais maintenant, j’ai déjà fait deux pauses – j’aurai probablement besoin d’une autre pause avant de pouvoir rentrer chez moi. » À côté d’elle se trouvaient plusieurs sacs de provisions.

Wei a dit que son mari avait fait de la fièvre en décembre dernier, et avait donc pris des médicaments contre la grippe. Mais il n’y a eu aucune amélioration. Il s’est rendu dans un hôpital trois jours plus tard, et l’examen a démontré un faible niveau de saturation en oxygène. « Il y avait des gens partout dans l’hôpital et nous ne pouvions pas trouver un lit », a ajouté Wei. « Nous étions tellement inquiets ! » Heureusement, son neveu travaille dans un autre hôpital et a obtenu un lit là-bas. Comme aucune ambulance n’était disponible, Wei et son mari ont pris un taxi pour se rendre à l’autre hôpital.

Pendant leur bref séjour dans le premier hôpital, ils ont vu trois patients y mourir. « C’était tellement effrayant ! » a-t-elle dit.

Son mari est resté vingt-deux jours dans le deuxième hôpital avant d’être renvoyé chez lui. Avec le recul, Wei dit que sa sœur lui a toujours dit que le PCC n’était pas digne de confiance et que les gens devaient trouver les faits eux-mêmes. « Mais je n’écoutais pas. Ce n’est que maintenant [lorsque son mari est tombé malade] que j’ai compris qu’on ne peut jamais faire confiance au PCC », a-t-elle expliqué. « Le PCC prétend toujours que les autres répandent telle ou telle rumeur, alors qu’en réalité, ce régime est le plus grand menteur. » Selon elle, le PCC a toujours menti aux gens, depuis le massacre de la place Tiananmen jusqu’à la persécution du Falun Gong, en passant par d’autres sujets.

J’étais d’accord avec elle et lui ai demandé si elle souhaitait renoncer à son adhésion aux organisations du PCC. Elle a dit oui et m’a remerciée encore et encore.

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Traduit de l’anglais